Si l’ancien président sud-africain se lance dans une nouvelle bataille en défiant ses camarades de l’ANC avant les élections générales du 29 mai, c’est parce qu’il est obsédé par le pouvoir, selon le politologue Zakhele Ndlovu.
Deuxième province du pays par le nombre d’électeurs, la région zouloue est un réservoir de voix historique pour l’ANC. Ses concurrents en font une cible de choix dans la perspective des élections générales de mai.
Le président sud-africain, qui espère être réélu à l’issue des élections générales de 2024, se montre très discret sur sa vie privée. Plus question de donner prise au moindre scandale, comme cela a pu être le cas dans le passé.
À près d’un an des élections générales en Afrique du Sud, le président a effectué un timide remaniement ministériel pour satisfaire ses alliés et tenter de rassurer les électeurs.
Miné par des accusations de corruption, Jacob Zuma, l’ancien président sud-africain, se tourne vers son clan pour défendre ses intérêts. Et plusieurs de ses membres n’ont pas leur langue dans la poche…
Englué dans un scandale, on l’imaginait démissionner il y a quelques semaines. Le président s’octroie finalement un second mandat, et part en position favorable pour les élections générales de 2024.
Le chef de l’État se présente pour un second mandat à la présidence du Congrès national africain, malgré un bilan contestable et la menace que fait peser sur lui une affaire de corruption.
Affaibli par une affaire d’argent dissimulé dans sa ferme de Phala Phala, le chef de l’État a envisagé de quitter son poste après la publication d’un rapport d’enquête. Mais son entourage l’a convaincu de contre-attaquer.
Libre depuis le 7 octobre, l’ex-président sud-africain règle ses comptes avec la justice, la presse et son successeur, Cyril Ramaphosa. Il envisage même un retour en politique.
Provocation ou autosuggestion ? Toujours en délicatesse avec la justice, l’ancien président n’exclut pas un retour en politique via les instances de l’ANC…
Le chef de l’État et président du Congrès national africain (ANC) devrait être candidat à sa réélection à la tête du parti en décembre prochain. Mais en coulisses, plusieurs rivaux aiguisent armes et arguments.
Le président Cyril Ramaphosa a remporté une bataille judiciaire lundi, avec la décision d’un tribunal de Pretoria de suspendre une ordonnance de la médiatrice sud-africaine qui aurait entraîné une procédure de censure au Parlement.
Au lendemain de l’élection de Cyril Ramaphosa à la tête du Congrès national africain (ANC), Marianne Séverin, spécialiste de l’Afrique du Sud, revient pour Jeune Afrique sur les chantiers qui attendent le successeur de Jacob Zuma à la tête d’un parti affaibli par les accusations de corruption.
Zweli Mkhize, trésorier du Congrès national africain (ANC) se lance officiellement dans la course à la présidence du parti de Madiba. Sa candidature semble être le seul moyen de garantir l’unité de l’ANC et de lui éviter une défaite lors de la prochaine élection présidentielle.
L’ancienne épouse du président sud-africain Jacob Zuma, Nkosazana Dlamini-Zuma, pressentie pour lui succéder à la tête du parti du Congrès national africain (ANC), a annoncé jeudi qu’elle allait de nouveau siéger au Parlement, après cinq années de présidence de la Commission de l’Union africaine.
Les défections s’enchaînent dans l’entourage de Jacob Zuma depuis qu’il a limogé le ministre des Finances, Pravin Gordhan. Alors qu’il lui reste quelques mois à la tête de l’ANC, le parti au pouvoir, le Président sud-africain est de plus en plus isolé. Le parlement doit débattre le 18 avril d’une énième motion de défiance déposée à son encontre.
L’ancien ministre tchadien des Affaires étrangères, Moussa Faki Mahamat, a pris mardi ses nouvelles fonctions de président de la Commission de l’Union africaine (UA), promettant de réformer l’institution et de s’attaquer aux nombreuses crises du continent.
Plus de trente-deux ans après en avoir claqué la porte, le royaume chérifien a réintégré l’organisation continentale. Plongée dans les coulisses d’un sommet historique venu couronner l’offensive diplomatique lancée par Mohammed VI en juin dernier.
La Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma vient d’achever son mandat à l’Union africaine. Avant elle, onze Africains se sont succédé à la tête du secrétariat général de l’Organisation de l’unité africaine (OUA) puis de la Commission de l’UA. Découvrez ce qu’ils sont devenus.
C’est dans sa résidence d’Addis-Abeba que l’ex-présidente de la Commission de l’UA a choisi de fêter ses 68 ans, le 29 janvier, juste avant l’élection de son successeur au sein de l’organisation panafricaine.
Souvent absente, la présidente sortante de la Commission de l’Union africaine a beaucoup déçu. Peut-être parce que, dès l’origine, l’ex-épouse de Jacob Zuma a utilisé l’institution pour ses ambitions plus qu’elle ne l’a servie.
Le ministre tchadien des Affaires étrangères, Moussa Faki Mahamat, a été éluce lundi à la tête de la Commission de l’UA, où il remplace la Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma.
La Sud-africaine Nkosazana Dlamini Zuma a prononcé ce mercredi son dernier discours en tant que présidente de la Commission de l’Union africaine, lors de l’ouverture du 30e Conseil exécutif de l’organisation à Addis Abeba. Elle quitte son poste le 2 février.
À quelques jours de l’élection du ou de la successeur de Nkosazana Dlamini-Zuma à la tête de la Commission de l’Union africaine (UA), l’Équato-guinéen Agapito Mba Mokuy détaille pour Jeune Afrique son programme et ses ambitions pour l’organisation panafricaine.
Le roi du Maroc a demandé au président tchadien ce lundi d’intervenir auprès de la présidente de la Commission de l’Union africaine (UA), Nkosazana Dlamini Zuma, afin que celle-ci transmette sa demande d’adhésion aux pays-membres de l’organisation. Le même jour, il a reporté sa visite en Éthiopie, dernière étape de sa tournée est-africaine.
La campagne pour les élections municipales du 3 août a été émaillée de violences et de règlements de comptes qui mettent en lumière les dérives et les faiblesses de l’ANC, au pouvoir depuis la fin de l’apartheid.
Le 27e sommet de l’UA s’est achevé lundi à Kigali. Il aura vu l’élection du nouveau président de la Commission de l’organisation reportée, le retour du Maroc mis à l’ordre du jour et l’UA annoncer sa volonté d’envoyer des troupes au Soudan du Sud.
Alors que tout le monde spécule sur les différents scénarios possibles lors de l’élection du prochain président la commission de l’Union africaine prévue dimanche, les candidats continuent de battre campagne. Y compris ceux qui ne le sont pas officiellement.
En amont du sommet des chefs d’État de l’Union africaine (UA) qui s’ouvrira dimanche à Kigali, la présidente de la commission de l’UA a dénoncé les violents combats qui ont éclaté vendredi à Djouba, tuant des centaines de personnes et faisant fuir des milliers de civils.