L’ACTU VUE PAR – Réélection de Donald Trump, islamisme, wokisme, racisme, BRICS, coups d’État en Afrique… Autant de sujets brûlants que Rama Yade, ex-ministre française désormais directrice Afrique du think tank Atlantic Council, aborde dans l’entretien qu’elle a accordé à Jeune Afrique.
En mettant en cause à la tribune de l’ONU « la démocratie à l’occidentale », le président de la transition guinéenne sait-il qu’il met aussi en cause ce qui va avec, à savoir des élections libres et pluralistes, la liberté d’information, d’expression et de manifestation, une justice indépendante, un État de droit, etc. ?
Depuis Washington, l’ex-secrétaire d’État chargée des Affaires étrangères et des Droits de l’Homme sous Nicolas Sarkozy conserve un regard affuté sur les débats qui animent la campagne présidentielle française.
Depuis son élection, le président Joe Biden a montré des signes d’intérêt pour l’Afrique qui marquent un changement avec la politique de son prédécesseur. Mais les États-Unis auront fort à faire face à leur rival chinois, qui a su identifier les opportunités offertes par le continent et n’a pas perdu de temps.
Alors que le sommet pour le climat de Joe Biden vient de se clore, les pays riches doivent respecter leurs engagements financiers s’ils veulent agir pour le climat, sans laisser de côté l’Afrique, dont les traditions et les ressources pourraient inspirer le reste du monde.
L’ex-secrétaire d’État de Nicolas Sarkozy travaille désormais à la Banque mondiale, et sillonne le continent africain pour le compte de l’institution financière internationale.
Désavoués par les électeurs, ils sont restés à quai le 18 juin : le train pour le Palais-Bourbon est parti sans eux. Parviendront-ils à se relancer ou devront-ils faire une croix sur leur carrière politique ?
L’ex-enfant terrible du sarkozysme, candidate à la présidentielle française, évoque son parcours, ses liens avec l’Afrique, ses démêlés avec Kadhafi… Et aussi ses concurrents, de Fillon à Macron.
Pas de soutien majeur mais une confiance en soi à toute épreuve : l’ex-égérie de Nicolas Sarkozy se verrait bien présidente de la République française.
Rama Yade, ancien secrétaire d’État aux Droits de l’homme de Nicolas Sarkozy, a annoncé jeudi son intention de se présenter à la présidentielle 2017 en France. Sans parti depuis son exclusion du Parti radical en mars 2016, elle espère obtenir des soutiens au centre.
L’ancienne secrétaire d’État aux Droits de l’homme de Nicolas Sarkozy, Rama Yade, a été exclue jeudi du Parti radical, a confirmé la direction du parti.
Dans son autobiographie « La Petite fille de la Ve » paru le 29 avril, Roselyne Bachelot, ex-ministre de la Santé de Nicolas Sarkozy, rapporte que ce dernier aurait exigé de son équipe qu’elle lance une « chasse » pour lui trouver… un collaborateur noir.
Le Burkina Faso vit-il une révolution 2.0 ? Sur Twitter, le hashtag #lwili a été la star de la journée du 30 octobre. Il ne faut cependant pas surestimer l’influence des réseaux sociaux.
Le racisme n’épargne toujours pas les ministres français d’origine étrangère. De Rachida Dati à Najat Vallaud-Belkacem en passant par Rama Yade, il a tissé une toile de confusion dans laquelle s’empêtrent même les antiracistes…
Désormais membre du parti centriste de Jean-Louis Borloo, Rama Yade, secrétaire d’État chargée des Sports sous Nicolas Sarkozy, dresse un bilan plus que mitigé de ses années UMP, ne ménage pas ses critiques envers la gauche au pouvoir et ne croit pas une seconde à la « dédiabolisation » engagée par Marine Le Pen. Interview.
L’avenir politique de Rama Yade pourrait se jouer… à Bruxelles. Alors que son nom avait circulé autour d’une candidature parisienne, l’ancienne secrétaire d’État aux Droits de l’homme a annoncé à Jeune Afrique, le 5 décembre, que Jean-Louis Borloo, président de l’Union des démocrates et indépendants (UDI), lui avait proposé le poste de « représentante nationale du parti pour les élections européennes » qui se tiendront en 2014.
Rama Yade, ancienne secrétaire d’État aux Droits de l’Homme sous Nicolas Sarkozy, a réagi, jeudi soir sur Europe 1, aux attaques racistes régulièrement lancées contre la garde des Sceaux française, Christiane Taubira. Estimant que la justice devait jouer son rôle, l’ancienne membre de l’UMP, aujourd’hui ralliée à l’Union des indépendants de Jean-Louis Borloo, a confié avoir reçu « régulièrement des lettres avec des dessins de singes ».
L’ancienne secrétaire d’État, Rama Yade, publie ses « Mémoires ». Bienvenue en Sarkozie, un univers impitoyable où se côtoient quelques brutes et beaucoup de courtisans.
Sept ans de bruits de couloirs gouvernementaux, de coulisses, de batailles d’ego, mais aussi ses rencontres avec Kadhafi, Mandela, ATT, ou encore l’affaire du discours de Dakar par Nicolas Sarkozy – « une vraie cata », dit-elle… Le livre de confessions de Rama Yade, « Carnets du pouvoir (2006-2013) », sorti fin septembre aux Éditions du Moment, relate les rencontres, mais aussi les nombreuses couleuvres qu’a dû avaler l’ancienne secrétaire d’État française aux Droits de l’homme, d’origine sénégalaise. Morceaux choisis.
Accusée d’inscription indue sur une liste électorale, de faux et usage de faux, l’ex-protégée de Nicolas Sarkozy a été relaxée le 25 mars. De quoi lui donner de nouvelles ambitions… pour les municipales de 2014 à Paris ?
Élus locaux ou simples militants, les jeunes issus de l’immigration ont toujours beaucoup de mal à se faire une place dans la politique française. Ils ont compris que rien ne leur sera accordé de bon gré et qu’ils devront se battre. Pied à pied.
Le maire socialiste de Colombes, Philippe Sarre, a eu gain de cause face à Rama Yade qu’il accusait de diffamation à son égard. Celle-ci a été condamnée, mardi 6 novembre, à 2 000 euros d’amende, dont 1 000 avec sursis, et 2 000 euros de dommages.
Nouveaux tracas judiciaires pour Rama Yade, qui devra répondre devant un tribunal de Nanterre d’accusations de « faux » et d' »inscription indue » sur des listes électorales. La date de son procès n’a pas été fixée. Elle risque jusqu’à trois ans d’emprisonnement.
Louvoyer, selon le dictionnaire « Larousse » : courir des bordées, bâbord et tribord amures, pour atteindre en zigzag un point où la direction du vent ne permet pas d’arriver directement. Une définition qui colle à la stratégie politique de Rama Yade, l’ex-star de la diversité de Nicolas Sarkozy qui brigue le siège de député de la 2e circonscription, sous les couleurs du Parti radical de Jean-Louis Borloo.
Alors que François Hollande est entré à l’Élysée, l’enjeu des législatives qui se déroulent les 10 et 17 juin est de taille pour les socialistes français : disposer d’une majorité solide afin d’appliquer le programme du président. Grande nouveauté du scrutin : dans tous les partis, les candidats issus de la « diversité » se sont multipliés. Carte interactive, focus sur les français de l’étranger, portraits… Coup de projecteur sur cette « France qui monte ».
L’ancienne protégée de Nicolas Sarkozy ne voulait plus avoir de comptes à rendre à l’Élysée. Elle en a tiré les conséquences. Rama Yade est désormais une femme politiquement émancipée.
Michèle-Alliot Marie aux Affaires étrangères, Bernard Kouchner et Rama Yade aux oubliettes, la Coopération qui redevient un ministère… tout ce qui va changer dans les relations entre la France et l’Afrique avec le nouveau gouvernement.
La secrétaire d’État aux Sports est revenue sur le discours de Dakar, dans lequel Nicolas Sarkozy avait affirmé que « l’homme africain n’était pas entré dans l’histoire ». Selon elle c’est tout le contraire.
La secrétaire d’État aux Sports, Rama Yade, qui avait dénoncé le clinquant de l’hôtel de l’équipe de France, a dû elle-même s’expliquer sur la suite retenue pour elle en Afrique du Sud. Son prix, selon le « Canard Enchaîné », était plus élevé que celui des chambres des Bleus.