Samuel Eto’o est un footballeur camerounais. Né le 10 mars 1981 à Douala, il entame sa carrière en 1996, lorsqu’il intègre l’équipe du Real Madrid. Il jouera par la suite au FC Barcelone, de 2004 à 2009, puis à l’Inter Milan de 2009 à 2011. Après être passé par différents clubs, il signe le 18 janvier 2015 à l’UC Sampdoria, en Italie. Depuis 1997, il était également titulaire au sein de l’équipe nationale du Cameroun, qu’il a quittée en 2014 après la Coupe du monde au Brésil.
La Fédération camerounaise de football, après avoir unilatéralement décidé de cesser sa collaboration avec Le Coq Sportif, est en discussion avec trois marques. Coulisses.
Limogeages en série, changement d’équipementier, omniprésence médiatique… Depuis son arrivée à la tête de Fédération camerounaise de football, Samuel Eto’o est un président très actif. Trop, selon ses détracteurs.
Lors d’un discret déjeuner à Bouznika, entre Casablanca et Rabat, le président de la Fecafoot a apaisé les tensions avec son homologue marocain. Coulisses.
Le président de la Fédération camerounaise de football a plaidé coupable de fraude fiscale et conclu un accord avec le parquet espagnol afin d’éviter d’effectuer une peine de prison.
La fuite du montant des rémunérations versées aux joueurs, au staff technique et à l’encadrement de la sélection nationale pour la qualification à la Coupe du Monde 2022 n’en finit pas de provoquer la polémique.
Des voix s’élèvent contre le récent sermon du président de la Fédération camerounaise de football à l’équipe nationale, pourtant victorieuse face au Burundi. Un ancien coéquipier de Samuel Eto’o est même entré dans la danse.
Le 20 juin prochain, l’ancien footballeur sera jugé pour avoir, selon la justice espagnole, omis de payer ses impôts lorsqu’il jouait pour le FC Barcelone. Il plaide la bonne foi, le gestionnaire de son patrimoine ayant été condamné.
Le 18 mai, Benjamin Didier Banlock, le secrétaire général de la Fédération camerounaise de football, a démissionné de ses fonctions. Un départ qui couvait en réalité depuis plusieurs mois.
Déjà champion olympique en 2020, le Français d’origine camerounaise espère renouveler la performance à Paris, en 2024. Et garde dans un coin de sa tête d’autres plans de carrière.
Un litige oppose SABC, le « supporter » officiel des Lions indomptables, et UCB, celui de la dernière Coupe d’Afrique des nations. Le premier est soutenu par le président de la Fecafoot, Samuel Eto’o, et le second, par le patron de la CAF, Patrice Motsepe. Récit d’une lutte d’influence.
Du président turc à l’émir du Qatar en passant par le président congolais Félix Tshisekedi, le nouveau président de la Fecafoot entretient un épais carnet d’adresse, qui lui assure des connexions dans le football, la politique et même les milieux économiques.
Propulsé à la tête de la Fecafoot en décembre, l’ancien attaquant star du Barça prend soin de n’afficher aucune ambition autre que footballistique. Mais à Yaoundé, on le soupçonne de se rêver un destin à la George Weah et de lorgner la succession de Paul Biya.
Les deux sélectionneurs joueront une partie de leur avenir, les 25 et 29 mars, lors des matchs Cameroun-Algérie pour la qualification en phase finale de la Coupe du monde 2022.
Le pays organisateur de la Coupe d’Afrique des nations doit désormais se concentrer sur les conséquences financières de l’évènement. Un défi immense que d’autres pays africains n’ont pas su relever.
Contre l’avis du ministre Narcisse Mouelle Kombi, le président de la Fécafoot a obtenu le remplacement du sélectionneur des Lions indomptables Toni Conceiçao par son ex-coéquipier. Un pari osé avant la rencontre avec l’Algérie, cruciale pour accéder à la Coupe du monde.
L’ancien défenseur star prendrait ainsi la suite du Portugais António Conceição. La décision pourrait être officiellement annoncée mercredi 23 février.
Invisible à l’écran, absent des discours… Le nouveau président de la Fecafoot semble avoir été « oublié » de la cérémonie d’ouverture de la Coupe d’Afrique des nations.
À dix jours de l’ouverture de la CAN, une affaire concernant le nouveau patron de la Fecafoot fait mauvais genre. L’ex-attaquant des Lions indomptables apparaît sur la liste des gros débiteurs des finances publiques espagnoles.
La CAF n’a pas cédé aux injonctions de report de la FIFA. Après avoir rencontré Paul Biya, ce mardi 21 décembre, Patrice Motsepe, le patron du football africain a confirmé que la Coupe d’Afrique des nations se tiendra bien au Cameroun du 9 janvier au 6 février.
Alors que les rumeurs sur un possible report de la CAN ne cessent d’enfler sous la pression de la Fifa, Samuel Eto’o dit son exaspération. Fraîchement élu à la tête de la Fédération camerounaise de football, l’ancien international affirme qu’il « défendra avec la dernière énergie la tenue de cette Coupe d’Afrique des nations ».
Le 9 janvier, le chef de l’État assistera à la cérémonie d’ouverture de la Coupe d’Afrique des nations à Yaoundé. Plusieurs convives de marque devraient l’y accompagner, malgré la situation sanitaire difficile. « Jeune Afrique » dévoile une partie du casting.
D’un côté, une légende vivante du ballon rond. De l’autre, le président sortant. Tous deux briguent la tête de la fédération. Ils ne sont pas les seuls candidats, mais c’est entre eux que cela se jouera. Le suspense prendra fin au soir de l’élection, le 11 décembre.
Candidat à la présidence de la Fédération camerounaise de football, Samuel Eto’o accuse son principal adversaire, le sortant Seidou Mbombo Njoya, de corruption – documents à l’appui ! La commission d’éthique l’a débouté, mais l’ancien international n’a pas dit son dernier mot.
Rival de Seidou Mbombo Njoya dans la course à la présidence de la Fecafoot, l’ex-capitaine des Lions indomptables capitalise sur son solide réseau à l’international, mais aussi au Cameroun, où il bénéficie d’accès au sein du sérail politique.
Durant dix jours, une délégation emmenée par le secrétaire général de la présidence, Ferdinand Ngoh Ngoh, visite les sites qui accueilleront la CAN en janvier. Une façon pour Paul Biya de tenter de faire taire les critiques. « Jeune Afrique » détaille les plans du chef de l’État.
Son élection à la tête de la Fédération camerounaise de football a beau avoir été annulée, Seidou Mbombo Njoya œuvre à sa réélection… Mais il pourrait trouver face à lui son ancien allié, Samuel Eto’o.