Né en 1924 dans le district de Zvimba, Robert Mugabe est président de la République du Zimbabwe depuis 1987. Diplômé en enseignement et en économie, il se tourne vers la politique en1960 au sein du National Democratic Party (NPD) puis rejoint la Zimbabwe African National Union (ZANU) en 1963. Nationaliste, il est emprisonné pendant dix ans avant de participer aux accords de Lancaster House. Il est élu Premier ministre en 1980 et devient président en 1987. Il sera réélu en 1990, 1996, 2002, 2008 et 2013.
De retour sur le devant de la scène internationale depuis qu’il occupe la présidence tournante de l’Union africaine, le chef de l’État zimbabwéen, Robert Mugabe, multiplie les voyages et profite de toutes les tribunes pour faire valoir ses idées. Après des arrêts remarqués en Algérie et Afrique du Sud, le voilà à Jakarta en Indonésie pour le sommet Asie-Afrique. Jusqu’où ira-t-il et pourquoi ?
Résignés, les internautes zimbabwéens s’attardent davantage sur les photographies de leur président que sur sa politique. Sur le dernier cliché à la mode, Robert Mugabe semble porter des attributs de femmes…
En Afrique du Sud pour une visite historique de deux jours sous le signe de l’économie, le président zimbabwéen et chef de l’Union africaine, Robert Mugabe, en a profité pour décocher quelques flèches à l’endroit de l’Occident et du Conseil de sécurité de l’ONU.
Le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, est arrivé hier à Alger pour une visite d’État de trois jours, à l’invitation du président algérien, Abdelaziz Bouteflika.
Diabolisé par les Européens, le président du Zimbabwe et de l’Union africaine, Robert Mugabe, incarne jusqu’à l’obsession le rejet des anciens colons, de l’Occident et de ses diktats. Pourquoi et comment en est-on arrivé là ?
Le président zimbabwéen Robert Mugabe, dont la réforme agraire des années 2000 a été marquée par la violente éviction de milliers de fermiers blancs, a profité samedi de son 91e anniversaire pour menacer les réserves animalières tenues par des Blancs.
On le disait malade. Mais, à bientôt 91 ans, il apparaît plutôt fringant. Le secret de sa forme ? Écarter ses alliés quand ils deviennent trop encombrants.
Alors que Robert Mugabe vient de prendre la présidence de l’Union africaine, les grincements de dents ne sont pas sans rappeler l’époque où Mouammar Kadhafi avait lui aussi pris la tête de l’organisation. « Jeune Afrique » vous propose de vous replonger dans quelques-unes de leurs déclarations les plus savoureuses. Saurez-vous les attribuer à la bonne personne ?
Ostracisé par les Occidentaux, le président zimbabwéen, Robert Mugabe, revient sur le devant de la scène. Déjà à la tête de la SADC depuis août 2014, il vient d’être élu président de l’Union africaine.
L’Union européenne (UE) a annoncé mardi que le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, sera autorisé à se rendre dans l’UE malgré les sanctions qui le lui interdisent, à condition cependant qu’il voyage pour représenter l’Union africaine dont il vient de prendre la présidence tournante pour un an.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe, 90 ans, a été désigné vendredi par ses pairs pour prendre la présidence tournante de l’Union africaine, lors du 24e sommet de l’organisation panafricaine à Addis-Abeba.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a annoncé par un communiqué dimanche qu’il se séparait de deux ministres et de cinq vice-ministres, poursuivant une purge entamée au début du mois contre les alliés de son ancienne vice-présidente Joice Mujuru.
Nouvelle étape dans la guerre de succession à Robert Mugabe. Celui-ci a démis de ses fonctions Joice Mujuru, vice-présidente du Zimbabwe, qui faisait jusque-là figure de probable héritière du vieux chef de l’État, au pouvoir depuis trente-quatre ans.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe, au pouvoir depuis 1980, a officiellement placé samedi son épouse Grace dans la course à sa succession bien que la première dame soit relativement novice en politique.
Lors du congrès de la Zanu-PF, Robert Mugabe a violemment chargé jeudi Joice Mujuru, vice-présidente du parti accusée de comploter contre lui. La guerre de succession est ouverte.
Connaîtra-t-on bientôt le successeur désigné de Robert Mugabe ? À la Zanu-PF, le parti au pouvoir, la guerre a commencé, alors que les 12 000 délégués de la formation sont rassemblés en congrès cette semaine.
Depuis quelques semaines, les médias gouvernementaux zimbabwéens accusent Joice Mujuru de corruption et de complot contre Robert Mugabe. Lundi, la vice-présidente est sortie de son silence pour annoncer son intention de poursuivre ses détracteurs devant la justice.
Robert Mugabe n’a pas l’intention de se laisser marcher sur les pieds au sein de son propre parti. Dans des images diffusées mercredi, le président zimbabwéen s’est clairement chargé de recadrer ses opposants.
Jusqu’où ira la tentation oligarchique au sommet de l’État zimbabwéen ? Alors que Robert Mugabe, qui multiplie les mandats à rallonge, montre de plus en plus de signes de faiblesse, sa « First shopper » de femme, Grace, pourrait bien vouloir s’offrir une élection à la magistrature suprême pour lui succéder…
À l’issue d’un entretien accordé mardi à Sergueï Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères, le président zimbabwéen, Robert Mugabe, a apporté son soutien à Moscou, qualifiant d' »illégales » les sanctions imposées à la Russie par l’UE et les États-Unis.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a réduit son salaire mensuel à 4 000 dollars (environ 2 800 euros) en raison de la crise économique qui touche son pays.
Le président zimbabwéen, Robert Mugabe, s’en est pris vendredi à « l’absurdité homosexuelle » de l’Europe, condamnant le refus de ses dirigeants d’accepter son pouvoir, dans son dernier discours-fleuve prononcé à l’occasion de la fête de l’indépendance.
Le 21 février Robert Mugabe souffle ses 90 bougies. Pour la grande célébration publique qui sera organisée dimanche en l’honneur du président zimbabwéen, une grande collecte d’un million de dollars a été organisée par son parti, la Zanu-PF. La population, qui souffre de toutes sortes de privations, a été contrainte de mettre la main au portefeuille.
À la tête du Zimbabwe depuis 33 ans, et un peu plus d’un mois après sa éniéme réélection, Robert Mugabe est le sujet d’une pièce de théâtre à New-York.
Au pouvoir depuis l’indépendance du Zimbabwe en 1980, Robert Mugabe, 89 ans, a été investi en grande pompe, le 22 août, pour un nouveau mandat à la présidence du pays. Lors de son discours d’investiture, le vieux président s’est attaqué aux « pays occidentaux » qui ont contesté la crédibilité des résultats de sa large victoire aux élections du 31 juillet.
Le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, entamera, jeudi 22 août, son sixième mandat. Une cérémonie d’investiture à laquelle n’assistera pas le leader de l’opposition et candidat malheureux à la présidentielle du 31 juillet, Morgan Tsvangirai.
À 89 ans, au lendemain de sa réélection pour cinq nouvelles années, le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, n’a rien perdu de sa gouaille. Au grand dam de ses adversaires, qui contestent sa large victoire du 31 juillet dernier. “Bob” les a invités à “aller se faire pendre s’ils le souhaitent”.
Jacob Zuma a félicité, dimanche 4 août, son homologue zimbabwéen, Robert Mugabe, pour sa réélection. Le chef de l’État sud-africain a également appelé tous les partis à accepter le résultat que l’opposition rejette en dénonçant des fraudes.