Nicolas Sarkozy est un avocat et un homme d’État français. Il entame une carrière politique en 1976, en adhérant à l’Union pour la Défense de la République (UDR), un parti gaulliste. Notamment député des Hauts-de-Seine, puis plusieurs fois ministre, dont ministre de l’Intérieur et ministre du Budget, il est élu président de la République le 6 mai 2007, avec 53,06 % des voix, face à Ségolène Royal. Il n’est pas réélu le 6 mai 2012 face à François Hollande, qui remporte l’élection avec 51,64 % des suffrages.
L’homme d’affaires français Alexandre Djouhri, au cœur de l’enquête sur le possible financement libyen de la campagne de l’ex-président Nicolas Sarkozy en 2007, s’est séparé de ses avocats Éric Dupont-Moretti et Antoine Vey, préférant être notamment défendu par Francis Szpiner.
Proche de certains chefs d’État africains, comme Alassane Ouattara, et représentant les intérêts du Qatar au sein du groupe hôtelier Accor, l’ancien président français Nicolas Sarkozy continue de prendre pied en Afrique.
Si la production de bauxite en Guinée explose grâce à la présence de nouveaux acteurs, celle de l’or stagne, et le gouvernement doit encore débloquer le mégaprojet de fer de Simandou.
L’ancien président français Nicolas Sarkozy a rencontré le président guinéen Alpha Condé à Conakry, le 21 février. Au cœur de leurs échanges : l’affaire Beny Steinmetz, l’homme d’affaires franco-israélien en conflit avec Conakry depuis 2008, qui a fini par renoncer à ses droits sur l’exploitation du gisement de fer de Simandou. Il obtient en revanche l’exploitation du gisement de Zogota.
Paru aux éditions La Revue dessinée-Delcourt, un album retrace avec force détails les grandes étapes de l’intrigante relation entre Mouammar Kadhafi et Nicolas Sarkozy.
Ce 19 janvier, Andry Rajoelina est (re)devenu officiellement le Président de la République de Madagascar. Lors de la cérémonie d’investiture, il a rappelé ses engagements à développer rapidement le pays.
Le chef de l’État nigérien Mahamadou Issoufou, qui a rencontré l’ancien président français Nicolas Sarkozy mi-décembre, souhaite s’inspirer de son expérience pour sa future reconversion.
L’ex-patron de la DGSE, Bernard Bajolet, a fait scandale en Algérie en parlant de « momification du pouvoir ». Celui qui fut aussi l’ambassadeur de France à Alger revient pour jeune Afrique sur sa vision des relations franco-algériennes.
« Le Soleil ne se lève plus à l’est », les mémoires de Bernard Bajolet, ancien patron de la DGSE et ambassadeur de France dans plusieurs capitales, dont Alger, ont suscité un intérêt particulier en Algérie. Si les propos n’engagent que lui, la France s’étant d’ailleurs désolidarisée de l’ouvrage, celui-ci a jeté un froid dans la relation bilatérale.
L’ancien ministre français de l’Intérieur, qui fut directeur de campagne de Nicolas Sarkozy, a de nouveau été mis en examen par la justice française, pour « corruption passive » cette fois.
La réapparition sur les réseaux sociaux d’une étude affirmant que les campagnes électorales à Madagascar figurent parmi les plus chères de la planète relance le débat sur le financement des partis politiques, à quelques semaines des élections générales.
L’avocat de l’ancien président français Nicolas Sarkozy, accusé d’avoir financé sa campagne présidentielle de 2007 avec des fonds du régime libyen, presse le parquet de Paris d’obtenir des témoignages à décharge non transmis par Tripoli, indiquent des sources proches du dossier.
Jean-Marc Simon, l’ancien ambassadeur de France à Abidjan devenu conseiller d’Alassane Ouattara, n’a pas pu participer à une émission sur TV5 Monde. La Société des journalistes dénonçait une « confusion des genres ». L’occasion de revenir sur les principaux acteurs du diplobusiness franco-ivoirien.
Nicolas Sarkozy a demandé à la justice d’annuler pour vices de procédure son inculpation prononcée en mars dans l’enquête sur des soupçons de financement libyen entourant sa campagne présidentielle de 2007, a annoncé dimanche le Journal du Dimanche (JDD).
Mis en examen le 21 mars, Nicolas Sarkozy nie farouchement avoir bénéficié des largesses du « Guide » libyen. Retour sur une idylle qui a tourné à l’aigre.
Les conséquences néfastes de l’implosion de la Libye en 2011 sous les raids aériens de la France, du Royaume-Uni et des États-Unis continuent de se faire sentir, et même de se propager dans les pays voisins. Retour sur les origines de ce mal lybien.
« Coup de tonnerre » dans l’enquête sur les soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007 : après plus de 24 heures de garde à vue, l’ancien chef de l’État français a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire.
L’ancien président français Nicolas Sarkozy a été placé ce mardi en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire à Nanterre. Il est entendu sur les soupçons de financement libyen de sa campagne lors de l’élection présidentielle de 2007.
Après avoir mis ses talents au service d’Ali Bongo Ondimba, ce vieux briscard de la Françafrique a pris fait et cause pour Jean Ping. Son ultime combat ?
L’ex-chef de l’État français s’est rendu au Rwanda et en Côte d’Ivoire les 15 et 16 janvier dernier. Il s’est entretenu avec Paul Kagame et Alassane Ouattara. Cyrille Bolloré, fils de Vincent Bolloré, était présent avec lui à Kigali.
Recherché par Paris dans l’enquête sur le possible financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy, le sulfureux homme d’affaires français, arrêté à Londres, a été libéré sous caution. Jusqu’à son extradition ?
Trois jours après son arrestation à l’aéroport de Londres, Alexandre Djouhri a obtenu mercredi sa liberté sous caution. Intermédiaire financier à la réputation sulfureuse, il fait figure de personnage-clé dans l’enquête sur un possible financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007.
L’homme d’affaires français Alexandre Djouhri a été interpellé dimanche à Londres. Intermédiaire financier à la réputation sulfureuse, il est au cœur de l’enquête sur un possible financement libyen de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy en 2007.
Samira Sabou, la trentaine, est une journaliste nigérienne. Jusqu’en octobre, elle travaillait dans une structure étatique, l’Office national d’édition et de presse (Onep), à Niamey. Mme Sabou a le sens de l’humour. Si tel n’était pas le cas, elle n’aurait pas publié sur sa page Facebook une photo où on la voit posant comme le président Mahamadou Issoufou.
La députée européenne Rachida Dati se rendra dans la capitale économique ivoirienne les 30 et 31 octobre afin de préparer le sommet UA-UE qui doit s’y tenir les 29 et 30 novembre.
Nicolas Sarkozy devant la Cour pénale internationale [CPI] ? C’est ce que réclame le Front international des sociétés civiles panafricaines [Fispa] – le regroupement d’une quinzaine d’organisations qui vient de se créer à Bamako.
Que peut bien espérer le Front international de la société civile panafricaine, quand il dépose une plainte contre un ancien président français ? Peut-être plus qu’une inculpation…
Des organisations de la société civile ouest-africaine ont créé le 7 octobre à Bamako un Front pour promouvoir la démocratie et les droits de l’homme en Afrique. L’une des premières actions de ce mouvement parrainé notamment par le reggaeman Tiken Jah Fakoly ? Déposer une plainte devant la Cour pénale internationale (CPI) contre l’ancien président français Nicolas Sarkozy pour avoir déclenché la guerre en Libye.
Ses relations avec le « Guide » et la chute de celui-ci, le rôle de Nicolas Sarkozy, mais aussi sa vie en Afrique du Sud et ses tentatives pour influer sur le sort de son pays. Pour la première fois, Béchir Saleh, ancien directeur de cabinet et ex-patron du fonds souverain libyen, livre une part de sa vérité.