Détenteur des droits de diffusion des compétitions de la Confédération africaine de football (CAF) jusqu’à décembre 2025, le groupe togolais New World TV, qui ne parvient pas à s’acquitter de ses paiements, fait l’objet de pressions de la part de l’instance africaine de football.
Alors que son mandat prend fin en 2025, Patrice Motsepe est secoué par une affaire interne qui pointe les méthodes de son secrétaire général. Ces révélations, qui mettent en lumière une mauvaise gouvernance au sein de la confédération, remettent directement en cause la présidence du Sud-Africain. Explications.
Le mercredi 5 juin, de nombreux médias ont annoncé le report au début de l’année 2026 de la CAN 2025, organisée au Maroc. Une information rapidement démentie par la Confédération africaine de football, qui assure que rien n’a encore été décidé. Vraiment ?
L’accord pour le rachat de MultiChoice par Canal+ devrait se conclure dans les jours qui viennent. Un deal plus complexe que prévu pour les équipes de l’opérateur français.
Le milliardaire sud-africain a rencontré les autorités de Brazzaville pour discuter du démarrage des activités de son usine de phosphates située à l’ouest du pays.
Patron de la Confédération africaine de football depuis mars 2021, le Sud-Africain n’est pas officiellement candidat à sa succession. Mais il vient de faire un important geste financier à l’égard des fédérations du continent.
Le président sud-africain, qui espère être réélu à l’issue des élections générales de 2024, se montre très discret sur sa vie privée. Plus question de donner prise au moindre scandale, comme cela a pu être le cas dans le passé.
Déjà présente en Zambie, la start-up se présente comme une réponse américaine à l’offensive chinoise sur les minerais africains nécessaires à la conception de véhicules électriques.
Dans une tribune envoyée à la Fifa et à la Confédération africaine de football, des acteurs du football camerounais dénoncent le « silence » et la « complicité » de ces instances face aux accusations qui pèsent sur le président de la Fecafoot.
Le 16 juillet, Djahid Zefizef annonçait sa démission de la présidence de la FAF. Son successeur doit être élu le 4 septembre prochain. Et ce sera forcément un homme proche du pouvoir.
Surnommé « le violeur de Facebook » et condamné à la réclusion à perpétuité, cet escroc a mis en scène son propre décès pour s’échapper de prison. Ses crimes autant que le scandale de son évasion tiennent l’Afrique du Sud en haleine.
Il y a fort à parier que les propos de Fouzi Lekjaâ au sujet de la prochaine CAN occuperont les discussions du comité exécutif de la CAF qui se réunit à Rabat le 7 juillet pour évoquer l’organisation des prochaines compétitions. En Algérie, la polémique ne faiblit pas.
En Tunisie, Wadie Jary, le président de la fédération de football, est dans le viseur de la justice. Mais il bénéficie d’appuis solides dans les milieux sportifs et au sein de la classe politique.
Le vingtième roi de l’une des dynasties les plus anciennes et les plus influentes de l’ouest du Cameroun s’est entouré d’anciens fidèles de son père, mais aussi de membres de sa famille maternelle. Voici ceux qui chuchotent à l’oreille du jeune souverain.
Le cabinet Roland Berger a été choisi par la CAF, dirigée par Patrice Motsepe, pour inspecter les stades des pays candidats à l’organisation du tournoi africain.
Sans surprise, Gianni Infantino a été réélu à la tête de la Fifa, le 16 mars, à Kigali. L’Italo-Suisse s’est appuyé sur ses solides relations en Afrique, au sein des fédérations et des palais présidentiels.
Depuis plusieurs mois, l’ambiance est délétère au sein de la Fédération congolaise de football (Fecofa). L’instance va être suspendue par la Fifa, et un comité de normalisation sera désigné.
Nouveau rebondissement dans l’annonce du nom du pays organisateur de la CAN 2025, initialement prévue en février. Alors que cette hypothèse était fortement privilégiée, Patrice Motsepe a finalement décidé de ne pas le dévoiler à Kigali, le 16 mars. Explications.
La RDC va affronter la Mauritanie à deux reprises en mars, en matchs de qualification pour la CAN 2024. Mais le choix du stade où les Léopards doivent accueillir les Mourabitounes tourne à l’imbroglio. Explications.
La CAF devrait profiter de la réélection de Gianni Infantino, le 16 mars à Kigali, pour annoncer le nom du pays organisateur de la CAN 2025. Le Maroc a désormais une longueur d’avance. Coulisses.
En décrétant que le plus grand stade du pays, sis à Kinshasa, n’est pas, contrairement à celui de Lubumbashi, en mesure d’accueillir des rencontres panafricaines, la CAF a mis le doigt dans une querelle bien plus politique qu’il n’y paraît, en pleine année électorale.
Alors que le Championnat d’Afrique des nations (Chan) s’est achevé le 4 février en Algérie, la CAF, dirigée par Patrice Motsepe, songe sérieusement à faire évoluer le format de ce tournoi, entre autres.
Candidate à l’organisation de la CAN 2025, l’Algérie accueillait jusqu’au 4 février la phase finale du Championnat d’Afrique des Nations (Chan), qui fut un succès sur tous les plans. Un bon point pour elle. Mais l’incident avec le Maroc avant le début de la compétition ne plaide pas en sa faveur…
L’instance dirigée par Patrice Motsepe se prononcera officiellement le 10 février. Mais si les discussions se poursuivent, certaines candidatures retiennent toute l’attention. Coulisses.
Malgré l’intervention du patron de la CAF et de celui de la Fifa auprès du président Abdelmadjid Tebboune, les autorités algériennes n’ont toujours pas délivré d’autorisation de survol de leur espace aérien à l’avion de la sélection marocaine. Coulisses.
Pierre-Alain Mounguengui a été invité par la Fifa à assister au Mondial. Sa présence, alors qu’il est accusé de ne pas avoir dénoncé un scandale de pédophilie, suscite de nombreuses réactions.
Algérie, Maroc, Nigeria, Bénin, Afrique du Sud ou Sénégal… Plusieurs pays sont cités pour remplacer la Guinée et accueillir la CAN 2025. Mais tous n’ont pas les infrastructures nécessaires.
Un litige oppose SABC, le « supporter » officiel des Lions indomptables, et UCB, celui de la dernière Coupe d’Afrique des nations. Le premier est soutenu par le président de la Fecafoot, Samuel Eto’o, et le second, par le patron de la CAF, Patrice Motsepe. Récit d’une lutte d’influence.