Saïf al-Islam Kadhafi est un homme politique libyen né en 1972 à Tripoli. Second fils de Mouammar Kadhafi, il fait l’objet d’un mandat d’arrêt de la CPI pour crimes de guerre présumés lors de la révolte de 2011. Le 28 juillet 2015 il est condamné à mort par le tribunal de Tripoli.
La Russie s’est affirmée comme un acteur déterminant dans le chaos libyen. Allié du maréchal Haftar, le Kremlin maintient un contact avec toutes les principales parties impliquées dans le conflit – y compris Seif al-Islam Kadhafi, qui vient d’annoncer son retour sur la scène politique via Moscou.
Ses soutiens l’assurent : Seif el-Islam Kadhafi, le fils de feu le « Guide » de la Jamahiriya a annoncé à Vladimir Poutine sa candidature à la prochaine présidentielle. Nouveau coup de bluff ?
France, Italie, Maroc, Algérie… Si les médiateurs étatiques se sont multipliés, favorisant des options concurrentes, lui entend remettre le destin du pays entre les mains des principaux intéressés.
Originaire de Misrata, l’ingénieur libyen Abdulhamid al-Dabaiba, 59 ans, se lance dans la course politique, avec l’ambition d’incarner une alternative à Khalifa Haftar et Fayez el-Sarraj.
Confronté à une situation politique et militaire libyenne confuse, l’émissaire de l’ONU Ghassan Salamé ne ménage pas ses efforts pour accompagner la transition pacifique vers un gouvernement central. Ce qui semble loin d’être gagné…
Selon ses nombreux soutiens, le fils de Mouammar Kadhafi, Seif el-Islam, se présentera à la prochaine élection présidentielle. Encore faut-il qu’il réapparaisse…
En Libye et au Sénégal, Seif el-Islam Kadhafi et Karim Wade, tous deux fils d’anciens dirigeants politiques, viennent de se porter candidats à l’élection présidentielle de leur pays.
Liste électorale, constitution, élections, sécurité… l’envoyé spécial de l’ONU en Libye, qui a répondu à JA en marge du 30e sommet de l’Union africaine, à Addis-Abeba, est optimiste, même s’il sait que de nombreux défis restent à relever pour aboutir à des élections avant la fin de l’année.
Trois mois après sa nomination, le chef de la mission de l’ONU a présenté une feuille de route pour la Libye prévoyant notamment une conférence nationale de réconciliation et des élections. Entretien.
Six ans après la disparition du « Guide », ses principaux et derniers acolytes ont changé de geôliers et bénéficient désormais d’un traitement de faveur. Enquête.
Ses relations avec le « Guide » et la chute de celui-ci, le rôle de Nicolas Sarkozy, mais aussi sa vie en Afrique du Sud et ses tentatives pour influer sur le sort de son pays. Pour la première fois, Béchir Saleh, ancien directeur de cabinet et ex-patron du fonds souverain libyen, livre une part de sa vérité.
Selon les autorités de Zintan, qui le détenaient depuis le 19 novembre 2011, Seïf el-Islam, le fils de Kadhafi a été libéré le 10 juin. Mais nul ne sait où il se trouve.
Alors qu’un groupe armé libyen a affirmé avoir libéré le fils de l’ex-dictateur Mouammar Kadhafi, Seif al-Islam, celui-ci est toujours activement recherché en Libye. Dans un communiqué publié ce mercredi, la Cour pénale internationale a exigé son arrestation immédiate, afin qu’il soit jugé pour crimes contre l’Humanité.
Le fils de l’ex-dictateur libyen Mouammar Kadhafi, Seif al-Islam, qu’un groupe armé libyen affirme avoir libéré vendredi 9 juin, est toujours recherché par les autorités judiciaires de Tripoli où il avait été condamné en 2015, a indiqué lundi le parquet.
Un groupe armé libyen a affirmé avoir libéré Seif el-Islam, fils cadet du dictateur libyen déchu Mouammar Kadhafi, dans un communiqué publié samedi soir sur sa page Facebook.
Destiné à apaiser les tensions, le statu quo avalisé par les autorités de Tripoli et de Tobrouk a ouvert un espace à d’autres protagonistes. Et fragmenté un peu plus la scène politique locale.
Cinq ans après le début de la révolution qui a précipité la chute du « Guide », la traque des membres de son clan et de ses milliards continue d’alimenter tous les fantasmes. Que font-ils, que savent-ils et surtout où sont-ils ? Enquête.
Un tribunal de Tripoli a condamné à mort le fils préféré du défunt « Guide » libyen. Détenu par des miliciens de Zintan, l’ancien dauphin putatif comparaissait par vidéoconférence.
Le tribunal de Tripoli a rendu son jugement mardi, condamnant par contumace le fils de Mouammar Kadhafi, Seif el-Islam, et huit proches de l’ex-« Guide suprême » à la peine capitale pour leur rôle dans leur répression du soulèvement de 2011.
Détenu au secret depuis fin 2011, l’ex-dauphin du « Guide » représente pour ses geôliers un trésor de guerre inestimable. Que lorgnent avec convoitise toutes les factions rivales.
L’appel de la Libye interjeté devant la CPI a été rejeté mercredi par la juridiction pénale internationale. La Cour refuse que Seif el-Islam, fils de Mouammar Kadhafi, soit jugé dans son pays comme le souhaite Tripoli.
Le fils de Mouammar Kadhafi, Seif el-Islam, et plusieurs de ses proches collaborateurs, comme Abdallah Senoussi ou Al-Baghdadi al-Mahmoudi, sont appelés à comparaître ce jeudi à Tripoli, dans le cadre d’une affaire liée à la répression de la révolte de 2011.
Seif el-Islam Kadhafi, et Abdallah Senoussi, ex-chef des renseignements libyens, seront jugés la première quinzaine d’août, a annoncé, lundi 17 juin, le bureau du procureur de la Cour pénale internationale.
La Cour pénale internationale a rejeté, vendredi 31 mai, la demande de Tripoli de ne pas poursuivre à La Haye Seif el-Islam Kadhafi. Le bras de fer continue entre la CPI et la Libye, qui se disputent le droit de juger le fils de l’ex-dictateur libyen Mouammar Kadhafi.
Seif el-Islam, fils du défunt dictateur libyen Mouammar Kadhafi, a comparu le 2 mai, pour la deuxième, devant un tribunal libyen. Il lui est reproché d’avoir tenté de communiquer illégalement avec l’extérieur en juin 2012. Le procès a été renvoyé de nouveau au 19 septembre pour permettre à sa défense d’avoir accès à l’intégralité du dossier.
Une vidéo inédite donne les premiers détails du procès de l’ex-dauphin de la Libye, Seif el-Islam Kadhafi. Ce dernier est jugé pour des faits qui remontent à juin 2012, lorsqu’une délégation de la CPI avait été accusée d’avoir comploté son évasion.
Seif el-Islam Kadhafi, fils de l’ancien dictateur libyen Mouammar Kadhafi, a comparu pour une première fois devant un tribunal de Zintane, en Libye, le jeudi le 17 janvier.
Des avocats nommés par la Cour pénale internationale (CPI) ont assuré, mercredi 10 octobre, que Seif el-Islam Kadhafi serait sûrement pendu s’il était jugé en Libye.
L’audience de la Cour pénale internationale (CPI) qui doit décider si la Libye peut juger à sa place Seif el-Islam Kaddadi a débuté mardi 9 octobre. Elle doit se poursuivre mercredi.