Homme politique ivoirien né en 1953 à Bouadikro. Ancien proche de Laurent Gbagbo, il est engagé dans le Front Populaire Ivoirien (FPI) depuis 1986. Il a été premier ministre sous Gbagbo de 2000 à 2003.
Le chef du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, est bien décidé à maintenir sa candidature pour sa propre succession à la tête du parti face à celle de l’ancien président Laurent Gbagbo, détenu à La Haye. Interview.
Tous deux candidats à la présidence du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan et Laurent Gbagbo seront départagés lors du 4e congrès du parti, début décembre à Abidjan. Quels sont les principaux soutiens de l’actuel patron du FPI et ceux de l’ancien président de la Côte d’Ivoire ? « Jeune Afrique » fait le point.
Pascal Affi N’guessan, le président du Front populaire ivoirien (FPI), a déposé mercredi sa candidature à sa propre succession. La semaine dernière, des partisans de Laurent Gbagbo avaient fait de même au nom de l’ancien président. Verdict entre le 11 et le 13 décembre, lors du 4e Congrès du FPI, à Abidjan.
Plus de 90 partisans de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo comparaîtront devant la Cour d’assises d’Abidjan à partir du 22 octobre. Ils sont poursuivis pour leur rôle dans la crise postélectorale de 2010-2011. Outre Simone Gbagbo, plusieurs personnalités de haut rang sont concernées. Qui sont-ils et que leur reproche la justice ivoirienne ?
François Hollande et Pascal Affi N’Guessan se connaissent depuis dix ans. Que se sont-ils dit à Abidjan, le 17 juillet, en marge de la minitournée du président français en Afrique ?
Pascal Affi N’Guessan, le président du Front populaire ivoirien (FPI), le parti de Laurent Gbagbo, a été reçu en audience par François Hollande jeudi soir à Abidjan. Il a répondu aux questions de « Jeune Afrique » à l’issue de cet entretien.
Pascal Affi N’Guessan, le président du Front populaire ivoirien (FPI), réorganise le secrétariat général du parti. Certains y voient une manière de tourner la page Gbagbo avant 2015.
Opération séduction pour le FPI. Depuis lundi, le président du parti de Laurent Gbgabo, Pascal Affi N’Guessan, a entamé une tournée dans le nord de la Côte d’Ivoire afin de rencontrer les populations de la région. Il rendra également visite vendredi à Simone Gbagbo, toujours en résidence surveillée à Odienné.
Quatre dirigeants du FPI, dont son président Pascal Affi N’Guessan, ont été convoqués jeudi par la gendarmerie ivoirienne au Plateau, à Abidjan. L’appel du parti d’opposition au boycott du recensement général et les troubles qui en ont découlé semblent être à l’origine de cette audition.
Un garde du domicile de Pascal Affi N’Guessan a violemment molesté, samedi à Bongouanou, un journaliste qui cherchait à rejoindre ses confrères invités à déjeuner par… le président du FPI lui-même.
Zadi Djédjé, le président du CJPPR (pro-Blé Goudé) s’oppose fermement à la ligne dure tracée par le président du FPI, Pascal Affi N’guessan. Et milite pour la réconciliation nationale, sans condition préalable.
Le FPI a décidé de durcir le ton face au gouvernement ivoirien. Réuni autour de son comité central, samedi, une semaine après le transfèrement de Charles Blé Goudé à la CPI, le parti de l’ancien président Laurent Gbagbo a notamment qualifié le régime d’Alassane Ouattara de « dictature » au « visage hideux ».
Pascal Affi N’Guessan, chef de l’opposition en Côte d’Ivoire, a appelé jeudi à Abidjan au boycott massif du recensement de la population. Selon lui, des obstacles politiques doivent être surmontés avant que cette enquête puisse se tenir.
La convention du FPI qui se tient les 21 et 22 février en Côte d’Ivoire est un grand test pour le président du parti, Pascal Affi N’Guessan. Qui doit s’imposer sur les partisans du « Tout sauf Gbagbo » pour pouvoir se présenter face à Ouattara à la présidentielle de 2015.
La justice ivoirienne vient d’annoncer la remise en liberté provisoire de quatorze détenus proches de Laurent Gbagbo, l’ancien chef de l’État. Parmi eux : Pascal Affi N’Guessan, président du Front populaire ivoirien (FPI), incarcéré depuis avril 2011, Michel Gbagbo ou encore Geneviève Bro Gregbe.
Pascal Affi N’Guessan, chef de file du FPI de Laurent Gbagbo, a été transféré de sa résidence surveillée jusqu’au QG d’Alassane Ouattara pour éviter les « débordements », selon le camp présidentiel.
La réunion du panel de chefs d’État de l’UA sur la crise ivoirienne, prévue jeudi prochain à Addis-Abeba, devrait se dérouler sans Laurent Gbagbo mais en présence d’Alassane Ouattara. Que peut-il sortir de cette rencontre, alors que la Côte d’Ivoire semble s’enfoncer chaque jour un peu plus dans le chaos ?
Le président du FPI, le parti de Laurent Gbagbo, sort de sa réserve. Pour lui, il est certain que l’UEMOA va se disloquer si la Côte d’Ivoire dirigée par le président sortant n’en fait plus partie. C’est-à-dire si elle bascule dans une économie de type autarcique.
Dans une interview vidéo à jeuneafrique.com, le président du Front populaire ivoirien (FPI, camp présidentiel), Pascal Affi N’Guessan, interpelle le Premier ministre et secrétaire général des Forces nouvelles (FN, ex-rébellion) Guillaume Soro. Le défi qu’il lui lance est clair : soit il arrive à faire désarmer les anciens rebelles dans les deux prochains mois, soit il « rend son tablier ».
Le camp du président ivoirien Laurent Gbagbo a accablé dimanche 10 janvier la Commission électorale indépendante (CEI), accusée de « fraude » par M. Gbagbo, et réclamé sa « dissolution pure et simple » ou son « réaménagement » pour en « garantir la neutralité et l’impartialité ».
Samedi 5 février 2005, le monde apprend la mort brutale de Gnassingbé Eyadéma. Voici le récit des dernières heures du doyen des chefs d’État africains et de l’avènement de son successeur à la tête du Togo.