Ségolène Royal est une femme politique française née en 1953 dans la région de Dakar. Membre du Parti Socialiste, elle a occupé de multiples fonctions : conseillère du président François Mitterrand, députée, ministre, présidente du conseil régional de Poitou-Charentes, entre autres. En 2007 elle est la première femme française à accéder au second tour de l’élection présidentielle. Depuis avril 2014 elle est ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie dans le gouvernement Valls.
Depuis la Turquie où il vit désormais, l’ancien président guinéen n’a pas tardé à reconstituer son carnet d’adresses. Avec qui a-t-il maintenu le contact parmi les chefs d’État, ses anciens ministres en exil ou encore les membres de son parti ?
Face à l’enthousiasme provoqué par le retour du Maroc au sein de l’Union africaine (UA), sa conférence sur les énergies renouvelables a dû être annulée.
La venue de la ministre française dans la capitale éthiopienne, alors que vient de s’y ouvrir le 28e sommet de l’Union africaine, se confirme. Officiellement, elle souhaite assister au conseil d’administration de l’initiative africaine pour les énergies renouvelables. Officieusement, sa visite aurait un second objectif.
En déplacement à Marrakech à l’occasion de la COP 22, la ministre française de l’Environnement et gardienne de l’esprit de l’accord de Paris a annoncé l’installation prochaine d’une antenne auprès de la Banque africaine de développement (BAD). Cette antenne gérera les dix milliards de dollars mobilisés pour les initiatives africaines en matière d’énergies renouvelables. Interview.
La présidente de la Cop 21 et ministre française de l’Écologie, Ségolène Royal, a passé le relais à son homologue marocain, Saleheddine Mezouar, ce lundi. Les deux ministres ont appelé à un engagement pour l’Afrique, qui sera au cœur de la conférence de Marrakech.
Depuis le début de l’année, Ségolène Royal a visité une dizaine de pays (Égypte, Éthiopie, Guinée, Côte d’Ivoire, Sénégal, Nigeria, Gabon, RD Congo). La ministre française de l’Écologie et présidente de la COP21, qui prévoit une nouvelle tournée africaine en août, s’est imposé la mission de développer à travers le continent le plus grand nombre possible de projets d’énergies vertes.
Présent à Paris pour la COP21 avec pas moins de six ministres et logé au Royal Monceau, le président Denis Sassou Nguesso a mis à profit son séjour pour recevoir Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense (avec lequel il s’est entretenu du dossier centrafricain), et pour déjeuner sur le site du Bourget avec Ségolène Royal.
À l’approche de la conférence de Paris sur le climat, la ministre de l’Écologie multiplie les visites sur le continent. Son message : la France sera aux côtés des pays qui s’engagent sur la voie des énergies vertes.
Après une longue tournée sur le continent début août, Ségolène Royal sera à Libreville à partir du 28 août pour le Sommet extraordinaire de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale sur le climat.
La ministre française de l’Écologie a entamé dimanche une tournée africaine pour préparer la Conférence sur le climat COP21 qui se déroulera au mois de décembre à Paris.
Dans un restaurant parisien proche des Champs-Élysées, Ségolène Royal répondait, le 2 juillet, aux questions de l’Association de la presse panafricaine (Appa). Au menu de cette rencontre : peu d’actualité africaine et beaucoup de politique française. Du non-cumul des mandats au droit de vote des étrangers, en passant par son ex-protégée Delphine Batho – qui sera limogée du ministère de l’Écologie quelques heures plus tard – une fois de plus, la présidente de la région Poitou-Charentes a démontré qu’elle n’avait pas la langue dans sa poche et qu’elle était encore bien présente. Morceaux choisis.
La présidente de la région Poitou-Charentes a pris de vitesse ses partenaires socialistes en annonçant, sept mois avant leur date sa candidature aux primaires du parti. Échéances déterminantes dans le choix du candidat pour la présidentielle de 2012.
Rarement une campagne pour les élections européennes aura été aussi terne en France. Mais Ségolène Royal n’entend pas abandonner le débat d’idées à la morosité ambiante. Le 18 mai, la candidate socialiste à la présidentielle de 2007 contre Nicolas Sarkozy est intervenue dans un petit théâtre parisien sur le thème « Quel avenir commun pour l’Afrique et l’Europe au XXIème siècle ? » dans le cadre de ses Universités populaires participatives (UPP).
Ségolène Royal a réitéré lundi ses propos controversés tenus à Dakar (Sénégal) début avril, lançant « pardon, merci, s’il vous plaît » à l’Afrique qui est « notre avenir », tout en refusant la repentance.
Ségolène Royal a demandé « pardon » à l’Afrique lors d’un discours prononcé à Dakar. « Pardon » pour les déclarations « humiliantes » que Nicolas Sarkozy avait faites en juillet 2007 dans la capitale sénégalaise. « Pardon », aussi, pour la loi sur le rôle positif de la colonisation.
Ségolène Royal est arrivée samedi au Sénégal pour une visite de cinq jours. La candidate socialiste malheureuse à la présidentielle française de 2007 présente le « développement durable comme un axe fort de sa visite ». Reste qu’elle espère aussi faire oublier le discours de Dakar du président Nicolas Sarkozy, qui avait fâché l’Afrique.
À force de multiplier bévues et provocations depuis sa défaite à la présidentielle, l’ancienne candidate socialiste est en train de choir du piédestal où l’avait élevée sa course solitaire vers l’Élysée.