Samuel Eto’o est un footballeur camerounais. Né le 10 mars 1981 à Douala, il entame sa carrière en 1996, lorsqu’il intègre l’équipe du Real Madrid. Il jouera par la suite au FC Barcelone, de 2004 à 2009, puis à l’Inter Milan de 2009 à 2011. Après être passé par différents clubs, il signe le 18 janvier 2015 à l’UC Sampdoria, en Italie. Depuis 1997, il était également titulaire au sein de l’équipe nationale du Cameroun, qu’il a quittée en 2014 après la Coupe du monde au Brésil.
La Fecafoot a exclu 21 joueurs sur les 30 qui devaient participer au tournoi Uniffac, qualificatif pour la CAN des moins de 17 ans, qui doit se tenir au Cameroun à partir du 12 janvier.
Défait par la France le 14 décembre, le Maroc de Walid Regragui joue aujourd’hui pour la troisième place de la Coupe du monde face à la Croatie. Un résultat inespéré pour l’entraîneur dont la méthode a séduit les joueurs.
La vidéo de l’agression d’un youtubeur algérien, lundi 5 décembre, par le président de la Fecafoot a largement circulé sur les réseaux sociaux. Selon l’entourage d’Eto’o, l’affaire est plus complexe qu’il n’y paraît.
Même s’ils battent le Brésil, les champions d’Afrique ne sont pas assurés de se qualifier pour les 8e de finale de la Coupe du monde. Il faut dire que leur séjour qatari ne se déroule pas en toute sérénité.
Pour l’entrée en lice de l’Afrique au Mondial 2022, le Lion indomptable Samuel Eto’o portait le maillot des Lions de la Teranga. Une hérésie pour certains Camerounais…
Les fédérations des cinq pays qualifiés pour la Coupe du monde de football ont pris la précaution de définir les montants des primes qui seront versées aux joueurs et aux staffs techniques.
La Tunisie, le Maroc, le Cameroun et le Ghana devront se surpasser pour atteindre le second tour de la Coupe du monde de football. Quant au Sénégal, il reste suspendu au genou de Sadio Mané.
Le premier est président de la Fecafoot, le second ministre des Sports. Ces deux fortes personnalités ont tout intérêt à travailler main dans la main, mais leur collaboration a plutôt tendance à faire des étincelles.
À un mois de la Coupe du monde au Qatar, les nouvelles tuniques des Lions indomptables, fabriquées par l’américain One All Sports, ne sont visibles nulle part et aucun aperçu du nouveau maillot officiel n’a filtré. L’ancien équipementier français a porté plainte pour « rupture abusive de contrat » à la fin de septembre.
Les deux icônes du sport camerounais s’affrontent à propos de la résiliation du contrat qui liait la Fecafoot, que dirige l’ancien footballeur, au Coq Sportif, dont l’ex-tennisman détient une partie du capital.
Alors que la Fédération camerounaise de football a rompu son contrat avec Le Coq Sportif au profit d’un autre équipementier, des photos de maillots dessinés par la société française en vue de la Coupe du Monde au Qatar qui se tiendra à la fin de l’année créent la confusion.
À trois mois du début de la Coupe du monde, le président de la Fédération camerounaise de football a choisi One All Sports pour équiper les Lions indomptables. Une décision qui étonne, la société américaine étant inconnue dans le milieu du football.
« La folie des transferts » (6/6). Samuel Eto’o s’est fait connaître en Espagne. Mais avant de signer au Real Madrid, il a vécu quelques semaines en France, dans des conditions rocambolesques.
La Fédération camerounaise de football, après avoir unilatéralement décidé de cesser sa collaboration avec Le Coq Sportif, est en discussion avec trois marques. Coulisses.
Limogeages en série, changement d’équipementier, omniprésence médiatique… Depuis son arrivée à la tête de Fédération camerounaise de football, Samuel Eto’o est un président très actif. Trop, selon ses détracteurs.
Lors d’un discret déjeuner à Bouznika, entre Casablanca et Rabat, le président de la Fecafoot a apaisé les tensions avec son homologue marocain. Coulisses.
Le président de la Fédération camerounaise de football a plaidé coupable de fraude fiscale et conclu un accord avec le parquet espagnol afin d’éviter d’effectuer une peine de prison.
La fuite du montant des rémunérations versées aux joueurs, au staff technique et à l’encadrement de la sélection nationale pour la qualification à la Coupe du Monde 2022 n’en finit pas de provoquer la polémique.
Des voix s’élèvent contre le récent sermon du président de la Fédération camerounaise de football à l’équipe nationale, pourtant victorieuse face au Burundi. Un ancien coéquipier de Samuel Eto’o est même entré dans la danse.
Le 20 juin prochain, l’ancien footballeur sera jugé pour avoir, selon la justice espagnole, omis de payer ses impôts lorsqu’il jouait pour le FC Barcelone. Il plaide la bonne foi, le gestionnaire de son patrimoine ayant été condamné.
Le 18 mai, Benjamin Didier Banlock, le secrétaire général de la Fédération camerounaise de football, a démissionné de ses fonctions. Un départ qui couvait en réalité depuis plusieurs mois.
Déjà champion olympique en 2020, le Français d’origine camerounaise espère renouveler la performance à Paris, en 2024. Et garde dans un coin de sa tête d’autres plans de carrière.
Un litige oppose SABC, le « supporter » officiel des Lions indomptables, et UCB, celui de la dernière Coupe d’Afrique des nations. Le premier est soutenu par le président de la Fecafoot, Samuel Eto’o, et le second, par le patron de la CAF, Patrice Motsepe. Récit d’une lutte d’influence.
Du président turc à l’émir du Qatar en passant par le président congolais Félix Tshisekedi, le nouveau président de la Fecafoot entretient un épais carnet d’adresse, qui lui assure des connexions dans le football, la politique et même les milieux économiques.
Propulsé à la tête de la Fecafoot en décembre, l’ancien attaquant star du Barça prend soin de n’afficher aucune ambition autre que footballistique. Mais à Yaoundé, on le soupçonne de se rêver un destin à la George Weah et de lorgner la succession de Paul Biya.
Les deux sélectionneurs joueront une partie de leur avenir, les 25 et 29 mars, lors des matchs Cameroun-Algérie pour la qualification en phase finale de la Coupe du monde 2022.
Le pays organisateur de la Coupe d’Afrique des nations doit désormais se concentrer sur les conséquences financières de l’évènement. Un défi immense que d’autres pays africains n’ont pas su relever.
Contre l’avis du ministre Narcisse Mouelle Kombi, le président de la Fécafoot a obtenu le remplacement du sélectionneur des Lions indomptables Toni Conceiçao par son ex-coéquipier. Un pari osé avant la rencontre avec l’Algérie, cruciale pour accéder à la Coupe du monde.