Dans un contexte de flambée des prix, le patron d’OCP réaffirme l’engagement du géant marocain des phosphates à faciliter l’accès aux engrais sur le continent.
Le géant des phosphates annonce la création d’une coentreprise avec une filiale de l’un des plus puissants groupes industriels américains. Objectif : développer la production d’engrais du complexe du port de Jorf Lasfar.
Le groupe marocain dirigé par Mostafa Terrab conteste la décision de l’administration américaine, favorable à son concurrent Mosaic, de taxer ses importations d’engrais.
Dans cette seconde partie de l’interview accordée à Jeune Afrique, le PDG du géant marocain des engrais revient sur l’année 2020, des bouleversements entraînés par la pandémie de Covid à la plainte déposée contre son groupe par l’américain Mosaic.
Dans ce premier volet de l’interview exclusive accordée à Jeune Afrique, le PDG du géant marocain des engrais dessine la feuille de route de son groupe pour les dix années à venir.
L’administration Biden, suivant une procédure initiée sous la présidence Trump, a confirmé l’imposition de droits de douane sur les importations d’engrais venant du Maroc, un coup dur pour OCP.
Avec Mohamed Anouar Jamali, Mostafa Terrab choisit un profil atypique pour conduire le développement du géant marocain des phosphates sur le continent, dans un contexte de concurrence exacerbée.
Le leader marocain des engrais présente de bons résultats annuels et une rentabilité « supérieure à la moyenne du secteur », en dépit de conditions de marché moins favorables.
À la veille du grand remaniement annoncé dans l’administration, le rapport annuel de la Cour des comptes, présidée par l’ex-Premier ministre Driss Jettou, offre une première idée des chances des uns et des autres de conserver leurs postes.
Le groupe marocain OCP a pu récupérer une cargaison bloquée à Port Elizabeth depuis mai 2017 suite à une plainte du Polisario. Mais il a fallu à l’entreprise s’acquitter d’abord des frais judiciaires.