Patrice Motsepe était à Abidjan du 4 au 5 avril, officiellement pour discuter de la prochaine Coupe d’Afrique des nations. Il a profité de son entretien avec le président pour aborder le sujet de l’élection à la tête de la Fédération ivoirienne de football.
En RD Congo et au Sénégal du 20 au 22 février, Recep Tayyip Erdogan, le président turc, était accompagné d’un aréopage de patrons. Les dessous d’une diplomatie qui mêle amitié, business et sport.
De Douala à Yaoundé, le président de la CAF profite de sa présence à la Coupe d’Afrique des nations pour étoffer son carnet d’adresses dans le milieu des affaires, mais aussi au palais d’Etoudi.
« CAF, machine à scandales » (1/3). Fiascos retentissants, petits arrangements entre amis, guerres d’influence entre poids lourds… La Confédération africaine de football cumule depuis des années les dépassements en tous genres. Dernier en date, l’invraisemblable imbroglio autour des droits télévisuels. À la veille de l’ouverture de la CAN au Cameroun, retrouvez notre enquête.
Alors que les rumeurs sur un possible report de la CAN ne cessent d’enfler sous la pression de la Fifa, Samuel Eto’o dit son exaspération. Fraîchement élu à la tête de la Fédération camerounaise de football, l’ancien international affirme qu’il « défendra avec la dernière énergie la tenue de cette Coupe d’Afrique des nations ».
Le 9 janvier, le chef de l’État assistera à la cérémonie d’ouverture de la Coupe d’Afrique des nations à Yaoundé. Plusieurs convives de marque devraient l’y accompagner, malgré la situation sanitaire difficile. « Jeune Afrique » dévoile une partie du casting.
Le projet très controversé d’un Mondial organisé tous les deux ans séduit le Maroc comme l’Algérie, le Sénégal ou le Bénin. Les fédérations africaines y voient une opportunité pour leurs joueurs… et leurs stades.
Le 17 août, la cérémonie du tirage au sort de la CAN prévue en janvier 2022 à peine achevée, le président de la CAF a rapidement quitté le Cameroun. « Jeune Afrique » explique ce départ précipité.
La nouvelle direction de la Confédération africaine de Football (CAF), présidée par le milliardaire sud-africain Patrice Motsepe, a décidé de procéder à plusieurs licenciements. Dans un style jugé brutal.
C’est un homme richissime, mais qui n’avait jamais eu de responsabilité dans l’administration du football africain qui vient d’être porté à la tête de la CAF. Ses liens avec la FIFA et sa capacité à évoluer en milieu méconnu seront surveillés de près.
Professionnalisation du football africain, amélioration de l’image de l’institution, modernisation des infrastructures, réforme de la CAN… Les défis du nouveau président de la Confédération africaine de football sont nombreux.
Incarnation de cette élite noire qui a prospéré après l’apartheid, le milliardaire sud-africain a été élu par acclamation à la tête de la Confédération africaine de football, ce mercredi 12 mars. Il était le seul candidat à la succession d’Ahmad Ahmad.
Gianni Infantino, le président de la Fifa, multiplie les initiatives pour que le Sud-Africain Patrice Motsepe, son favori, soit élu président de la Confédération africaine de football, le 12 mars à Rabat.
Dernière ligne droite, et dernières négociations, dans la course à la présidence de la Confédération africaine de football. Tandis que le milliardaire sud-africain Patrice Motsepe profite du ralliement du Sénégalais Augustin Senghor et du Mauritanien Ahmed Yahya, l’Ivoirien Jacques Anouma ne s’avoue pas vaincu.
À seulement deux semaines de l’élection pour la présidence de la confédération, l’homme d’affaires sud-africain a dévoilé un programme ambitieux : faire du football africain une entreprise prospère.
Le 12 mars à Rabat, l’homme d’affaires briguera la présidence de la Confédération africaine de football. Voici les piliers de sa stratégie de campagne.
La Confédération africaine de football (CAF) connaîtra son nouveau président le 12 mars. Dernier rebondissement dans une campagne qui n’en manque pas : le retour d’Ahmad Ahmad, un temps écarté pour des soupçons de détournements de fonds.
Face au Covid-19, les pouvoirs publics ont conduit la riposte. Mais les grandes fortunes du continent ont pris leur part à l’effort collectif, anticipant même parfois les initiatives publiques.
Ils s’appellent Patrice Motsepe, Mo Ibrahim ou Tony Elumelu… Encouragés par leurs homologues occidentaux, les milliardaires du continent n’hésitent plus à consacrer une partie de leur richesse à des actions de charité.
L’homme d’affaires sud-africain a été nommé président du Conseil des affaires des Brics, dont un des objectifs sera de faciliter la coopération industrielle et financière entre Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud.
Le milliardaire sud-africain Patrice Motsepe a annoncé qu’il allait donner la moitié de sa fortune à une fondation caritative, suivant l’appel de Bill Gates et Warren Buffett.