Sous le prétexte de contrôler les financements étrangers, un projet de loi prévoit de soumettre le tissu associatif à une série de contrôles et d’autorisations administratives. Un pas de plus vers la mise sous tutelle de la société civile ?
La vague d’arrestations d’opposants et de représentants de la société civile se poursuit. Lundi soir, lors de la rupture du jeûne, c’est le chef du parti islamiste et ancien président du Parlement qui a été appréhendé.
Le lieutenant-colonel Damiba, Nabil Karoui, Denis Sassou Nguesso, Laurent Gbagbo, le général « Hemetti »… Tels sont quelques-uns des clients de cet obscur lobbyiste israélo-canadien aux méthodes discutables.
Avisa Partners n’est pas la seule agence d’affaires publiques parisienne à opérer sur le continent. Enquête sur des concurrents qui influencent l’opinion.
En exil, l’homme politique, et candidat malheureux à la présidentielle de 2019, continue de louer une résidence de luxe à Carthage. Montant des impayés, selon la justice : plus de 40 000 euros.
« Lotfi Bel Hadj, Lobbyiste à tout prix » (1/2). Communicant hors pair pour les uns, manipulateur de haut vol pour les autres, cet homme d’affaires franco-tunisien, spécialiste de la cyberinfluence, ne laisse personne indifférent. « Jeune Afrique » a retracé l’itinéraire de ce personnage atypique et secret qui monnaye ses services de Tunis à Kinshasa en passant par Abidjan.
En août, Nabil et Ghazi Karoui ont quitté la Tunisie pour échapper à leurs ennuis judiciaires. Jeune Afrique a retracé l’itinéraire de leur périple, jusqu’au cœur de l’Europe.
Le gendarme de l’audiovisuel tunisien a confirmé la fermeture de la chaîne de télévision fondée par Nabil Karoui. Mais les dirigeants de ce média ne comptent pas baisser les bras.
L’épouse de Nabil Karoui sort de son silence et dénonce une machination politique contre l’ex-candidat à la présidentielle et chef du parti Qalb Tounes, accusé de blanchiment d’argent et d’évasion fiscale. Entretien exclusif.
Affaire Rached-Akremi, réformes, corruption, collusion avec les forces politiques… Le juge à la retraite livre son verdict sur l’institution judiciaire tunisienne.
L’homme d’affaires Nabil Karoui, patron de la chaîne Nessma TV et candidat malheureux à la présidentielle de 2019, a été placé jeudi sous mandat de dépôt dans une affaire de blanchiment d’argent qui le poursuit depuis 2017.
Au lendemain de l’interview donnée par Nabil Karoui à Jeune Afrique, l’essayiste Amine Snoussi s’interroge sur la stratégie du fondateur de Qalb Tounes, et ancien candidat à la présidentielle.
Covid-19, relations avec Ennahdha, code électoral… Neuf mois après sa défaite à l’élection présidentielle, le président de Qalb Tounes appelle les responsables politiques tunisiens à revoir la gouvernance de fond en comble.
Dix députés de Qalb Tounes, qui en comptait 38 jusque-là à l’Assemblée, ont annoncé ce 10 mars leur démission du parti fondé par Nabil Karoui. Une décision qui va modifier, une fois de plus, les équilibres au sein de l’hémicycle.
Alors que le juge devrait être le protecteur des libertés, il s’est mué, sous le poids d’un demi-siècle de régime autoritaire en Tunisie, en garant de l’ordre, soucieux d’appliquer la loi avec rigidité.
Participer au pouvoir ou incarner l’opposition aux islamistes ? Tel est le dilemme auquel est confronté le parti de Nabil Karoui, qui peine encore à définir sa ligne politique.
Une affaire portant sur un contrat de lobbying international passé avec le patron israélien de l’agence canadienne Dickens & Madson menace l’ancien patron de Nessma TV.
En l’absence de majorité absolue pour le parti islamiste Ennahdha, arrivé en tête lors des élections législatives d’octobre dernier, les tractations vont bon train pour essayer de peser dans les futurs équilibres de l’Assemblée.
Le chef historique du parti Ennahdha, arrivé en tête des législatives en Tunisie, a été élu mercredi président du Parlement. Il a bénéficié du soutien du parti de Nabil Karoui.
Vainqueur des législatives, Ennahdha doit former un gouvernement qui devra obtenir la confiance d’une majorité de députés dans un hémicycle plus morcelé que jamais.
Investi d’une incontestable autorité morale après son élection à la présidence de la République avec plus de 70 % des voix, Kaïs Saïed, sans parti, aura fort à faire pour peser dans le jeu politique. Et imprimer un véritable changement. Analyse.
L’instance électorale a confirmé lundi 14 octobre la large victoire du constitutionnaliste Kaïs Saïed lors du second tour du scrutin présidentiel, avec 72,71 % des voix, contre 27,29 % pour son concurrent Nabil Karoui.
Pendant plus de six mois, il a été donné favori de l’élection présidentielle. Dimanche 13 octobre, Nabil Karoui s’est finalement incliné au second tour face au juriste Kaïs Saïed, en remportant à peine un quart des suffrages exprimés. Retour sur les raisons d’une défaite.
Kaïs Saïed devance largement Nabil Karoui au second tour de l’élection présidentielle, selon les premières estimations des instituts de sondage, qui lui accordent entre 72 % et 77 % des voix. Les résultats officiels doivent être proclamés lundi 14 octobre par l’Instance électorale.