Mokhtar Belmokhtar est un djihadiste algérien. Il est né le 1er juillet 1972 à Ghardaïa, en Algérie. En 1991, il rejoint l’Afghanistan et ses moudjahidines. Pendant la guerre civile algérienne, de retour dans son pays, il fonde la Brigade du Martyr, affiliée au Groupe Islamique Armé (GIA). Après un rapprochement avec Al-Qaïda, le GIA devient Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC), puis Al Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI) en 2007. En décembre 2012, Belmokhtar créé son propre mouvement, Les Signataires du sang. En août 2013, le groupe fusionne avec le MUJAO pour former Al-Mourabitoune.
Le groupe jihadiste Al-Mourabitoune de l’Algérien Mokhtar Belmokhtar a revendiqué l’attentat qui a fait cinq morts à Bamako, dans un enregistrement audio diffusé par l’agence privée mauritanienne Al-Akhbar.
Pour les militaires français, qui le traquent depuis deux ans, il est l’homme à abattre. Pleins feux sur le doyen – et le plus insaisissable – des jihadistes algériens.
Ahmed el-Tilemsi, l’un des principaux chefs jihadistes de la bande sahélo-saharienne, a été tué dans un raid mené par les militaires français dans le nord du Mali. Pour Paris, il s’agit d’un « coup très dur » porté aux groupes terroristes de la région.
Dans un enregistrement audio transmis mercredi soir au site d’information mauritanien Alakhbar, Al-Mourabitoune, le groupe du jihadiste Mokhtar Belmokhtar, revendique l’attentat-suicide qui a tué un sous-officier français le 14 juillet dans le nord du Mali.
Le jihadiste algérien Mokhtar Belmokhtar, dont un groupe a occupé pendant des mois le nord du Mali en 2012, a réaffirmé sa fidélité au chef d’Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, dans un communiqué mis en ligne mercredi sur des sites islamistes.
Selon le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), la présence en Libye de Mokhtar Belmokhtar serait une menace pour la paix. Le jihadiste algérien et ses hommes avaient occupé pendant plusieurs mois le nord du Mali en 2012.
Selon des sources sécuritaires régionales, l’armée française a tué, la semaine dernière, Hacène Ould Khalill. Un Mauritanien connu sous le nom de Jouleibib et un gros poisson du terrorisme : il était le numéro deux du groupe jihadiste de Mokhtar Belmokhtar, responsable, entre autres, de l’attaque en Algérie du site gazier d’In Amenas, en janvier dernier.
Robert Fowler a été enlevé par Aqmi, au Niger, en 2008. Libéré après quatre mois de captivité au fin fond du Sahara, l’ancien diplomate canadien a écrit un livre, « Ma saison en enfer », pour raconter sa terrible expérience. Interview.
D’après le site d’information mauritanien ANI, le groupe du terroriste algérien Mokhtar Belmokhtar et le Mujao ont décidé de s’unir pour former une seule et même organisation jihadiste, baptisée « Al Mourabitoune » (« Les Almoravides »).
Les autorités judiciaires new-yorkaises ont annoncé vendredi l’inculpation du jihadiste algérien Mokhtar Belmokhtar pour l’attaque du complexe gazier d’In Amenas, en Algérie, en janvier dernier, durant laquelle au moins 38 otages de dix pays avaient été tués, dont trois Américains.
Washington offre depuis lundi 3 juin jusqu’à 23 millions de dollars de récompense pour toute information conduisant à la capture de plusieurs terroristes africains. Parmi eux figurent le jihadiste sahélien Mokhtar Belmokhtar, le chef de la secte islamiste nigériane Boko Haram, Abubakar Shekau, ou encore différents responsables d’Aqmi.
Une lettre de dix pages, découverte dans un immeuble à Tombouctou, au Nord-Mali, révèle les dessous de la rupture houleuse entre le jihadiste Mokhtar Belmokhtar et Aqmi. Outre les nombreux reproches adressés au « Borgne » par ses anciens chefs, ce document fournit des éléments précieux sur le fonctionnement interne de l’organisation terroriste.
Le Niger clôt ses 72 heures de deuil. Le vrai-faux deuil de Mokhtar Belmokhtar, annoncé mort en avril par les autorités tchadiennes, finit, lui, par une “résurrection”.
Deux attentats-suicides contre une caserne de l’armée nigérienne à Agadez et un site d’Areva à Arlit ont fait jeudi 23 mai une vingtaine de morts. D’après plusieurs communiqués jihadistes, ces attaques sanglantes, d’abord revendiquées par le Mujao, ont été « supervisées » par le jihadiste algérien Mokhtar Belmokhtar. Le célèbre chef jihadiste menace même de mener d’autres opérations contre la France et ses alliés.
Début mars, l’armée tchadienne annonçait avoir tué Mokhtar Belmokhtar dans des combats à l’extrême-nord du Mali. Mort pour les uns, vivant pour les autres : plus d’un mois après son décès supposé, le sort du chef jihadiste est encore très flou.
Le ministre algérien de l’Intérieur, Dahou Ould Kablia, a fait plusieurs « révélations » de taille au cours d’une interview à « Al Arabiya », le 11 mars. Elles concernent les deux terroristes d’Aqmi, Mokhtar Belmokhtar et Abou Zeid, les otages japonais pendant de l’attaque d’In Amenas, ou encore les assassins présumés de Chokri Belaïd en Tunisie.
Des régions entières hors de tout contrôle, un supermarché d’armes à ciel ouvert, des jihadistes intouchables… Deux ans après la révolution, la Libye n’a jamais fait aussi peur à ses voisins. Enquête sur une bombe à effet de souffle.
La confusion règne toujours sur le sort d’Abou Zeid et de Mokhtar Belmokhtar, deux chefs jihadistes que l’armée tchadienne affirme avoir tués lors des récents combats dans le massif de l’Adrar des Ifoghas, à l’extrême nord du Mali. Mardi, RFI et Paris Match publient la même photo d’un homme mort. Pour le premier média, il s’agit du corps de Belmokhtar. Pour le second, c’est celui d’Abou Zeid.
Le président tchadien, Idriss Déby Itno, a réaffirmé, lundi 4 mars, que les deux chefs islamistes Abou Zeid et Mokhtar Belmokhtar avaient été tués « lors des affrontements qui ont eu lieu le 22 février et 2 mars » dans le nord du Mali. Alger, Paris et Bamako refusent, quant à eux, de confirmer ou d’infirmer leur mort.
Hormis au Tchad, aucune source officielle n’a confirmé la mort d’Abou Zeid et de Mokhtar Belmokhtar, les deux principaux chefs du jihadisme sahélien. Une situation confuse sur laquelle les principaux bélligérants observent la plus grande discrétion.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a appelé « à la prudence » après les annonces par N’Djamena de la mort des chefs jihadistes Abou Zeid et Mokhtar Belmokhtar. De son côté, le chef d’état-major des armées, l’amiral, Edouard Guillaud, a estimé, lundi 4 mars, que la mort de Abou Zeid était « probable ». Samedi, deux soldats, un français et un tchadien, sont morts lors d’affrontements dans le massif des Ifoghas.
L’armée tchadienne a annoncé dans un communiqué, samedi 2 mars au soir, que le chef jihadiste et trafiquant Mokhtar Belmokhtar avait été tué au nord du Mali. Si elle est confirmée, sa mort et celle de Abou Zeid, un autre chef d’Aqmi, constitueraient un gros revers pour la mouvance radicale armée.
En acceptant de publier les communiqués du commando islamiste responsable de la prise d’otages d’In Amenas, l’Agence Nouakchott d’information (ANI), s’est attirée les foudres du quotidien algérien El-Watan.
Que se passe-t-il lorsqu’un journaliste croise par hasard, dans le nord du Mali, la route de Mokhtar Belmokhtar, l’un des djihadistes les plus recherchés au monde ? Récit d’une rencontre avec un émir d’Aqmi.
L’information faisant état de la destitution de Mokhtar Belmokhtar de la tête de sa katiba au Nord-Mali a été aussitôt démentie par l’adjoint du jihadiste et membre du Mujao, Oumar Ould Hamaha.
En mars, les Touaregs s’installaient à Gao avant d’en être chassés, trois mois plus tard, par les islamistes. Depuis, rares sont les journalistes qui ont pu s’y rendre. Reportage dans une cité à moitié vidée de ses habitants, où les « barbus » font régner la loi.
Dans un communiqué envoyé à l’agence de presse mauritanienne ANI, un des émirs d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Mokhtar Belmokhtar, tente de calmer le jeu après les affrontements violents de la semaine dernière à Gao entre les islamistes et le MNLA.
Dans un entretien accordé à une agence d’information mauritanienne, Mokhtar Belmokhtar affirme qu’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a profité du conflit libyen pour s’armer. Ce chef terroriste a également évoqué l’existence de « relation idéologique » avec la rebellion libyenne.