Sur les vingt sièges remis en jeu après les législatives de 2016, il n’en reste plus qu’un seul à pourvoir. Si le RNI de Aziz Akhannouch et l’USFP de Driss Lachgar ont réussi à se maintenir, la partie est loin d’être gagnée pour le MP de Mohand Laenser.
Des milliers de personnes se sont rassemblées ce lundi pour dénoncer la « marginalisation » de cette ancienne ville minière, après la mort de deux jeunes adultes dans un puits clandestin d’extraction de charbon.
Ex-ministre délégué au Budget, député-maire de Fès, président du groupe parlementaire du parti et tout récemment porté à la tête de son Conseil national… L’étoile de Driss El Azami El Idrissi est à son firmament. Qui est-il ? D’où vient-il ?
Avant de s’envoler à Paris pour assister au sommet mondial sur le climat, le roi du Maroc a ordonné de nouvelles sanctions qui ont touché des agents du très influent ministère de l’Intérieur. Le motif avancé reste le même : la reddition des comptes.
Après plusieurs mois de suspense, le verdict est tombé : le secrétaire général sortant du PJD n’a pas pu briguer un troisième mandat. C’est Saadeddine El Othmani, actuel chef du gouvernement, qui a pris sa suite, ce dimanche 10 décembre, après un vote serré et d’intenses débats. Un nouveau camouflet pour le Premier ministre déchu, qui voit son étoile pâlir un peu plus.
Maintenant qu’il a été évincé de la tête du PJD, siège désormais occupé par Saadeddine El Othmani qui vient d’être élu secrétaire général, que va faire Abdelilah Benkirane ? La question est sur toutes les lèvres.
L’actuel chef du gouvernement remplace Abdelilah Benkirane au terme d’un débat mouvementé. Le patriarche a été officiellement écarté, mais il reste en embuscade…
Les noms proposés par Nabil Benabdellah, le secrétaire général du Parti du progrès et du socialisme (PPS), pour remplacer les ministres limogés au sein du gouvernement marocain font polémique.
Les échanges économiques entre les deux pays, la signature d’accords dans les domaines portuaire ou numérique, ou encore la future école des Arts et métiers à Zenata étaient au menu de ce deuxième jour de visite du Premier ministre français dans le Royaume chérifien.
Tombées comme un couperet à la lumière du rapport sur l’exécution des projets d’Al Hoceima au Maroc, les sanctions extrêmement sévères décrétées par Mohammed VI – dont la deuxième vague est tombée ce lundi 13 novembre – illustrent un style de gouvernance aussi maîtrisé qu’imprévisible. Analyse.
Poste pour poste, au profit des mêmes partis politiques… C’est l’approche prônée par Saadeddine El Othmani pour remplacer les trois ministres et le secrétaire d’État limogés par le roi.
Le parti des anciens communistes a certes toujours été le Petit Poucet de la classe politique marocaine, il n’en est pas moins le grand perdant des sanctions royales du 24 octobre. Histoire d’un parti qui n’en est pas à sa première déconvenue.
Le roi du Maroc a limogé mardi trois ministres, un secrétaire d’État et des hauts fonctionnaires. Il se confirme que ce sont bien des problèmes de gouvernance et les retards pris dans le plan de développement d’Al Hoceïma, dans le Rif, qui ont été à l’origine du coup de colère royal. Explication.
Pour renforcer des relations commerciales qui s’intensifient depuis quelques années, le Premier ministre russe a effectué une visite de travail de deux jours dans le royaume, au cours de laquelle onze accords de partenariat ont été signés, notamment dans les domaines de l’énergie et de l’agriculture, mais aussi sur le plan militaire.
Après avoir été l’un des plus jeunes membres de l’exécutif, l’actuel ministre délégué aux Marocains résidant à l’étranger, Abdelkrim Benatiq a connu quelques déboires. Avant de revenir aux affaires. Parcours.
Malgré son absence lors du séminaire de rentrée de la coalition gouvernementale, Abdelilah Benkirane continue de peser sur la coordination du travail de la majorité parlementaire.
Quatre mois après son investiture, le chef du gouvernement, Saadeddine El Othmani, dresse un premier bilan de l’action de son gouvernement. Sans convaincre et sous le regard critique de son prédécesseur.
Un nouveau round de négociations avec les syndicats devrait démarrer le 9 octobre prochain. En attendant, les principales centrales fourbissent leurs armes…
Nasser Bourita veut redynamiser le ministère des Affaires étrangères, pièce maîtresse de la diplomatie chérifienne. Moins de congés, plus de compétition interne : pas de doute, des changements sont en cours.
Quatre mois après son entrée en fonction, le chef du gouvernement marocain a essayé de resserrer les rangs d’une majorité fragile. Il estime que son équipe a bien fait son travail, malgré les contraintes.
Khalid El Bouakri, secrétaire général du mouvement de la Jeunesse du Parti de la justice et du développement (PJD), est en première ligne pour faire face aux dilemmes que confrontent le PJD.
Selon des sources internes, les deux hommes forts du Parti de la justice et du développement (PJD) ont conclu un accord pour tenter d’apaiser les tensions qui déchirent la formation islamiste.
Depuis sa nomination, en mars, le chef du gouvernement s’inscrit dans les pas de son prédécesseur, Abdelilah Benkirane, et n’a pas encore apporté sa touche personnelle à la gestion des affaires publiques. Certains y voient de la logique et du bon sens. D’autres, de l’attentisme.
Le chef du gouvernement marocain a annoncé jeudi 3 août la mise en place de six projets de réformes pour « corriger les irrégularités en matière de gestion de la chose publique », soulevées quelques jours plus tôt par le roi Mohammed VI dans son discours du Trône.
Ses partisans veulent que Benkirane rempile pour un troisième mandat à la tête du Parti de la justice et du développement, et qu’il aplanisse ses relations avec l’État.
Le président de la Cour des comptes, Driss Jettou, a présenté mardi 4 juillet le rapport annuel de son institution devant le Parlement. Il a notamment pointé du doigt l’aggravation de la dette publique et invité le gouvernement à revoir sa méthode de calcul du déficit budgétaire.
Les forces de l’ordre ont commencé en début de semaine à se retirer progressivement des centres d’al-Hoceima et Imzouren, deux villes du nord du Maroc secouées par un mouvement de contestation depuis huit mois.