Le pays dirigé par Nana Akufo-Addo traverse une grave crise économique, mais l’aide internationale ne peut être sa seule issue sur le long terme. D’autant que des caciques du parti au pouvoir ne soutiennent pas le recours au fonds.
Les présidents ghanéen et gambien Nana Akufo-Addo et Adama Barrow et le ministre togolais des Affaires étrangères, Robert Dussey, étaient à Bamako ce jeudi 29 septembre afin de négocier avec le régime d’Assimi Goïta.
Les obsèques de la souveraine britannique auront lieu à Londres dans la matinée du 19 septembre. Et beaucoup de présidents africains seront présents à cet événement mondial.
La huitième édition de la Conférence de Tokyo sur le développement en Afrique (Ticad 8), les 27 et 28 août, aurait pu être l’occasion pour l’archipel et le continent de resserrer leurs liens. Mais l’absence du Premier ministre Fumio Kishida, testé positif au Covid, risque de pousser plusieurs chefs d’État africains à annuler leur venue.
Une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux montre le président ghanéen sur la piste de danse de la récente célébration locale de la fête nationale française. Bonhomie ou indécence ?
Loyal en amitié, le Ghanéen a récompensé ses proches en les nommant à des postes clés au sein de son ministère. Cet homme très pieux est pressenti pour être le prochain candidat du Nouveau Parti patriotique à l’élection présidentielle de 2024.
Tiraillé entre la Cedeao et Bamako, le chef de l’État a tranché en faveur de son voisin malien. Assassinat de citoyens mauritaniens au Mali, retrait du G5 Sahel, présence de Wagner, allègement des sanctions économiques… Récit d’un intense lobbying diplomatique.
Le pays a enregistré en mai une inflation de 27%, son niveau le plus haut depuis deux décennies, et les manifestations contre la vie chère se multiplient.
Alors qu’un nouveau sommet de la Cedeao capital pour l’avenir du Mali doit se tenir ce dimanche 3 juillet, les tractations vont bon train dans la sous-région. Deux lignes s’opposent sur la position à adopter face à la junte malienne. Si le président nigérien prône la fermeté, son homologue togolais n’hésite pas à conseiller Assimi Goïta.
En visite éclair à Abidjan, le 14 avril, le chef de l’État togolais a profité de son entretien avec son homologue ivoirien pour évoquer le dossier malien… Et ses relations tendues avec Nana Akufo-Addo. Explications.
Le président malien est prêt à ramener le délai de la transition à vingt-quatre mois, mais pas moins. Inacceptable pour les présidents ouest-africains, qui étaient réunis en sommet extraordinaire ce vendredi.
En affirmant vouloir prolonger la transition de cinq années supplémentaires, les autorités maliennes se sont aliéné une large partie de la communauté internationale. Les dirigeants de la Cedeao, qui se réunissent dimanche à Accra, n’excluent pas de sévir.
À trois jours du sommet de la Cedeao sur le Mali, les autorités tentent de convaincre que la transition doit durer cinq ans de plus. Mais ni dans la sous-région ni au sein des partis politiques, on ne se dit prêt à accepter ce calendrier.
Après seize mois au pouvoir, la junte d’Assimi Goïta continue de réfléchir, à voix haute, à la suite des évènements. Les résolutions des Assises nationales de la refondation n’alimentent-elle qu’un surplace ?
Les 17 et 18 décembre, à Istanbul, le président Recep Tayyip Erdogan recevra une vingtaine de ses pairs du continent, pour la troisième édition de cet événement.
À quatre mois de la fin réglementaire de la transition, le colonel Assimi Goïta entend rester maître du calendrier. Ce qui n’est pas du goût de Nana Akufo-Addo, le président en exercice de la Cedeao, qui fait pression pour que le transfert du pouvoir aux civils soit le plus rapide possible.
Le Parlement ghanéen a décidé de réaliser un emprunt de 1,45 milliard de dollars pour sa compagnie pétrolière. Mais cette décision est loin de faire l’unanimité.
Le sommet « Compact with Africa », organisé dans le cadre du G20, aura lieu en Allemagne ce vendredi 27 août. Plusieurs chefs d’État africains sont attendus au côté de la chancelière Angela Merkel. « Jeune Afrique » en détaille le programme.
En première ligne depuis le coup de force d’Assimi Goïta, les chefs d’États ouest-africains se réunissent le 30 mai à Accra pour débattre d’éventuelles sanctions à l’encontre du pouvoir malien. Jeune Afrique livre les coulisses de ces négociations.
Présents à Paris pour le sommet sur la relance des économies africaines, Mohamed Bazoum, Faure Gnassingbé et Nana Akufo-Addo ont poursuivi leur visite en Europe par une étape à Bruxelles. « Jeune Afrique » déroule le programme européen des présidents ouest-africains.
Le 15 février, les chefs d’État du G5 Sahel, Macky Sall et Nana Akufo Addo se sont réunis en huis clos pendant plus de deux heures, tandis qu’Emmanuel Macron a participé aux échanges par visioconférence. Voici ce qu’ils se sont dit.
Le président ghanéen Nana Akufo-Addo a été réélu mercredi à l’issue d’un scrutin extrêmement serré mais sa victoire est contestée par l’opposition qui dénonce une « attaque » à l’encontre de la démocratie.
Le Ghana se prépare à choisir lundi son président, dans un scrutin qui s’annonce serré entre deux adversaires politiques de longue date qui se sont engagés à ne promouvoir aucune violence lors du vote et de la proclamation des résultats.
Le 23 juillet, Muhammadu Buhari, Mahamadou Issoufou, Alassane Ouattara, Nana Akufo-Addo et Macky Sall ont tenté de jouer les médiateurs à Bamako entre Ibrahim Boubacar Keïta et son opposition. En vain.
Depuis qu’il a fait don de millions de masques et de matériel médical en mars, le milliardaire Jack Ma, 17e fortune mondiale, selon le magazine américain Forbes (40,9 milliards de dollars), est devenu le visage de l’aide chinoise en Afrique. Mais le patron d’Alibaba n’a pas attendu la pandémie de coronavirus pour s’intéresser au continent.
La présidente du Conseil économique, social et environnemental du Sénégal, Aminata Touré, participe du 17 au 18 janvier à l’Initiative de Lomé, au cours de laquelle des chefs d’État africains ont signé un engagement politique visant à lutter contre le trafic de faux médicaments. Elle appelle à la criminalisation du phénomène et à une meilleure coopération entre les États.