Homme politique ivoirien né en 1953 à Bouadikro. Ancien proche de Laurent Gbagbo, il est engagé dans le Front Populaire Ivoirien (FPI) depuis 1986. Il a été premier ministre sous Gbagbo de 2000 à 2003.
Les tractations en cours au Front populaire ivoirien (FPI) pour tenter de rapprocher les positions des frondeurs conduits par Aboudramane Sangaré de celles de Pascal Affi N’Guessan, président statutaire et candidat à l’élection présidentielle du 25 octobre, sont en bonne voie.
Après le retrait de la campagne pour la présidentielle du 25 octobre de Mamadou Koulibaly, vendredi, ils ne sont désormais plus que sept à se présenter face au président sortant, Alassane Dramane Ouattara (ADO).
À l’approche de la présidentielle, dont le premier tour vient d’être fixé au 25 octobre, les questions qui n’ont pas été réglées depuis la crise de 2010-2011 ressurgissent. Pourtant, en cinq ans, le pays et la société ont changé. Jusqu’à quel point ?
L’élection d’octobre est peut-être la dernière qui verra s’affronter les trois formations historiques du pays : PDCI, FPI et RDR. Car déjà une recomposition, faite d’alliances et de scissions, est en cours.
Durement marquée par dix années de crise politico-militaire, l’activité de la deuxième ville du pays et ex-fief de la rébellion reprend peu à peu, mais trop lentement cependant pour ses habitants.
Le président sortant, Alassane Ouattara, espère l’emporter au premier tour le 25 octobre. Mais c’est compter sans les ambitions de Charles Konan Banny (PDCI) et de Pascal Affi N’Guessan (FPI), qui fourbissent leurs armes malgré les divisions de leurs partis respectifs.
Sans doute n’imaginait-il pas que la tâche serait à ce point difficile. Mais Pascal Affi N’Guessan s’obstine et compte bien porter les couleurs du FPI à la présidentielle d’octobre. Sauf qu’il sait désormais que ses ennemis les plus féroces appartiennent à son propre camp. Portrait.
Après une visite de quelques jours à Rome, où il a rencontré des leaders d’opinion et des chefs d’entreprise, Pascal Affi N’Guessan, le président du Front populaire ivoirien, séjourne en France depuis le 19 juin et jusqu’au 3 juillet.
Pascal Affi N’Guessan, le chef du parti de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, secoué par des divisions internes, a lancé un appel au rassemblement au sein du Front Populaire Ivoirien, vendredi, à l’occasion de sa désignation comme candidat pour la présidentielle d’octobre.
Le 4e congrès extraordinaire du Front populaire ivoirien (FPI) a entériné vendredi la candidature de Pascal Affi N’Guessan à la présidentielle d’octobre.
La crise au sein du Front populaire ivoirien (FPI) continue, mais certains n’ont pas perdu l’espoir de réconcilier Pascal Affi N’Guessan et Laurent Gbagbo.
Il y a quatre ans, le 11 avril 2011, Laurent Gbagbo était arrêté à Abidjan. Aujourd’hui, son parti, le FPI, est au bord de l’implosion. Pris dans une guerre de leadership, les barons de l’ancien régime ont choisi leur camp. D’un côté, les partisans de Pascal Affi N’Guessan ; de l’autre, ceux d’Abou Drahamane Sangaré.
La justice ivoirienne a tranché, une nouvelle fois, en faveur de Pascal Affi N’Guessan, qui a été confirmé vendredi président du FPI, principal parti d’opposition, au détriment des frondeurs qui avaient tenté d’en prendre le contrôle.
Au Front populaire ivoirien, on dialogue à coup de plaintes devant les tribunaux et par communiqués interposés. Les héritiers de l’ancien président se déchirent à l’approche de l’élection, et lui assiste, impuissant, à l’implosion de son parti.
Le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, a effectué mercredi sa première tournée hors de Côte d’Ivoire depuis la levée des sanctions de l’ONU qui pesaient contre lui. Après Bamako, il a visité Conakry et est attendu demain à Niamey.
L’ex-Première dame Simone Gbagbo a été condamnée mardi matin à 20 ans de prison pour son rôle durant la crise postélectorale de 2010-2011. La peine est deux fois supérieure à celle réclamée durant les réquisitions.
Le chef du Front populaire ivoirien a menacé samedi de saisir la justice après que des « frondeurs » ont annoncé son éviction de la tête du parti de l’ex-président Laurent Gbagbo, en pleine crise avant la présidentielle d’octobre.
Un communiqué du FPI a annoncé jeudi la destitution de son président, Pascal Affi N’Guessan. Ce dernier, joint au téléphone par « Jeune Afrique », dément ce qu’il qualifie de « propagande ». Interview.
Décideurs politiques, acteurs économiques, leaders de la société civile, personnalités des médias et de la culture… Jeune Afrique dresse la liste des figures les plus influentes de la Côte d’Ivoire.
En déclarant mercredi « nul et non avenu » le congrès du Front populaire ivoirien (FPI), la justice ivoirienne a donné raison à Pascal Affi N’Guessan, qui souhaitait d’abord voir tranchée la question de la validité de la candidature de Laurent Gbagbo à la présidence du parti.
Rebondissement au Front populaire ivoirien. Alors que Pascal Affi N’Guessan avait annoncé mardi que le congrès du parti, qui devait se tenir à partir de jeudi, était reporté, le président du congrès, Dano Djédjé, a annoncé qu’il était maintenu.
Pascal Affi N’Guessan ne baisse pas les bras. Mardi, il a annoncé le report du congrès du Front populaire ivoirien (FPI), qui devait démarrer jeudi et désigner le président du parti. Il s’oppose toujours à la candidature de l’ancien chef d’État ivoirien Laurent Gbagbo.
Le chef du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, est bien décidé à maintenir sa candidature pour sa propre succession à la tête du parti face à celle de l’ancien président Laurent Gbagbo, détenu à La Haye. Interview.
Tous deux candidats à la présidence du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan et Laurent Gbagbo seront départagés lors du 4e congrès du parti, début décembre à Abidjan. Quels sont les principaux soutiens de l’actuel patron du FPI et ceux de l’ancien président de la Côte d’Ivoire ? « Jeune Afrique » fait le point.
Pascal Affi N’guessan, le président du Front populaire ivoirien (FPI), a déposé mercredi sa candidature à sa propre succession. La semaine dernière, des partisans de Laurent Gbagbo avaient fait de même au nom de l’ancien président. Verdict entre le 11 et le 13 décembre, lors du 4e Congrès du FPI, à Abidjan.
Plus de 90 partisans de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo comparaîtront devant la Cour d’assises d’Abidjan à partir du 22 octobre. Ils sont poursuivis pour leur rôle dans la crise postélectorale de 2010-2011. Outre Simone Gbagbo, plusieurs personnalités de haut rang sont concernées. Qui sont-ils et que leur reproche la justice ivoirienne ?
François Hollande et Pascal Affi N’Guessan se connaissent depuis dix ans. Que se sont-ils dit à Abidjan, le 17 juillet, en marge de la minitournée du président français en Afrique ?
Pascal Affi N’Guessan, le président du Front populaire ivoirien (FPI), le parti de Laurent Gbagbo, a été reçu en audience par François Hollande jeudi soir à Abidjan. Il a répondu aux questions de « Jeune Afrique » à l’issue de cet entretien.