L’effet de loupe autour de certaines déclarations extravagantes du rappeur congolais ne doit pas occulter une réalité qui n’a rien de complotiste : l’effacement de l’Histoire de l’Afrique induit par la colonisation, auquel sont confrontées les diasporas noires.
Des militants de la diaspora congolaise ont revendiqué l’agression du président du CSAC, Christian Bosembe, début avril en France. Qui sont ces « combattants », actifs depuis les années 2000, notamment en Europe ?
En décrétant que le plus grand stade du pays, sis à Kinshasa, n’est pas, contrairement à celui de Lubumbashi, en mesure d’accueillir des rencontres panafricaines, la CAF a mis le doigt dans une querelle bien plus politique qu’il n’y paraît, en pleine année électorale.
La question divise les amateurs : qui est le roi de la scène musicale congolaise ? D’un côté, les Warriors, fans de Fally, de l’autre, les Golois, fans de Ferre… Et les aficionados des deux stars ne sont d’accord sur (presque) rien.
Le chanteur français revient avec un nouveau projet réunissant quelques stars de la musique congolaise, comme Koffi Olomidé et Fally Ipupa. Un album que « le rossignol » promeut activement sur le continent.
Sur plus de 120 minutes, le jeune réalisateur français d’origine congolaise Elvis Adidiema revient sur le riche parcours de Papa Wemba, décédé deux ans plus tôt. Le film « L’histoire de Papa Wemba » a été projeté lundi en avant-première à Brazzaville, avant sa diffusion sur les chaînes Trace et France Ô dès le 29 avril.
Avec « Sur le chemin du Taarab », le musicien Chébli Msaïdie revient sur son parcours et sur les contradictions qui minent la société comorienne contemporaine.
Un an après la mort tragique du pilier de la rumba congolaise, le festival ivoirien a organisé ce lundi soir une soirée émouvante et explosive en l’honneur de sa mémoire.
Dans les bacs depuis fin octobre, « Forever – De génération en génération », l’album posthume de Papa Wemba ne fait pas l’unanimité parmi son public, partagé entre nostalgie et déception.
Pour s’assurer des revenus réguliers, les stars de la chanson congolaise ont tendance à tresser les louanges du pouvoir. Et s’attirent la colère des opposants, qui ne l’entendent pas de cette oreille…
Moins d’une demi-heure avant sa mort, il promettait d’amener les festivaliers et les téléspectateurs ivoiriens au pays de la rumba. Il est parti pour le pays des songes, suscitant une immense émotion en RD Congo. Et, déjà, tout le monde veut s’approprier l’icône.
Des milliers de Congolais ont rendu un dernier hommage mercredi matin à leur idole lors d’une messe à la cathédrale de Kinshasa avant son inhumation prévue cet après-midi dans la périphérie de la capitale.
Lexxus Legal a orchestré un hommage musical pour le roi de la rumba, « Nkoyi » (Léopard), un morceau 100% tetela sorti le 3 mai (à découvrir ci-dessous). Pour Jeune Afrique, le rappeur congolais partage ses souvenirs du roi de la rumba. Interview.
L’opposant Moïse Katumbi ne pourra pas participer aux obsèques nationales de Papa Wemba à Kinshasa. Motifs : les autorités n’ont toujours pas accordé à son jet privé l’autorisation d’atterrir sur le territoire national et l’intéressé s’abstient de recourir à une compagnie aérienne. Explications.
Une cérémonie grandiose en hommage à Papa Wemba a eu lieu lundi matin à Kinshasa en présence du chef de l’État et de nombreuses personnalités. Les funérailles nationales doivent se poursuivre jusqu’à mercredi.
Révélé par la chanson « Pénitence na ngai » de Papa Wemba, le guitariste congolais Olivier Tshimanga rend hommage à son « père », à celui qui lui a permis d’être connu sur la scène musicale de la RD Congo et d’ailleurs.
Au lendemain de la cérémonie d’hommage à Abidjan, le corps de Papa Wemba, décédé le 24 avril à Anoumabo (Abidjan), est arrivé jeudi, peu avant 10 heures locales, à l’aéroport de Kinshasa, la capitale de la RD Congo, où les funérailles du « rossignol » de la rumba congolaise seront organisées les 2 mai et 3 mai.
La Côte d’Ivoire a organisé mercredi à Abidjan une cérémonie d’hommage à Papa Wemba, l’un des derniers rois de la rumba, décédé le 24 avril sur son sol. Le rapatriement du corps de l’artiste à Kinshasa est prévu ce jeudi.
Papa Wemba s’est éteint le 24 avril sur la scène du Femua à Abidjan. Jeune Afrique venait de passer trois jours en compagnie du roi de la rumba congolaise. Récit exclusif.
Le gouvernement congolais indique qu’il affrétera un « avion spécial » pour ramener jeudi la dépouille de Papa Wemba à Kinshasa. Des responsables et des artistes de la RD Congo feront partie du voyage.
Plus de 24 heures après le décès de la star africaine de la musique Papa Wemba, une source médicale a fait savoir que l’artiste a été victime d’un arrêt cardiaque. Une autopsie pourrait avoir lieu.
Le musicien Papa Wemba, surnommé le « roi de la rumba congolaise » s’est éteint dimanche au petit matin, suite à un malaise en plein concert à Abidjan, dans le cadre du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo ( Femua).
Au lendemain de la mort à Abidjan de Papa Wemba, sa veuve est arrivée en Côte d’Ivoire pour participer à l’organisation des obsèques et au rapatriement du corps du roi de la rumba congolaise.
Avec la disparition de Papa Wemba, dans la nuit de samedi à dimanche à Abidjan, c’est une légende vivante de la culture congolaise (RDC) qui s’est éteinte. De nombreux artistes ont immédiatement rendu hommage à cet immense musicien.
Le chanteur congolais (RDC) Papa Wemba est décédé dans la nuit de samedi à dimanche, à Abidjan. Alors qu’il donnait un concert, il s’est écroulé sur scène.