Alors que les résultats définitifs de l’élection présidentielle kényane ne sont pas attendus avant vendredi, l’opposition a enjoint la Commission électorale (IEBC) à déclarer son candidat Raila Odinga « vainqueur » du scrutin.
Les violences qui ont éclaté mercredi dans plusieurs villes du Kenya ont déjà fait quatre morts. L’attente des résultats définitifs de la présidentielle, d’ores et déjà rejetés par l’opposant Raila Odinga, est à haut risque pour un pays qui a déjà connu de graves troubles postélectoraux par le passé.
« We got them », a tweeté en lettres capitales l’opposant Raila Odinga. Après avoir qualifié mardi soir de « fictifs » les résultats provisoires de l’élection présidentielle kényane, le candidat de la coalition Nasa a détaillé dans un communiqué de huit pages un système de fraude présumé à grande échelle.
La coalition du candidat de l’opposition à l’élection présidentielle kényane, Raila Odinga, a annoncé dans la nuit de mardi à mercredi qu’elle rejetait les résultats provisoires du scrutin, les qualifiant de « fictifs ». Diffusés depuis mardi soir par la commission électorale, ceux-ci donnent une large avance au chef de l’État sortant, Uhuru Kenyatta.
D’un côté, le fils du premier chef de l’État. De l’autre, celui de son vice-président. Engagé il y a un demi-siècle, le combat Kenyatta-Odinga connaîtra son dénouement le 8 août, au cours d’un scrutin à haut risque.
Le président kényan Uhuru Kenyatta a appelé à la paix lundi, à la veille d’une élection présidentielle qui s’annonce tendue et serrée, et au cours de laquelle il briguera un deuxième mandat face au chef de l’opposition Raila Odinga.
Jusqu’au dernier moment, le président Uhuru Kenyatta a laissé planer le suspense quant à sa participation au débat télévisé organisé lundi 24 juillet en vue des élections présidentielles du 8 août prochain. Finalement, il a laissé son rival Raila Odinga répondre seul aux questions des journalistes.
Le Kenya risque-t-il de replonger dans le chaos ? Dix ans après les pires violences électorales de l’histoire du pays (plus de 1 100 morts), l’Union européenne a annoncé ce lundi le déploiement d’un premier groupe d’observateurs à l’approche des élections générales.
À quelques semaines des élections générales du 8 août prochain, la Commission électorale kényane a annoncé ce mardi 27 juin que le pays compte désormais cinq millions d’électeurs de plus que lors du scrutin de 2013. Soit une hausse de 36%.
La commission électorale kényane (IEBC) a validé lundi huit candidatures pour la présidentielle du 8 août. Le président sortant, Uhuru Kenyatta, est en lice pour un second mandat. Il devra notamment affronter son principal rival, l’ancien Premier ministre Raila Odinga.
L’ex-Premier ministre kényan (2008-2013) Raila Odinga a été désigné ce jeudi candidat de la coalition de l’opposition pour la présidentielle du 8 août, lors d’un grand meeting à Nairobi.
L’opposition kényane a qualifié mercredi d’« état d’urgence » l’interdiction par le gouvernement de toute « manifestation non autorisée » après de nombreux affrontements meurtriers entre policiers et manifestants dans l’ouest du pays.
De légers incidents dimanche dans un bidonville de Nairobi, après la mort de deux personnes la veille à Kisumu (ouest), ont suivi la confirmation de la victoire d’Uhuru Kenyatta à la présidentielle kényane, a annoncé la police.
Devancé par Uhuru Kenyatta lors de l’élection présidentielle kényane, le Premier ministre sortant, Raila Odinga, déposera un recours devant la Cour suprême, « probablement mercredi », a-t-on annoncé dans son camp, lundi 11 mars.
Uhuru Kenyatta, inculpé de crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale (CPI), a été proclamé, le 9 mars, président du Kenya dès le premier tour. Une victoire aussitôt contestée en justice par son rival Raila Odinga.
Le Premier ministre sortant Raila Odinga a annoncé le 9 mars qu’il allait contester en justice sa défaite à la présidentielle au Kenya face à Uhuru Kenyatta, mais a appelé ses partisans à rester calme.
Selon les premiers résultats officiels annoncés jeudi matin par la commission électorale, Uhuru Kenyatta arrive largement en tête du scrutin présidentiel. Le camp de son adversaire, Raila Odinga, dénonce des résultats trafiqués et demande l’arrêt du dépouillement en cours. La commission, par la voix de son président, reste sereine.
Le Premier ministre kényan Raila Odinga, candidat malheureux à la présidentielle kényane fin 2007, retentera sa chance en mars face au vice-Premier ministre Uhuru Kenyatta, inculpé par la justice internationale pour son rôle présumé dans les violences nées du dernier scrutin.
Le Premier ministre kényan, Raila Odinga, est officiellement candidat à l’élection présidentielle de mars dans le pays, les premières depuis celles, meurtrières, de fin 2007, a-t-il annoncé samedi à Nairobi aux côtés des membres de sa coalition.
Le président kényan Mwai Kibaki n’a pas vu d’un très bon oeil la nomination de Raila Odinga, son Premier ministre, en tant que médiateur de la crise ivoirienne.
Les militaires de la Cedeao disent qu’ils n’attendent plus que le feu vert des politiques pour passer à l’action contre le président sortant Laurent Gbagbo. Parallèlement le médiateur de l’UA Raila Odinga et le Premier ministre de Alassane Ouattara, Guillaume Soro, vont de capitale en capitale pour exposer leur point de vue aux chefs d’État africains sur la crise ivoirienne.
L’émissaire de l’Union africaine, Raila Odinga, devrait quitter Abidjan mercredi matin sans avoir obtenu de résultat après ses consultations. Le président sortant Laurent Gbagbo a finalement refusé de lever le blocus de l’hôtel du Golf et la position d’Alassane Ouattara n’a pas évolué.
L’émissaire de l’Union africaine, Raila Odinga, arrivé dans la capitale économique ivoirienne lundi, tente à nouveau d’organiser une rencontre directe entre le président sortant Laurent Gbagbo et le président élu Alassane Ouattara. Dans le camp de ce dernier, on s’interroge sur l’utilité d’un tel évènement.
Le facilitateur dans le conflit postélectoral qui oppose en Côte d’Ivoire Laurent Gbagbo à Alassane Ouattara s’est dit satisfait des avancées observées dans la négociation pour une sortie de crise. Raila Odinga devrait poursuivre ses entretiens avec les deux hommes ce mardi.
Le cortège du médiateur kényan Raila Odinga qui, à peine débarqué de l’aéroport d’Abidjan, se rendait à l’hôtel Pullman, a été dérouté vers le siège des Nations unies. En cause : des incidents armés entre des Casques bleus et des forces pro-Gbagbo devant ledit hôtel.
La mission conjointe UA-Cedeao menée par le Premier ministre kényan Raila Odinga devrait arriver à Abidjan le lundi 17 ou le mardi 18 janvier. Et non dimanche prochain comme annoncé par certaines sources.
Le chef du gouvernement kényan Raila Odinga doit rencontrer le président de la Cedeao avant de rejoindre les trois émissaires de l’organisation ouest-africaine à Abidjan. L’objectif : se préparer à convaincre Laurent Gbagbo de céder le pouvoir à Alassane Ouattara.
Le Premier ministre kenyan a subi une opération chirurgicale « mineure » à la tête, d’après le directeur de l’hôpital de Nairobi où il a été admis, lundi. Selon lui, Raila Odinga « se porte bien ».
Alors que le peuple kenyan est appelé à se prononcer bientôt sur le projet de réforme constitutionnelle qu’il défend, le Premier ministre Odinga fait face à des problèmes de santé. Et les premières interrogations sur sa candidature à la présidentielle de 2012 font surface.
Le Premier ministre kenyan, Raila Odinga, a déclaré dimanche que les pays du bassin du Nil ne menaceraient jamais les intérêts de l’Egypte. Le Caire s’oppose en effet à un nouvel accord des Etats de la région sur le partage des eaux du fleuve, signé le 14 mai dernier à Entebbe (Ouganda).