Un peu plus d’un an après avoir cédé ses participations dans Majorel à Teleperformance, le patron du groupe Saham hérite de la présidence du conseil d’administration du groupe français, dont le titre a dégringolé en Bourse après des changements de gouvernance.
Le départ de la banque français du royaume n’était pas immédiatement attendu, mais il s’inscrirait dans une stratégie claire de désengagement en Afrique. L’ancien ministre marocain de l’Industrie et du Commerce, lui, reviendrait aux affaires financières par la grande porte.
Décarbonation, usines de batteries électriques, énergies renouvelables… Le ministre marocain de l’Industrie et du Commerce détaille la stratégie de son pays pour renforcer son tissu industriel et attirer les investisseurs.
L’accord valorise à 3 milliards d’euros la société détenue majoritairement par Saham du magnat marocain de la finance et Bertelsmann. Et promet d’importantes synergies.
Le binôme Chakib Alj-Mehdi Tazi est, une nouvelle fois, le seul à se présenter à sa propre succession à la tête de la CGEM. Pourquoi ce poste, autrefois si convoité, ne séduit plus ?
De l’ONA à Saham en passant par la commission royale sur le modèle de développement et le conseil d’affaires Maroc-Israël, retour sur le parcours d’une centralienne qui « n’aime pas le feu des projecteurs ».
Dans l’agroalimentaire, les mines ou encore la banque, plusieurs opérations stratégiques ont eu lieu en 2022 dans le royaume, menées par les champions nationaux dont Managem, Akwa et Holmarcom.
Habanos, jeune entreprise marocaine, prétend fabriquer des cigares marocains. Et accuse la célèbre marque cubaine du même nom de concurrence déloyale. Retour sur un feuilleton judiciaire hors norme.
De Saham Assurance aux ministères du Tourisme et désormais de l’Économie et des Finances, Nadia Fettah Alaoui a su tisser un réseau dans les sphères du pouvoir, qui lui a permis d’en gravir les échelons.
LE PORTRAIT ÉCO DE LA SEMAINE. Association avec le leader mondial du courtage Marsh, acquisition de 80 % d’Axa Assistance Maroc… En quelques années, Mehdi Tazi a réussi à construire un groupe de référence dans le courtage et l’assistance. Désormais, l’ancien PDG de Saham Assurance se donne pour objectif de devenir le leader panafricain dans cinq ans.
LE PORTRAIT ÉCO DE LA SEMAINE. Ministre très médiatique de 2013 à 2021, le fondateur du groupe Saham, Moulay Hafid Elalamy a disparu des radars depuis. Mais le « loup de la finance » a-t-il abandonné l’idée d’un grand retour sur le devant de la scène marocaine ? Éléments de réponse.
L’ex-CEO de Saham Finances vient d’être nommée par le roi Mohammed VI au ministère de l’Économie et des Finances. Récit d’une ascension aussi rapide que respectée.
Affichant clairement ses ambitions pour déloger les islamistes du gouvernement, le parti des Indépendants se prépare de manière studieuse aux prochaines échéances électorales, prévues en septembre.
Moulay Hafid Elalamy, Saâdeddine El Othmani… avec la pandémie, les leaders politiques comme les institutions ont fait du digital la clé de voûte de leur communication.
Si la crise sanitaire liée au Covid-19 a imposé au royaume l’accélération de sa transformation digitale, l’absence d’une vision et d’une réglementation en matière de numérique laisse la voie ouverte à toutes sortes de dérapages.
Aziz Akhannouch, Moulay Hafid Elalamy, El Othmani… Confinés à un an des élections, les hommes politiques marocains n’ont eu d’autre choix que d’investir les réseaux sociaux. À leurs côtés, leurs conseillers en communication digitale ont joué un rôle stratégique. Zoom sur ces spin doctors 2.0.
Alors que le royaume tourne la page de la crise sanitaire, Moulay Hafid Elalamy, le ministre de l’Industrie, mise sur une relance capitalisant sur les acquis, notamment technologiques, développés pendant le confinement. Rencontre.
France, Allemagne, Suisse, Sénégal, Roumanie… Les masques produits par le Maroc pour se protéger du coronavirus seront bientôt exportés partout dans le monde. Une prouesse industrielle, doublée d’un sérieux atout diplomatique pour le royaume de Mohammed VI.
Après les menaces de fermeture de Moulay Hafid Elalamy, les responsables de la chaîne de distribution discount turque BIM, répondent. Une bataille médiatique qui précède la révision de l’accord de libre-échange entre les deux pays.
Après une rencontre avec son homologue turc à Rabat le 15 janvier, le ministre marocain de l’Industrie et du Commerce a annoncé des discussions prochaines pour « revoir les conditions » de l’accord liant les deux pays. Les industriels du pays, qui pointaient du doigt une concurrence difficile à tenir, se réjouissent.
Le Maroc est lié à une cinquantaine de pays par des accords de libre-échange, conclus pour la plupart dans les années 2000. De la part de bords différents, leur bilan est contesté, et le ministre de l’Industrie et du Commerce a donc rassuré en déclarant publiquement être prêt à reconsidérer certains accords.
Encore discrète, Saham Management, la société marocaine de capital-investissement dirigée par Moulay M’hamed Elalamy, a conçu une stratégie axée autour de prises de participation majoritaires dans des groupes du royaume aux ambitions panafricaines.
Ils sont beaux, riches et ont la vie devant eux… Les enfants des capitaines d’industrie du royaume ne font pas que mener grand train. Ils sont déjà actifs dans ces immenses conglomérats qui leur appartiendront un jour.
Les deux hommes étaient sur le devant de la scène : Daniel arap Moi, ancien président kényan et Moncef Belkhayat, ancien ministre marocain de la Jeunesse et des Sports. Que sont-ils devenus ?
La Task Force a finalement validé le dossier marocain pour la candidature à l’organisation de la Coupe du Monde 2026 qui ira maintenant au vote final le 13 juin prochain.
Moulay Hafid Elalamy, titulaire du portefeuille de l’Industrie et du Commerce, exige une investigation au sujet de prétendus privilèges accordés à son groupe, Saham.
Ministre de l’Industrie et du Commerce du Maroc depuis 2013, Moulay Hafid Elalamy, également patron du groupe Saham, a été nommé président du comité de candidature du royaume à l’organisation du Mondial 2026. Tour d’horizon de sa garde rapprochée.
Le Maroc a officiellement déposé son dossier de candidature pour l’organisation du Mondial 2026 de football, a annoncé jeudi le président du Comité de candidature, Moulay Hafid Elalamy.
En six jours, l’action de Saham Assurance a perdu 14 % de sa valeur. L’annonce de la vente de son pôle Saham Finances au sud-africain Sanlam, le 8 mars dernier, ne lui a pas fait que du bien. Analyse.