Jeune Afrique révèle en exclusivité les détails de la transformation du groupe de Moulay Hafid Elalamy, Saham, qui seront annoncés ce jeudi. Une évolution historique après huit ans de présence sur le continent.
Le ministre de l’Industrie du Maroc, Moulay Hafid Elalamy, a acheté pour près de 160 000 euros une sculpture réalisée par l’artiste sénégalais Ousmane Sow, décédé en décembre 2016. Un geste de la famille du défunt en faveur de Rabat.
Candidat de l’Afrique à l’organisation de la Coupe du monde de football, le royaume a quatre mois pour s’imposer face au trio États-Unis - Canada - Mexique. Mise en place en janvier par Mohammed VI, la « dream team » du coach Elalamy est entrée en jeu. Atouts et handicaps d’un pari royal.
Mohammed VI a paraphé lundi 11 décembre 26 conventions de partenariats, notamment avec les groupes français Renault et PSA Peugeot Citroën, en vue de l’implantation d’autant d’usines de sous-traitants.
Au 2e China-Africa Investment Forum, qui s’est ouvert le 27 novembre à Marrakech, le principe d’une « coopération pragmatique » guide les discussions entre acteurs gouvernementaux et investisseurs.
Pour sa deuxième édition, qui se tiendra à Marrakech les 27 et 28 novembre, le China-Africa Investment Forum abordera les conditions nécessaires pour que le partenariat économique sino-africain atteigne son plein potentiel.
Le groupe français d’aéronautique et de défense ouvre une usine d’impression 3D à Casablanca. Un investissement très apprécié par les autorités alors que l’industriel ne manque pas de projets dans le royaume.
Grâce à une nouvelle approche fondée sur des « écosystèmes », le plan engagé en 2014 a permis de donner un vrai coup d’accélérateur au secteur secondaire. Bilan à mi-parcours.
Moulay Hafid Elalamy, le ministre marocain de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Économie numérique, s’est entretenu avec Jeune Afrique au sujet du plan d’accélération industrielle (PAI), lancé en 2014.
Lors d’une cérémonie présidée par le roi Mohammed VI, Moulay Hafid Elalamy, le ministre marocain de l’Industrie, a présenté les grandes lignes de son nouveau plan de réforme de l’investissement. Une dizaine de conventions ont été également signées pour 30 projets totalisant 7,5 milliards de dirhams d’investissements (680 millions d’euros), notamment dans l’automobile et l’aéronautique.
Pour activer une convention signée, lors de la visite de Mohammed VI à Pékin en mai dernier, une délégation d’hommes d’affaires et de représentants du gouvernement chinois a fait le déplacement au Maroc. Au menu des discussions : la création d’une cité industrielle et résidentielle à Tanger, dans le nord du royaume.
La police d’assurance agricole de la compagnie dont le ministre Moulay Hafid Elalamy est l’actionnaire majoritaire fait des vagues dans l’opinion après qu’elle a été choisie par les pouvoirs publics. À tel point que Saham en a suspendu la commercialisation. Récit.
Pour le ministre marocain de l’Industrie, le royaume chérifien dispose de tous les atouts pour attirer les investissements industriels chinois. Qui pourraient générer quelque 850 000 emplois.
Alors que la croissance de la Chine ralentit et que, surtout, l’économie du géant asiatique se modifie structurellement, ce forum espère faire naître de nouveaux types de partenariats économiques, davantage porteurs de valeur ajoutée.
Carlos Tavares, le patron de PSA Peugeot-Citroën a livré, vendredi 19 juin à Rabat, les détails de son plan ambitieux d’implantation au Maroc. Du pain bénit pour le royaume chérifien.
La présidente de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a sorti le patronat de sa torpeur, devenant un interlocuteur privilégié du gouvernement et des syndicats. Sans surprise, elle vient d’être réélue.
Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a appelé, lundi, à renforcer et à renouveler la relation avec le Maroc, après un an de brouille. Voici, en quatre points, dans quels domaines les changements devraient intervenir.
Agenda chargé pour Laurent Fabius au Maroc. Coopération politique, économique est culturelle sont les trois volets de sa visite de deux jours, sur fond de réconciliation diplomatique entre Paris et Rabat.
Nommée directrice générale de l’École centrale de Casablanca (ECC), Ghita Lahlou conserve néanmoins ses fonctions au sein du groupe Saham, où elle préside les pôles offshoring et santé.
Pris sous l’aile de la monarchie dès les années 2000, les fleurons du pays sont capables de rivaliser avec les plus grandes multinationales, sur leur marché comme à l’étranger. Et aujourd’hui, c’est le roi lui-même qui les conduit à la conquête de l’Afrique. Quitte à transiger avec la libre concurrence…
Moulay Hafid Elalamy ne souhaite pas pour l’instant vendre Saham, son groupe leader de l’assurance en Afrique, au français Axa. Pourtant le géant mondial du secteur était intéréssé a appris « Jeune Afrique ». Explications.
Sans renier l’héritage de son père, indéboulonnable ministre de Hassan II, Abdelmalek Alaoui ne doit sa réussite qu’à son talent. Fondateur de Global Intelligence Partners, il conseille grands patrons et hommes politiques.
Ils font rarement la une des journaux, mais les mariages entre grandes familles sont une tradition bien établie dans le royaume. Une façon de perpétuer richesse, pouvoir et rang social.
Avec Moroccan Agency for Trade, Investment and Services (Matis), le Maroc espère rationnaliser et mieux coordonner le développement de l’attractivité du pays et la promotion de ses exportations.
Saham Finances a annoncé avoir pris une participation majoritaire (66 %) dans le capital de la compagnie rwandaise d’assurance et de réassurance Corar-AG.
Six mois après son entrée au gouvernement, l’homme d’affaires marocain Moulay Hafid Elalamy vient de dévoiler sa nouvelle stratégie industrielle. Objectif : favoriser l’emploi, la valeur ajoutée et l’export. « Jeune Afrique » est allé à sa rencontre.
Miriem Bensalah, la patronne des patrons marocains, et Moulay Hafid Elalamy, le ministre de l’Industrie et du Commerce, sont en froid. Selon les analystes du marché casablancais, c’est là qu’il faut chercher l’explication des mauvaises performances boursières de leurs entreprises respectives…
Le ministre marocain du Commerce et de l’Industrie annonce le 2 avril dans l’après-midi la nouvelle stratégie industrielle du Maroc. Objectif de Moulay Hafid Elalamy : créer 500 000 emplois durables d’ici 2020, et augmenter la part de l’industrie dans le PIB de 9 points.
Désormais ministre, Moulay Hafid Elalamy, le fondateur du groupe Saham, doit relever deux défis majeurs : relancer l’industrie et inciter les entreprises marocaines à s’implanter sur le continent.