Le Pape François, ou Jorge Mario Bergoglio, est le pape de l’Église catholique et le 266ème évêque de Rome, depuis son élection le 13 mars 2013. Avant celle-ci, il était l’archevêque de Buenos Aires et cardinal. Il est le premier pape non européen depuis Grégoire III au VIIIème siècle. Il a pris le nom de François, jamais emprunté avant lui, en hommage à l’engagement de Saint François d’Assises dans le choix d’une vie pour « le respect profond de toute la Création » et de l’environnement.
« Dieu tout-puissant » (4/5). À 62 ans, l’archevêque de Kinshasa est une des principales voix critiques contre les dérives du pouvoir. Alors qu’on dit de lui qu’il pourrait un jour devenir pape, il s’apprête à jouer un rôle de vigie lors de l’élection présidentielle de 2023.
« Dieu tout-puissant » (2/5). Le cardinal guinéen, conseiller du pape François, critique sans ambages la transition qui a cours dans son pays et l’attitude des militaires. À bientôt 77 ans, il n’a rien perdu de son franc-parler.
Au lendemain de la visite du président Évariste Ndayishimiye au Vatican, le ministère burundais des Affaires étrangères a annoncé que le souverain pontife comptait se rendre au Burundi en 2023. De là à construire une basilique…
Selon les informations de Jeune Afrique, le souverain pontife se rendra au Congo en 2023. Les contours de ce déplacement ont été finalisés au début d’avril au Vatican.
À quelques mois d’une visite papale, la conférence épiscopale congolaise enjoint officiellement tout prêtre ayant un enfant à renoncer à son sacerdoce. Levée d’un tabou ?
Figure de proue du combat pour la démocratisation en RDC, homme d’église et autorité morale très respectée, Laurent Monsengwo aura contribué à faire entendre la voix des catholiques au cœur du jeu politique. Une tradition que ses disciples espèrent poursuivre.
Si aucun évêque ou cardinal africain ne semble aujourd’hui exercer une influence prépondérante au niveau mondial, quatre noms commencent à s’imposer sur le continent.
Défendant avec ferveur le célibat des prêtres dans un livre qu’avait initialement cosigné Benoît XVI, le cardinal guinéen prend ouvertement le contre-pied du pape François.
Lors sa visite du 4 au 10 septembre au Mozambique, à Madagascar, puis à Maurice (la quatrième sur le continent), le pape François devait aborder des thèmes qui lui sont chers : protection de l’environnement, résolution des conflits, dialogue interreligieux et œcuménisme avec les protestants. Quatre de ses fidèles l’ont aidé à préparer ce voyage.
En voyage sur le continent du 4 au 10 septembre, le pape aura-t-il pu s’extraire – ne serait-ce que provisoirement – des luttes intestines qui déchirent le Vatican et des scandales liés à la pédophilie qui ébranlent l’Église catholique ? À voir.
Des centaines de milliers de Malgaches venus des quatre coins du pays ont rallié dimanche Antananarivo pour participer à la grand-messe du pape François.
Arrivé mercredi soir à Maputo, le Pape François doit s’entretenir ce jeudi avec le président Nyusi, un mois après la signature d’un accord de paix historique entre le gouvernement et les anciens rebelles de la Renamo.
Le pape François s’est envolé le 4 septembre pour le Mozambique, première étape d’un voyage d’une semaine qui le mènera aussi à Madagascar et à Maurice.
Le pape François, réagissant le 7 juillet au récent bombardement meurtrier en Libye d’un centre de détention de migrants, a appelé à l’organisation de « corridors humanitaires » pour venir en aide aux migrants « les plus nécessiteux ».
Dieu étant partout, aucun aspect de la vie sociale n’échappe au Pape. Le chef de l’Église catholique s’est notamment mêlé ce lundi d’un domaine fondamental en Afrique : la coiffure.
Le chef de la DGSN, Abdellatif Hammouchi, a félicité ses éléments pour avoir assuré la sécurité lors de la visite du pape François au Maroc, les 30 et 31 mars derniers. Un déplacement au cours duquel le souverain pontife a notamment reçu un DVD offert par le roi Mohammed VI.
La visite du pape François a braqué les projecteurs du monde sur le royaume pendant quarante-huit heures. Temps fort : la signature d’un document sur Jérusalem.
La visite officielle du pape François au Maroc a été marquée par de nombreux moments symboliques. Aux côtés du roi Mohammed VI, commandeur des croyants, le chef de l’Église catholique a défendu la coexistence pacifique entre les religions et condamné toute forme d’extrémisme. Tour d’horizon.
Le pape François et le roi Mohammed VI ont appelé samedi à « préserver » Jérusalem comme « patrimoine commun des trois religions monothéistes », dans un texte commun signé lors de la visite du souverain pontife au Maroc.
Le pape François a défendu samedi « liberté de conscience » et « la liberté religieuse », permettant à chacun de vivre selon sa propre conviction religieuse, dans un discours prononcé sur une immense esplanade de Rabat, devant des milliers de Marocains et le roi Mohammed VI.
Le pape François entame samedi une courte visite au Maroc, centrée sur le dialogue avec l’islam et la problématique des migrations, deux priorités de son pontificat, avant de saluer le lendemain une communauté catholique ultra-minoritaire portée par les fidèles originaires d’Afrique subsaharienne.
Le Vatican a annoncé mercredi que le pape François effectuerait début septembre un voyage de six jours à Madagascar, à l’île Maurice et au Mozambique, durement frappés par le cyclone Idai et où des cas de choléra viennent d’être recensés.
Il n’est pas certain que la parole des victimes d’abus sexuels se libère en Afrique, comme cela commence à être le cas partout ailleurs : ce tabou est encore fort sur le continent.
Pressentie depuis la nomination d’une ambassadrice marocaine au Vatican, la visite du souverain pontife, les 30 et 31 mars prochains, a été confirmée mardi par le Saint-Siège. Jeune Afrique passe en revue les grands enjeux de ce déplacement.
Le pape François a accepté, le 1er novembre, la démission du cardinal Laurent Monsengwo, 79 ans, de ses fonctions d’archevêque de Kinshasa. Son successeur, Mgr Fridolin Ambongo, s’annonce tout aussi intransigeant face au pouvoir congolais.
Le souverain pontife et le président béninois ont notamment évoqué, vendredi 18 mai, le dossier de « l’Église catholique de Jésus-Christ », une secte dont les dirigeants avaient soutenu Patrice Talon pendant la campagne présidentielle.
Le président béninois Patrice Talon et son ministre des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci, seront reçus au Vatican le 18 mai à 11 heures par le pape François.
En nommant Mgr Fridolin Ambongo, un homme d’Église qui ne mâche pas ses mots, archevêque coadjuteur de Kinshasa, où il succédera au cardinal Laurent Monsengwo, le pape François adresse un message de fermeté au président Kabila.