Homme politique ivoirien né en 1953 à Bouadikro. Ancien proche de Laurent Gbagbo, il est engagé dans le Front Populaire Ivoirien (FPI) depuis 1986. Il a été premier ministre sous Gbagbo de 2000 à 2003.
Alors que s’approchent les élections municipales et régionales, dont les dates n’ont pas encore été fixées, le parti de Laurent Gbagbo souhaite une grande concertation avec le gouvernement. La frange du FPI dirigée par Aboudramane Sangaré n’exclut pas de participer aux prochains scrutins.
L’éventualité d’une alliance entre le Front populaire ivoirien (FPI de Laurent Gbagbo, principal parti d’opposition) et le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, parti d’Henri Konan Bédié, membre de la mouvance présidentielle) est désormais sur la table en Côte d’Ivoire. Pour l’instant, cinq raisons rendent pourtant cette liaison hypothétique.
Henri Konan Bédié,président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire, et Pascal Affi N’Guessan, président de l’une des deux tendances du Front populaire ivoirien, se sont rencontrés ce mercredi 24 janvier au domicile du président du PDCI. Officiellement, il s’agissait d’une « visite de courtoisie », mais le symbole politique est fort.
La condamnation d’Hubert Oulaye, mardi 26 décembre, a fait resurgir les polémiques autour de la neutralité de la justice ivoirienne, accusée par certains d’être à la solde du pouvoir politique. Ces dernières années, plusieurs procès d’assises ont vu comparaître des personnalités politiques de premier plan. Souvent très attendus, ils ont régulièrement alimenté la polémique.
Le procès pour « complicité d’assassinat » d’Hubert Oulaye, ancien ministre de Laurent Gbagbo, qui s’est ouvert hier se poursuit ce mardi. Au cœur du dossier : une embuscade meurtrière menée en 2012 par des miliciens et des mercenaires libériens qui a coûté la vie à sept Casque bleus, un soldat ivoirien et au moins huit civils.
Représentant de la frange « dure » du Front populaire ivoirien (FPI), tout entier dévoué à l’ancien président Laurent Gbagbo actuellement jugé par la Cour pénale internationale, Boubakar Koné martèle son opposition à Alassane Ouattara et évoque les débats internes au FPI.
Agnès Monnet, 63 ans, est membre historique du FPI, elle fut un temps la secrétaire nationale chargée des questions de communication. Elle fait partie des 20 femmes politiques les plus influentes de Côte d’Ivoire identifiées par Jeune Afrique.
En rangs serrés contre la révision constitutionnelle, dispersés lors des législatives, les leaders de l’opposition ivoirienne changent de stratégie. Objectif : enfin peser sur les débats.
Après avoir recueilli 9,29 % des suffrages lors de la présidentielle du 25 octobre 2015, Pascal Affi N’Guessan, 64 ans, se présente en rassembleur de l’opposition. Il explique à Jeune Afrique pourquoi, selon lui, le paysage politique est en train de se recomposer, et la carte que compte jouer le FPI.
Alors que la grogne sociale est forte depuis le début de l’année en Côte d’Ivoire, le président d’une des franges du Front populaire ivoirien (FPI) a appelé « tous les mécontents » à défiler ce samedi dans les rues d’Abidjan. Un rendez-vous qui ressemble à un test pour Pascal Affi N’Guessan, contesté par une partie des pro-Gbagbo.
Pascal Affi N’Guessan, président d’une aile du Front populaire ivoirien (FPI), a appelé jeudi 11 mai à « une marche pacifique » le 17 juin prochain pour dénoncer la politique menée par le chef de l’État ivoirien Alassane Ouattara.
Président d’un Front populaire ivoirien (FPI) scindé en deux, Pascal Affi N’Guessan a réagi à la création de la nouvelle plateforme politique lancée par les partisans de Laurent Gbagbo réunis autour d’Aboudramane Sangaré. Ce mouvement « n’engage pas le FPI », assure l’ex-Premier ministre.
« Ensemble pour la démocratie et la souveraineté », plateforme politique réunissant les partisans de Laurent Gbagbo, a été lancée jeudi 20 avril à Abidjan.
Deux jours après le discours inaugural de Guillaume Soro, réélu début janvier à la tête de l’Assemblée nationale ivoirienne, le bureau politique de l’hémicycle a été dévoilé mercredi 5 avril après la constitution des groupes parlementaires.
Pascal Affi N’Guessan, à la tête d’une frange du Front populaire ivoirien (FPI) a accusé Aboudramane Sangaré, leader de l’aile du parti fidèle à Laurent Gbagbo, de causer « un grave préjudice politique au FPI », dans une lettre rendue publique ce mardi. Le camp d’Aboudramane Sangaré a fait savoir qu’il ne lui répondrait pas.
Pascal Affi N’Guessan, chef du parti créé par Laurent Gbagbo, a déclaré lundi qu’il n’avait jamais dit que l’image de l’ex-président ivoirien constituait un « handicap » pour le Front populaire ivoirien (FPI), dénonçant la déformation de ses propos.
Le Front populaire ivoirien (FPI) ira aux élections législatives en rang dispersé. Alors que les frondeurs du parti menés par Aboudramane Sangaré boycotteront les législatives du 18 décembre, les membres restés fidèle au président Pascal Affi N’Guessan comptent bien occuper le terrain.
Alors que l’opposition ivoirienne appelle au boycott du référendum du 30 octobre sur le projet de nouvelle Constitution, l’exécutif mène une campagne active pour que le « oui » l’emporte avec une large majorité.
La Voie Originale et Aujourd’hui, deux quotidiens connus pour leurs positions pro-Gbagbo, ont été suspendus ce vendredi pour quinze parutions par le Conseil national de la presse (CNP), alors que s’ouvre samedi la campagne du référendum constitutionnel.
L’opposition ivoirienne s’est montrée satisfaite jeudi de « la reprise du dialogue » avec le pouvoir à l’issue d’une réunion du Cadre permanent du dialogue (CPD), tout en réaffirmant ses positions sur « les prisonniers politiques », ou la nouvelle Constitution voulue par le président Alassane Ouattara.
Scindé en deux franges, le Front populaire ivoirien (FPI) est à la croisée des chemins. Mais le parti de Pascal Affi N’Guessan parviendra-t-il a surmonter ses divisions avant les élections législatives de novembre ?
Les cinq groupes parlementaires (RDR, PDCI, UDPCI, Dialogue et Espérance) ont ajourné la séance d’examen du projet de loi portant statut de chef de l’opposition, poste qui devrait revenir à Pascal Affi N’Guessan, le président du Front populaire ivoirien (FPI).
Il consulte, écoute, discute, réfléchit, hésite… Le chef de l’État sait que sa réforme constitutionnelle sera cruciale pour l’avenir du pays. Enjeux : en finir avec l’ivoirité, stabiliser les institutions et préparer sa succession.
Vingt-trois partis d’opposition, dont le Front Populaire Ivoirien (FPI), ont adopté jeudi une déclaration commune refusant le référendum sur une nouvelle Constitution voulue par Alassane Ouattara.
De passage à Paris il y a quelques jours, le président du Front populaire ivoirien (FPI), chef de file de l’opposition ivoirienne, a beaucoup travaillé à l’image de son parti. Plus offensif que jamais, il a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Le président du Front populaire ivoirien (FPI) se considère comme le chef de file de l’opposition. Et se dit convaincu que son parti pourra former un groupe parlementaire à l’issue des prochaines législatives.
Nouveau secrétariat général, nouvelle organisation, plan de campagne pour le référendum et les législatives… À l’approche de son congrès, prévu fin mai, la direction du FPI a pris des mesures radicales
afin de rabattre le caquet des frondeurs.
L’ex-Premier ministre de Laurent Gbagbo Pascal Affi N’Guessan a réagi jeudi devant la presse aux mesures annoncées par le président ivoirien le week-end dernier, rappelant la nécessité d’un débat national sur la révision constitutionnelle.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a rencontré jeudi Pascal Affi N’Guessan, le chef du Front populaire ivoirien (FPI), dans le cadre d’un dialogue politique devant aboutir à la libération des derniers détenus de la crise post-électorale de 2010-2011.