Nicolas Sarkozy est un avocat et un homme d’État français. Il entame une carrière politique en 1976, en adhérant à l’Union pour la Défense de la République (UDR), un parti gaulliste. Notamment député des Hauts-de-Seine, puis plusieurs fois ministre, dont ministre de l’Intérieur et ministre du Budget, il est élu président de la République le 6 mai 2007, avec 53,06 % des voix, face à Ségolène Royal. Il n’est pas réélu le 6 mai 2012 face à François Hollande, qui remporte l’élection avec 51,64 % des suffrages.
L’ancien président français Nicolas Sarkozy a été mis en examen, jeudi 21 mars, à Bordeaux, dans le cadre de l’affaire Bettencourt. Cette annonce surprise est un coup de massue pour l’UMP, qui ,déjà fragilisée par la crise de cet hiver, apparaît désemparée face au risque de disqualification de son champion dans la perspective de la présidentielle de 2017.
Le candidat socialiste François Hollande est élu président de la République. Il a remporté le second tour de l’élection présidentielle française, ce dimanche 6 mai avec 51,9% des voix, contre 48,1% pour son adversaire, le président sortant Nicolas Sarkozy (chiffres officiels provisoires, donnés à 20h00).
À moins d’une semaine du second tour de la présidentielle française, Mouammar Kadhafi s’invite – à titre posthume – dans l’actualité politique. Après la publication par le site Mediapart d’un document qui attesterait d’un financement de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 par le régime libyen, le président sortant a démenti et déclaré vouloir porter plainte. Moussa Koussa, ancien chef des services secrets libyens, dont la signature figure sur le document en question, ainsi que Béchir Salah Béchir, ex-directeur de cabinet du colonel Kadhafi, en exil en France, ont également réfuté l’accusation.
Le socialiste François Hollande est arrivé en tête au premier tour de l’élection présidentielle française le 22 avril, avec 28,63% de votes en sa faveur, face au président sortant Nicolas Sarkozy. Pour l’emporter, le chef d’État devra réussir à convaincre les électeurs de la candidate d’extrême-droite Marine Le Pen, arrivée en troisième position avec 17,9% des voix.
Interrogé lors d’un débat télévisé le 12 mars, le président français a qualifié de « grotesques » les nouvelles révélations du site français d’information Mediapart évoquant un éventuel financement de sa campagne de 2007 par l’ancien dictateur libyen Mouammar Kadhafi.
Selon le site Internet Mediapart, qui s’est procuré un nouveau document en lien avec l’affaire Takieddine, Nicolas Sarkozy aurait reçu un soutien financier du régime de Kadhafi à hauteur de quelque 50 millions d’euros pour sa campagne de 2007.
En visite à l’Élysée le 8 février, le chef de l’État congolais, Denis Sassou Nguesso, a été très courtisé par le président français Nicolas Sarkozy et ses ministres.
Ouattara et Sarkozy se sont mutuellement soutenus dans l’adversité. Ils se connaissent depuis vingt ans, et leur amitié ne s’est jamais démentie. L’occasion de la réaffirmer, lors de la visite d’Etat du président ivoirien à Paris, du 25 au 27 janvier.
Secrétaire national chargé de l’immigration, puis conseiller de Nicolas Sarkozy à la diversité, Abderrahmane Dahmane a quitté avec fracas l’UMP en mars 2011. Il est aujourd’hui conseiller à l’Institut musulman de la mosquée de Paris. Interview.
Après quatre années d’outrances de comportement et d’accaparement du pouvoir, le président français sortant Nicolas Sarkozy se retrouve, tous les sondages le confirment, en grande difficulté. Peut-il encore rebondir ? Oui, mais sa marge de manoeuvre est étroite.
Andry Rajoelina, le président de la Haute Autorité de la Transition (HAT) malgache était à Paris cette semaine. Une première visite officielle en France, pendant laquelle il s’est entretenu avec Nicolas Sarkozy mercredi 7 décembre 2011, et a assuré vouloir organiser des élections le plus rapidement possible.
L’ancien président français rêvait de moderniser la démocratie et d’imposer un style de gouvernement en rupture complète avec celui de ses prédécesseurs : en 1981, il échoua à obtenir un second mandat. À certains égards, son aventure n’est pas sans évoquer celle de Nicolas Sarkozy…
Condamné en 2008 à 12 ans de prison pour « atteinte à la sécurité de l’État », le colonel franco-marocain Kaddour Tehrzaz a effectué une demande de grâce auprès du roi Mohammed VI. Celle-ci n’ayant pas abouti, la défense demande désormais au président français Nicolas Sarkozy de se saisir du dossier.
Du pape à l’ONU en passant par les institutions européennes, la politique sécuritaire de Nicolas Sarkozy – notamment à l’égard des Roms – n’en finit pas de susciter la réprobation internationale.
Le président français a été accueilli par Ali Bongo Ondimba ce matin à l’aéroport de Mvengué, en prélude d’une mini-tournée en Afrique. S’il restera une journée entière au Gabon, pour sa troisième visite dans le pays en moins de trois ans, c’est son passage éclair (trois heures seulement) à Kigali qui est le plus attendu. La première visite d’un chef d’Etat français au Rwanda depuis 25 ans doit marquer la réconciliation entre les deux pays.
Le président Nicolas Sarkozy se rendra au Rwanda le 26 février pour effectuer la première visite d’un chef d’Etat français à Kigali depuis le génocide de 1994, a annoncé jeudi le ministère rwandais des Affaires étrangères.
Le président français Nicolas Sarkozy a qualifié vendredi de « coup d’Etat » les conditions de l’arrivée au pouvoir à Madagascar d’Andry Rajoelina et réclamé la tenue d’élections démocratiques « le plus rapidement possible ».