La nomination surprise de Mohamed Amekraz à la faveur du dernier remaniement procède d’une demande de Mohammed VI. Retour sur le parcours de ce jeune ministre du Travail, qui continuera à diriger la Jeunesse du PJD.
Le Parti du progrès et du socialisme (PPS), membre de tous les gouvernements depuis plus de vingt ans, a quitté l’équipe de Saadeddine El Othmani à la faveur du remaniement ministériel de début octobre. Comment peut-il se positionner pour continuer à exister ? Analyse.
Entre impératifs royaux et tractations partisanes, Saadeddine El Othmani s’est révélé fin stratège en renouvelant son équipe tout en réduisant le staff gouvernemental. Plongée dans les coulisses du casting.
Avortement, relations hors mariage, homosexualité, peine de mort… Les sujets de controverse touchant aux libertés publiques n’en finissent pas d’agiter l’intelligentsia. Tandis que la réforme pénale a de nouveau été reportée.
Pour mettre en musique les orientations du roi, Saadeddine El Othmani doit composer une équipe plus resserrée, tout en ménageant ses alliés au Parlement. Une équation à plusieurs inconnues, pour le chef du gouvernement comme pour les états-majors des partis.
Le différend entre le groupe de BTP italien Impresa Pizzarotti & C. S.p.A. et le Premier ministre marocain porte sur les coûts d’un tunnel qui relie un quartier historique de Rabat et la corniche. Il se réglera devant un tribunal arbitral à Washington faute d’entente amiable.
Très attendu, le 20e discours du Trône du roi Mohammed VI, lundi 29 juillet, engage le Maroc dans « une nouvelle étape ». En trame de fond, un remaniement ministériel et d’importantes nominations à la rentrée pour piloter entre autres un nouveau modèle de développement. Jeune Afrique vous résume les grandes annonces.
Le Haut-commissaire marocain au plan a publié le 9 juillet une note peu enthousiasmante sur la situation économique globale du royaume. Le même jour, le chef du gouvernement s’est voulu rassurant devant la Chambre des conseillers.
Société, économie, lutte contre la corruption, cohabitation avec le RNI, relations avec le Palais… Le secrétaire général du PJD Saadeddine El Othmani dresse le bilan de ses deux années à la tête du gouvernement marocain.
En dépit d’efforts, le gouvernement marocain, arrivé à mi-mandat, ne parvient pas à faire baisser le taux de chômage. Son objectif reste qu’il oscille autour de 8% en 2021
Les partis marocains anticipent déjà les prochaines élections législatives – prévues pour 2021 – , à en croire le débat qui resurgit sur l’article 47 de la Constitution, prévoyant que c’est au sein de la formation arrivée en tête du scrutin que le roi choisit le futur chef du gouvernement. Jeune Afrique vous explique pourquoi.
L’augmentation des salaires des fonctionnaires proposée aux syndicats devrait coûter plus de 8 milliards de dirhams (738 millions d’euros) au budget de l’État. Voici le détail du calcul.
Les discussions entre le gouvernement et les principales centrales syndicales sont au point mort. Au cœur des tensions : le duel que se livrent Mohamed Yatim, ministre de l’Emploi, et Miloudi Moukharik, secrétaire général de l’Union marocaine du travail (UMT).
Plutôt que de débattre du sujet clivant des langues d’apprentissage, les patrons des partis de la coalition gouvernementale ont préféré se montrer solidaires face aux grèves des enseignants contractuels. Récit de la réunion, mercredi 6 mars à Rabat, d’une majorité qui cherche à rafistoler ses fissures.
Les rois du Maroc Mohammed VI et d’Espagne Felipe VI ont présidé mercredi à Rabat une séance de signature de onze accords bilatéraux, à l’occasion de la visite d’État du souverain espagnol au Maroc, dont le voisin du nord est le premier partenaire commercial.
Le Mouvement de l’unicité et de la réforme (Mur), aile idéologique du PJD, s’est attaqué au ministère de l’Éducation nationale au sujet de l’enseignement des langues étrangères, ressuscitant un vieux désaccord au sein de la majorité gouvernementale de Saadeddine El Othmani.
Le chef du gouvernement marocain a assisté mardi 1er janvier à l’investiture du controversé président brésilien d’extrême droite, Jair Bolsonaro. Une présence qui traduit l’importance des relations entre Rabat et Brasilia, aussi bien sur le plan diplomatique que commercial.
Après avoir bondi dans le classement Doing Business, le gouvernement veut garder son élan, en concoctant une stratégie nationale pour l’amélioration du climat des affaires.
Sept ans après son accession à la tête du gouvernement, le PJD peine à s’imposer comme leader de l’exécutif. Contraint de composer avec une majorité hétéroclite et fragilisé par des dissensions internes, il en est réduit à laisser au Palais le soin de conduire les indispensables réformes.
Le Maroc et l’Espagne se sont prononcés lundi pour le renforcement de la coopération entre les deux pays, notamment sur la question migratoire, à l’occasion de la première visite officielle à Rabat du chef du gouvernement espagnol Pedro Sanchez.
Le maintien au dernier moment de l’horaire d’été, au cours d’un Conseil de gouvernement exceptionnel tenu fin octobre, suscite la colère des écoliers. L’exécutif, qui a du mal à remettre les pendules à l’heure, crie à l’instrumentalisation des élèves.
Le Marocain Ahmed Raïssouni, 65 ans, a succédé mercredi 7 novembre à l’Égyptien Youssef al-Qaradawi à la tête de la puissante Union internationale des oulémas musulmans (UIOM). Portrait d’un religieux proche du Qatar et de Tariq Ramadan, qui dérange à la fois les royaumes marocain et saoudien.
La justice marocaine a condamné neuf personnes à des peines allant de 3 à 5 ans de prison ferme, en lien avec le mouvement de protestation dans l’ancienne cité minière de Jerada (2017-2018), a-t-on appris vendredi auprès de leur avocat.
Le chef du gouvernement marocain accorde ce 1er novembre un entretien télévisé aux chaînes Al Aoula et Medi1 TV. La chaîne marocaine 2M, qui a toujours eu maille à partir avec son parti, a quant à elle été tout simplement écartée. Une manière d’esquiver les questions qui dérangent ?
Depuis l’ouverture des hostilités ce week-end par le ministre des Sports Rachid Talbi Alami, les représentants des deux poids lourds de la majorité gouvernementale, le PJD et le RNI, ont enchaîné l’envoi de piques à distance.
Coopération judiciaire avec la France, indépendance de la magistrature, condamnation de militants du Hirak, campagne de boycott, Aziz Akhannouch et le nouveau RNI, cohabitation avec le PJD… Le garde des Sceaux, Mohamed Aujjar, livre ses vérités.
Après la querelle interne entre les soutiens du Premier ministre Saadeddine El Othmani et son prédécesseur Abdelilah Benkirane, les dirigeants du Parti de la justice et du développement (PJD) ont voulu réaffirmer leur unité lors d’une séance exceptionnelle de leur Conseil national, samedi 15 septembre à Bouznika.
Le limogeage de la secrétaire d’État chargée de l’Eau déclenche les foudres du plus fidèle allié des islamistes. Mais la rupture n’est pas pour autant consommée entre le PJD et le PPS.
Durant la séance mensuelle relative à la politique générale devant la Chambre des représentants, Saâdeddine El Othmani, le chef de l’exécutif, a balayé d’un revers de la main l’existence de conflits au sein de son équipe.
Le leader marocain renforce ses positions au sein du Parti de la justice et du développement (PJD). En janvier, ses fidèles se sont imposés au conseil national, le Parlement du parti, bien que Saadeddine El Othmani, le chef du gouvernement, ait mis la main sur le secrétariat général.