Plus de quatre ans après les faits, et lavé des accusations d’abus sexuel qui pesaient contre lui, l’avocat d’affaires togolais revient sur les raisons de son départ précipité du cabinet américain. Le fondateur d’Asafo & Co veut maintenant obtenir réparation et réclame 100 millions de dollars à son ancien employeur.
Ces avocats d’affaires qui ont marqué l’année africaine (3/3). Infrastructures, hydrocarbures, transports, télécoms, immobilier… Les projets d’envergure en Afrique francophone n’ont pas de secret pour les membres du podium du « 100 Legal Powerlist », classement exclusif de Jeune Afrique et Jeune Afrique Business+.
Autrefois dominé par les cabinets internationaux, le métier s’est réajusté sur le continent au profit des acteurs africains. Une cohabitation qui ne va pas sans susciter quelques tensions.
La pandémie a profondément affecté les pratiques, mais modérément le niveau d’activité. Si les grands projets se sont poursuivis, l’activité des fusions-acquisitions, elle, a souffert.
Incarnation des succès d’Orrick pendant dix-sept ans, l’avocat togolais a choisi de défendre ses couleurs au sein de son propre cabinet, consacré exclusivement à l’Afrique.
Pendant dix ans, Pascal Agboyibor a incarné la réussite de la firme américaine Orrick sur le continent. Après sa rupture brutale avec son ancienne maison, annoncée en mars,
Le cabinet d’affaires Orrick, Herrington & Sutcliffe a annoncé, le 11 mars, le départ de son associé Pascal Agboyibor, après une enquête menée par le cabinet d’avocats Freshfields Bruckhaus Deringer.