Fondée par le géant OCP, l’Université Mohammed-VI-Polytechnique est devenue en quelques années l’établissement d’enseignement le plus prestigieux du royaume. Partenaire de Harvard, de Columbia University ou encore de CentraleSupélec, l’institution dirigée par Hicham El Habti aspire à former la future élite africaine.
Le groupe dirigé par Mostafa Terrab vient d’enregistrer un revers dans une bataille juridique qui l’oppose à Mosaic, aux États-Unis. Une bataille démarrée durant la première présidence Trump.
Pierre angulaire du développement économique du royaume, certains établissements et entreprises publics enchaînent les performances. D’autres les pertes. Tour d’horizon.
Engagé dans un ambitieux programme de décarbonation, le premier producteur mondial d’engrais phosphatés va désormais bénéficier de la force de frappe de l’énergéticien français.
Depuis quelques années, le groupe dirigé par Mostafa Terrab investit dans des activités loin de son cœur de métier. Est-ce bien sa vocation ? À quels critères obéit cette stratégie de diversification ?
Six ans après sa première levée de fonds, la société Emmerson, cotée à la Bourse de Londres, essuie un refus de la part des autorités marocaines. De son côté, le géant OCP poursuit son projet d’exploitation de potasse dans la même localité.
En moins de dix ans, le Lydex, établissement d’enseignement secondaire et supérieur à l’ambition affichée d’ascenseur social, a réussi à hisser ses classes préparatoires au niveau de ses homologues françaises les plus prestigieuses. Reportage dans une institution d’exception.
À la faveur d’une décision du producteur américain Mosaic, le géant marocain des phosphates entrevoit une détente sur l’imposition de droits de douane à ses exportations.
Sous pression des pouvoirs publics, l’office marocain de l’électricité doit désormais composer avec une nouvelle donne : l’énorme programme de 13 gigawatts d’énergie propre que l’entreprise OCP, dirigée par Mostafa Terrab compte produire à l’horizon 2032. Soit plus du double de la capacité actuelle du réseau de transport électrique du royaume.
Le marocain OCP Group, leader mondial de l’engrais phosphaté, investit depuis plusieurs années dans les énergies d’avenir. Une initiative qui vise à réduire son empreinte carbone et ses importations d’ammoniac.
Hydrogène, ammoniac vert, technologie… Les deux mastodontes miniers veulent créer « une entreprise de pointe mondiale » afin de répondre aux besoins du Maroc, mais aussi à ceux des marchés internationaux.
Le géant marocain dirigé par Mostafa Terrab présente des résultats 2023 en repli par rapport à 2022 et 2021, deux années fastes. Ce qui ne l’empêche pas de maintenir ses ambitions et ses investissements.
Premier producteur mondial d’engrais phosphatés, le groupe marocain dirigé par Mostafa Terrab ne cesse de s’étendre et de se diversifier. Il mène aujourd’hui de front plusieurs chantiers aussi ambitieux que stratégiques pour le royaume. Au risque de s’éparpiller ?
Des décisions de justice encourageantes et le relatif maintien de ses exportations témoignent de la capacité d’adaptation du géant marocain sur le marché américain face à son concurrent.
En bataille devant la Chambre de commerce internationale à Paris ou devant des institutions américaines, le géant marocain des engrais phosphatés ne lésine pas sur les moyens pour gagner ses contentieux. Revue de détails.
En visite aux Émirats arabes unis, le roi du Maroc est accompagné d’une délégation à forte composante économique, imprimant une couleur très « business » à ce déplacement royal.
Quand certains établissements et entreprises publics marocains enchaînent les années bénéficiaires, d’autres font grise mine, voire traînent l’image de « canards boiteux ».
Dotée de 800 millions de dollars, une plateforme commune du bailleur de la Banque mondiale et du géant marocain des phosphates doit encourager l’essor du financement de l’agriculture continentale.
Un partenariat avec la Banque mondiale, un prêt de 100 millions d’euros auprès de sa filiale privée l’IFC… Les Assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale qui ont lieu à Marrakech s’avère être un terrain fertile pour OCP, le géant marocain des phosphates.
Le leader mondial des engrais phosphatés dirigé par Mostafa Terrab enregistre des résultats en repli. Le retour à la normale des prix de vente et la fébrilité de la demande expliquent cette contraction.
Ex-membre du très sélect G14 et ancien ministre, le patron de Mutandis, 59 ans, a réussi au cours de sa carrière à se constituer un solide réseau, aussi bien dans la politique que dans le business.
L’ancien ministre de l’Intérieur, l’un des technocrates les plus en vue sous Hassan II comme sous Mohammed VI, est interdit de toute fonction officielle dans le royaume. Son parti lui a tourné le dos, ainsi l’ex-patron de Tanger Med a été poussé à la retraite.
Acteur sécuritaire de premier plan sur le continent via le groupe Wagner, Moscou est aussi un fournisseur clé d’engrais, autre levier d’influence. Décryptage d’une diplomatie économico-politique.
Clé de voûte du secteur agricole, l’approvisionnement en fertilisant représente un marché stratégique, qui réunit quelques acteurs de poids et une galaxie d’autres opérateurs aux grandes ambitions. Plongée dans un milieu à cheval entre l’économie et la politique.
Engagés dans des partenariats stratégiques, Rabat, Alger et Tunis se ruent vers l’hydrogène vert. Si les intentions sont diverses, le déploiement des projets de production demeure une priorité.
Le leader mondial des phosphates vient de décrocher un important prêt de la Société financière internationale (IFC) pour la construction de quatre centrales solaires.
En Afrique orientale, le groupe marocain dirigé par Mostafa Terrab, leader sur le continent, fait face à une concurrence croissante du géant saoudien des engrais et des mines. Explications.
De l’ONA à Saham en passant par la commission royale sur le modèle de développement et le conseil d’affaires Maroc-Israël, retour sur le parcours d’une centralienne qui « n’aime pas le feu des projecteurs ».
Après deux années en or, le géant marocain des phosphates dispose des moyens financiers de réussir l’ambitieuse transition verte qu’il promet. Mais le plus dur reste à faire.
Artisan de la modernisation du secteur marocain des télécoms, puis de l’expansion de l’opérateur historique dans le royaume et en Afrique, l’ex-ministre, devenu l’un des dirigeants d’entreprise les plus influents du pays, traverse une zone de turbulences sans précédent.