Au Maroc, le scandale provoqué par les confessions d’El Hadj Ahmed Ben Ibrahim est loin d’avoir livré tous ses secrets. Après le temps des coupables, voici venu celui des complices…
Écroué en décembre pour trafic de drogue, le député PAM Abdenbi Bioui est aussi un homme d’affaires prospère qui brasse des centaines de millions de dirhams grâce à des marchés publics.
Sous le coup d’une enquête judiciaire depuis deux ans, le PDG de l’agence nationale marocaine chargée des énergies renouvelables a passé la main au niveau opérationnel. Tout juste nommé directeur général délégué, Tarik Hamane devrait lui succéder prochainement.
Depuis l’ouverture d’une enquête à son encontre pour mauvaise gestion à la tête de Masen, le grand commis de l’État fait profil bas, ne se rendant au siège de l’agence que pour expédier les affaires courantes. Le vent a-t-il définitivement tourné pour le Monsieur énergies renouvelables du royaume ?
Après vingt ans passés au service de l’État, le patron de Masen se retrouve au cœur d’une instruction judiciaire liée à sa gestion de l’agence solaire marocaine des énergies renouvelables.
À la tête de Masen depuis plus de dix ans, le président de la région Casablanca-Settat est sous le coup d’une enquête pour mauvaise gestion sur fond de retards des projets solaires du royaume.
En dix ans, l’agence pour l’énergie durable a fait du Maroc un pays clé des énergies renouvelables, qui représentent 35 % de sa production électrique. Leur part – solaire et éolien en tête – continue de croître au Maroc.