De la politique à l’économie en passant par la culture et le monde des médias, « The Africa Report », la publication anglophone du groupe Jeune Afrique, a sélectionné 28 personnalités africaines influentes à suivre en 2020 dans les cinq grandes régions du continent.
Malgré un bilan d’étape mitigé, Nana Akufo-Addo briguera, fin 2020, un second mandat. D’ici là, l’opposition peut-elle gagner du terrain ? Minée par les divisions, elle peine encore à se montrer combative.
Le président ghanéen Nana Akufo-Addo aborde la campagne pour la présidentielle de 2020 avec un secteur financier encore fragilisé. Si des réformes ont été engagées, elles n’ont pas satisfait toutes les attentes.
Le ministère ghanéen de l’Information a annoncé lundi que les forces de sécurité ghanéennes avaient déjoué une tentative de déstabilisation. Trois personnes ont été arrêtées. Des militaires seraient impliquées.
Pour réinventer le lien entre les diasporas africaines et le continent, il faut mettre en place des outils financiers et juridiques. L’objectif : une meilleure mobilisation de leur potentiel pour le développement de l’Afrique.
Les présidents français et ghanéen, Emmanuel Macron et Nana Akufo-Addo, ont vanté jeudi à Paris sous les ors de l’Élysée le « rôle essentiel » des diasporas africaines, devant un parterre de personnalités appelées à réinventer le lien avec le continent.
Confrontés au risque de l’infiltration de jihadistes, le Bénin, le Togo et le Ghana se trouvent désormais obligés de relever leurs niveaux de vigilance, et de renforcer les liens avec les services de renseignements des pays en première ligne.
Alors que la dette crevait le plafond, le Ghana n’a eu d’autre choix, en 2015, de se tourner vers le FMI pour redresser la barre, avec un programme qui a pris fin le 20 mars dernier et que Nana Akufo-Addo n’a pas souhaité renouveler. Si les indicateurs macroéconomiques sont presque revenus à la normale, il reste du chemin à parcourir, alors que l’approche de l’élection présidentielle laisse présager d’importantes dépenses.
À mi-mandat, pas question pour le chef de l’État de relâcher la pression. Alors que ses premières mesures tardent à produire leurs effets, Nana Akufo-Addo se prépare déjà pour l’échéance présidentielle de 2020.
John Mahama, ancien président du Ghana, a été désigné candidat du principal parti d’opposition à la présidentielle de 2020 lors des primaires du Congrès national démocratique (NDC), samedi.
Élu il y a près de deux ans, le président ghanéen, Nana Akufo-Addo, n’a pas manqué de rigueur dans sa gestion. Mais le poids de la dette et la faillite des banques limitent sa marge de manœuvre et compromettent ses promesses de campagne.
L’ex-président ghanéen John Dramani Mahama a annoncé jeudi sa candidature pour représenter le parti de l’opposition, le National democratic congress (NDC), à la prochaine élection présidentielle prévue en 2020.
Contrôlant 60 % de la production de fèves de cacao au niveau mondial, les deux pays ont conçu une stratégie commune de mise en marché afin d’influencer les cours internationaux. Les deux économies vont également rapprocher leur politique de soutien au secteur avec la mise en place d’un prix plancher unique pour les cultivateurs dès septembre 2018
Le gouvernement du Ghana a annoncé jeudi qu’il avait « décidé de prendre des mesures immédiates » pour dissoudre la fédération ghanéenne de football, après les révélations explosives d’une enquête journalistique sur la corruption de dirigeants et d’arbitres.
La récente élection de l’opposant Julius Maada Bio en Sierra Leone, ou celle de George Weah au Liberia, montre une dynamique qui anime l’Afrique de l’Ouest depuis dix ans : ces pays ont presque tous connu une alternance au sommet de l’État. Cinq grandes raisons expliquent la débâcle des « sortants ».
Le sujet inscrit à l’ordre du jour du sommet de la Cedeao à Lomé, le 14 avril, était la situation en Guinée-Bissau. Mais Alassane Ouattara, Alpha Condé et Patrice Talon en ont profité pour s’entretenir avec Faure Gnassingbé. Et plaider pour des réformes.
Au cœur d’une polémique qui enflamme le Ghana, le président Nana Akufo-Addo a assuré jeudi, lors d’une allocution à la télévision, que son pays ne signerait pas d’accord avec Washington en vue de l’installation d’une base militaire américaine.
Le dialogue politique togolais devrait reprendre dès ce lundi 26 mars, un mois après sa suspension pour consultations bilatérales. La communauté internationale se mobilise depuis quelques jours pour convaincre les deux parties de reprendre les discussions afin de mettre fin à la crise qui secoue le pays depuis sept mois.
Six mois après les manifestations organisées par le Parti national panafricain (PNP) qui ont marqué le déclenchement de la crise politique au Togo, le dialogue politique s’ouvre ce lundi en présence du président ghanéen, Nana Akufo-Addo. Des discussions qui devraient durer une dizaine de jours et lors desquelles douze points doivent être abordés.
Les paroles attribuées à Donald Trump sur les pays africains qualifiés de « pays de merde » sont inacceptables, a déclaré samedi le président ghanéen Nana Akufo-Addo.
Un taux de croissance en hausse, une inflation en recul et une balance commerciale dopée par les exportations d’or et de pétrole. L’économie du Ghana se porte relativement mieux, en dépit du déficit budgétaire.
Après plus de trois mois d’affrontements par manifestations interposées, les représentants de la majorité et ceux de l’opposition devaient amorcer le dialogue, ce mardi 12 décembre, par une série de réunions préparatoires. Jean-Pierre Fabre, chef de file de l’opposition, a décliné l’invitation et se montre plus que réticent à poursuivre le processus.
Difficile de dire si les terribles images de migrants subsahariens vendus comme esclaves en Libye auront fait office d’électrochoc pour les dirigeants africains et européens. Elles auront eu néanmoins pour conséquence immédiate de placer le sujet au cœur des discussions lors de l’ouverture du sommet UA-UE qui se tient ces 29 et 30 novembre à Abidjan.
Un émissaire du président ghanéen a rencontré mardi, à Lomé, les principaux leaders politiques togolais. Une rencontre qui a permis aux acteurs de dessiner les contours du dialogue annoncé entre pouvoir et opposition.