Le président de la Mauritanie, celui du Tchad et le vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre appellent ensemble, à la veille de l’ouverture du Forum Nouakchott+10, à trouver des « solutions innovantes pour revitaliser le pastoralisme et l’élevage au Sahel ». Ils signent tous les trois un texte que nous publions en exclusivité.
Pour juguler la crise de l’énergie, l’Afrique subsaharienne a besoin de plus de 200 milliards de dollars, indiquent le président sénégalais et le vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale, à quelques heures de l’ouverture de la COP28.
L’institution internationale prête 300 millions de dollars à Yaoundé afin d’améliorer la performance financière d’un secteur en proie à un déséquilibre financier structurel, du fait notamment des difficultés de trésorerie de l’énergéticien Eneo.
Un partenariat avec la Banque mondiale, un prêt de 100 millions d’euros auprès de sa filiale privée l’IFC… Les Assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale qui ont lieu à Marrakech s’avère être un terrain fertile pour OCP, le géant marocain des phosphates.
En amont des assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale, du 9 au 15 octobre à Marrakech, Ousmane Diagana, vice-président Afrique de l’Ouest et Afrique centrale de la Banque mondiale, livre son diagnostic sur les sujets brûlants de l’actualité.
Pour Jeune Afrique/The Africa Report, le vice-président Afrique de l’Ouest et Afrique centrale de l’institution de Bretton Woods a tenté d’expliciter son positionnement et ses priorités sur le continent, à rebours de la réputation de rigidité et d’orthodoxie économique retenue par ses critiques. Entretien.
Pour sa première visite au Cameroun et en Centrafrique, le vice-président de la Banque mondiale a conclu plusieurs accords de financement. Si l’ensemble du programme initial n’a pas pu être suivi, des accords portant sur plus de 500 millions de dollars ont été paraphés.
Plus de programmes, de financements et de stratégies ciblées… En choisissant deux vice-présidents pour couvrir l’Afrique, l’institution de Bretton Woods affirme ses priorités.