Nicolas Sarkozy est un avocat et un homme d’État français. Il entame une carrière politique en 1976, en adhérant à l’Union pour la Défense de la République (UDR), un parti gaulliste. Notamment député des Hauts-de-Seine, puis plusieurs fois ministre, dont ministre de l’Intérieur et ministre du Budget, il est élu président de la République le 6 mai 2007, avec 53,06 % des voix, face à Ségolène Royal. Il n’est pas réélu le 6 mai 2012 face à François Hollande, qui remporte l’élection avec 51,64 % des suffrages.
Depuis un demi-siècle, la cellule africaine de l’Élysée alimente tous les fantasmes, tant il lui est arrivé d’emprunter des chemins tortueux. Fait-elle toujours la pluie et le beau temps sur le continent ?
Depuis sa création au début de la Ve République, la cellule Afrique de l’Élysée n’a pas toujours su sauver la mise aux présidents africains se trouvant dans une posture difficile, comme Juvénal Habyarimana ou Henri Konan Bédié dans les années 1990. En revanche, elle a parfois mené des missions inattendues.
Après la Maison-Blanche, Zhongnanhai et le Kremlin, notre tour du monde s’achève au palais de l’Élysée, à Paris. Chacun sait que l’Histoire, la grande et la petite, s’écrit ici depuis presque trois siècles. Alors, attachez vos ceintures !
Présent à Abidjan du 18 au 20 juin en tant que membre du conseil d’administration du groupe hôtelier français Accor, Nicolas Sarkozy a été reçu selon le protocole réservé habituellement à un chef d’État en exercice.
Le procès de Boris Boillon, ex-conseiller de Nicolas Sarkozy devenu ambassadeur de France en Tunisie de 2011 à 2012, s’est ouvert ce lundi 22 mai à Paris. L’ancien diplomate avait été interpellé en juillet 2013 en possession d’une très importante somme d’argent liquide.
En visite privée au Maroc, Nicolas Sarkozy et Carla Bruni ont visité l’exposition « l’Afrique en capitale » et ont pris la pose devant les objectifs des photographes.
Le procès de Boris Boillon, ancien ambassadeur à Tunis et protégé du président Nicolas Sarkozy, débute ce jeudi 23 mars au tribunal correctionnel de Paris.
Emmanuel Macron peut-il échapper à la malédiction qui, depuis plus d’un demi-siècle, semble frapper ceux qui ne se reconnaissent ni dans la droite ni dans la gauche ?
Entre coups fourrés et coups de théâtre, effondrements et résurrections improbables, la campagne présidentielle ressemble de plus en plus à un délirant jeu de massacre. Du jamais-vu depuis la création de la Ve République !
Reçu avec tous les honneurs à Alger, les 13 et 14 février, Emmanuel Macron, candidat à l’élection présidentielle française, n’a pas dissimulé son enthousiasme à l’idée de revenir bientôt en Algérie en qualité de successeur de François Hollande, dont il a été le ministre de l’Économie.
L’homme d’affaires franco-libanais qui mi-novembre a affirmé avoir remis 5 millions d’euros d’argent libyen au camp de Nicolas Sarkozy avant l’élection de ce dernier en 2007, a été mis en examen mercredi à l’issue de son audition au tribunal de grande instance de Paris.
Pour les candidats à la présidentielle française, aspirants ou déclarés, la prise de position sur la colonisation semble un passage obligé. Dernier en date, Emmanuel Macron a parlé mercredi d’ « éléments de civilisation et […] de barbarie ».
L’élimination au premier tour de la candidature de Nicolas Sarkozy aux primaires de la droite, dimanche 20 novembre, sonne comme une humiliation pour celui qui reste sur le continent comme l’homme du discours de Dakar, en 2007.
Le premier tour de la primaire de la droite a livré son verdict ce dimanche : l’ancien Premier ministre François Fillon est arrivé largement en tête, devant Alain Juppé, son adversaire au second tour dimanche prochain. Nicolas Sarkozy est éliminé et a annoncé son retrait de la vie politique.
Si l’élection de Donald Trump a sidéré la moitié des Américains et consterné les élites européennes, lesquelles l’ont vécue comme une sorte d’aberration aussi dangereuse que folklorique, rien ne prouve que l’onde de choc ait été ressentie avec la même intensité sur l’échelle de Richter de l’opinion africaine.
Après avoir une nouvelle fois mis en cause Nicolas Sarkozy dans un entretien vidéo à Mediapart, l’homme d’affaires franco-libanais Ziad Takieddine a réitéré jeudi ses accusations concernant un financement libyen de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy devant les enquêteurs chargés de l’affaire.
Dans une vidéo publiée ce mardi par Mediapart, l’homme d’affaires franco-libanais Ziad Takieddine raconte par le menu son rôle d’intermédiaire dans le présumé financement libyen dont aurait bénéficié Nicolas Sarkozy pour sa campagne présidentielle de 2007. Des affirmations qui interviennent à une semaine du premier tour de la primaire de la droite et du centre, à laquelle participe l’ex-chef de l’État.
Des témoignages et des opérations suspectes : les enquêteurs mènent des investigations d’envergure sur les accusations de financement de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 par le régime libyen de Mouammar Kadhafi, mais n’en ont pas obtenu la preuve, selon les éléments de l’enquête dont l’AFP a eu connaissance.
Ce lundi, une nouvelle source libyenne a assuré que Nicolas Sarkozy avait bénéficié d’un financement libyen pour sa campagne présidentielle en 2007. Qu’en est-il de la teneur des révélations portées contre l’ex-chef de l’Etat français ? Jeune Afrique revient sur les grandes lignes de cette affaire, dévoilée en avril 2012.
«Une grande nation ne se cache pas la vérité. » Le 24 septembre, devant vingt mille personnes réunies sur le National Mall de Washington, Barack Obama a inauguré le Musée national de l’histoire et de la culture africaines-américaines.
On peut tourner le problème dans tous les sens, égrener les scenarii, envisager le meilleur comme le pire, s’essayer à la politique-fiction, rien n’y fait : son nom revient systématiquement dès qu’il s’agit d’évoquer le(s) favori(s) de la présidentielle française de 2017.
Voyages, visites amicales, déjeuners, discussions informelles… Ultrafavoris de la primaire de la droite, Alain Juppé et Nicolas Sarkozy réactivent leurs réseaux africains. Tous les coups sont permis, et tous les soutiens sont bons à prendre.
Le meeting de Nicolas Sarkozy à Marcq-en-Baroeul (Nord), qui clôturait une journée de déplacement commencée à Calais, a été perturbé mercredi par une dizaine d’étudiants gabonais opposés au président Ali Bongo.
Le rapport, publié mercredi 14 septembre, est sans concession. Les parlementaires britanniques dénoncent une intervention militaire motivée par des intérêts nationaux et personnels, sans véritable analyse de la situation sur le terrain libyen.
Marqués par les attentats et par le débat sur le burkini, les Français se raidissent ? Qu’à cela ne tienne ! Candidat à la primaire des Républicains et du centre, l’ancien chef de l’État met le cap à droite. Dans sa ligne de mire : les musulmans.