Présidente du Mouvement des générations capables (MGC), Simone Gbagbo peaufine la stratégie de son nouveau parti, lancé en août 2022, pour les élections locales d’octobre et novembre prochains. L’ancienne première dame, séparée de l’ex-président Laurent Gbagbo (le couple est en instance de divorce), est l’une des fondatrices du Front populaire ivoirien (FPI). Depuis qu’elle a été amnistiée de sa condamnation à vingt ans de prison pour atteinte à la sûreté de l’État, en 2018, Simone Gbagbo se montre particulièrement discrète. Elle a lissé sa réputation de « dame de fer » et a beaucoup échangé avec des personnalités politiques de tout bord. Elle s’est notamment entretenue, de manière très officielle, avec Pascal Affi N’Guessan, seul maître à bord du FPI depuis le départ des pro-Gbagbo, et Henri Konan Bédié, le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI).
La partie civile, qui représente l’État de Côte d’Ivoire, a également contesté devant la Cour suprême l’acquittement de Simone Gbagbo prononcé le 28 mars, a appris Jeune Afrique.
L’ex-première dame ivoirienne, jugée pour crime contre l’humanité, a été acquittée le 28 mars. Elle reste néanmoins en prison, où elle purge une peine de vingt ans pour d’autres faits liés à la crise postélectorale de 2011. Retour sur six années de procédure.
Plusieurs associations parties civiles au procès ne cachent pas leur désarroi au lendemain de l’acquittement de Simone Gbagbo, qui était poursuivie pour crime contre l’Humanité et crime de guerre. Face à une justice ivoirienne jugée partiale, certaines organisations en appellent à la Cour pénale Internationale (CPI).
Simone Gbagbo, jugée depuis mai 2016 pour des faits de crime contre l’Humanité et de crime de guerre, a été acquittée mardi 28 mars par la Cour d’assises d’Abidjan. Le procureur avait requis à son encontre une peine d’emprisonnement à vie.
Aly Yéo, le procureur général du tribunal d’Abidjan a requis ce mardi une peine d’emprisonnement à vie à l’encontre de Simone Gbagbo, jugée pour crime contre l’Humanité.
Les avocats des parties civiles ont estimé, au cours de leurs plaidoiries finales du procès de Simone Gbagbo pour crime contre l’Humanité, que l’ex-première dame était coupable, l’accusant d’avoir été « plus calife que le calife » lors de la crise ivoirienne. Le procureur doit prononcer son réquisitoire ce mardi.
Les avocats commis d’office de l’ex-première dame de Côte d’Ivoire, Simone Gbagbo, jugée à Abidjan pour crimes contre l’humanité, n’assisteront pas à la phase finale du procès prévue à partir de lundi, ont-ils annoncé, réclamant une nouvelle fois une reprise totale du procès.
Le président de la Cour d’assises qui juge Simone Gbagbo depuis le 31 mai 2016 à Abidjan a décidé que son procès pour crime contre l’Humanité pourra continuer sans l’accusée ni ses avocats commis d’office, absents ce mardi 21 mars. Le réquisitoire du procureur est attendu à partir de lundi prochain.
Après une audience houleuse, la Cour d’assises jugeant Simone Gbagbo pour crime contre l’Humanité à Abidjan a rejeté mercredi 15 mars la requête de la défense lui enjoignant de se dessaisir ou de reprendre totalement les débats. Les avocats commis d’office envisagent désormais de suspendre leur participation au procès.
Le procès de Simone Gbagbo, jugée pour crime contre l’Humanité aux assises d’Abidjan, a de nouveau été reporté mercredi 8 mars. Les audiences reprendront le 14 mars.
Le procès de l’ancienne première dame ivoirienne, jugée depuis le 31 mai 2016 pour crime contre l’Humanité, s’est brièvement rouvert en son absence mardi 7 mars aux assises d’Abidjan.
Le deuxième procès de l’ancienne Première dame ivoirienne reprend mardi 21 février à Abidjan, après un mois et demi d’interruption. Une reprise qui devrait avoir lieu sans Simone Gbagbo ni sa première équipe d’avocats, toujours décidés à ne plus participer au procès. Jeune Afrique fait le point en quatre questions-réponses sur cette procédure judiciaire mouvementée.
Le procès des auteurs présumés du bref rapt de l’avocat français Xavier Ghelber, enlevé à Abidjan dans la nuit du 6 au 7 novembre 2004, s’est ouvert vendredi à Paris. Les raisons de cet enlèvement, qui aura duré quelques heures, restent mystérieuses. L’affaire a été mise en délibéré jusqu’au 3 mars.
L’ordre des avocats ivoirien a annoncé que trois avocats avaient été commis d’office ce mardi, en vue de la reprise le 10 janvier du procès pour crimes contre l’humanité de l’ex-première dame de Côte d’Ivoire, Simone Gbagbo.
Le procès pour crimes contre l’humanité de l’ex-première dame de Côte d’Ivoire, Simone Gbagbo, bloqué depuis fin novembre à la suite du retrait de ses conseils, va reprendre le 20 décembre, a annoncé un juge jeudi.
Le procès de l’ex-première dame de Côte d’Ivoire Simone Gbagbo, jugée pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, et dont les avocats commis d’office n’ont pas encore été nommés, a été reporté à jeudi.
La Cour d’assises d’Abidjan, qui juge l’ex-première dame de Côte d’Ivoire pour crimes contre l’humanité, a décidé jeudi 1er décembre de poursuivre son procès malgré son absence, a constaté un journaliste de l’AFP.
L’ex-première dame de Côte d’Ivoire, Simone Gbagbo, ne s’est pas présentée mercredi 30 novembre à son procès pour crimes contre l’humanité, au lendemain d’échanges houleux entre elle et le président du tribunal. « C’est de la foutaise », a-t-elle notamment déclaré.
L’enquête concernant la disparition de Guy-André Kieffer, en 2004, va-t-elle, enfin, connaître une avancée décisive ? Selon France Inter, la justice française a entendu un témoin français affirmant connaître l’endroit où le corps du journaliste franco-canadien est enterré.
Le président de la Cour d’assises, le juge Boiqui Kouadio, a décidé mercredi que le procès de Simone Gbagbo, l’ex-première dame de Côte d’Ivoire, pour crimes contre l’humanité, se poursuivrait sans elle et avec des avocats commis d’office. Me Ange Rodrigue Dadjé était jusque-là son principal conseil. Il réagit pour Jeune Afrique.
Le procès de Simone Gbagbo, l’ex-première dame de Côte d’Ivoire, pour crimes contre l’humanité, se poursuivra sans elle et avec des avocats commis d’office, a décidé mercredi le président de la Cour d’assises, le juge Boiqui Kouadio.
Le procès de Simone Gbagbo, l’ex-première dame de Côte d’Ivoire, jugée pour crimes contre l’humanité, a été de nouveau suspendu ce lundi. Comme la semaine dernière, aucun des témoins que la défense a demandé à entendre ne s’est présenté.
Le procès de l’ex-première dame de Côte d’Ivoire pour crimes contre l’humanité a une nouvelle fois été suspendu mercredi 2 novembre car les personnalités ivoiriennes que la défense veut faire entendre n’avaient pas été convoquées. Il devra reprendre lundi 7 novembre.
L’ex-première dame de Côte d’Ivoire a refusé mardi de comparaître à son procès à Abidjan pour crimes contre l’humanité, suivant ainsi le conseil de ses avocats. Ces derniers avaient déjà annoncé lundi qu’ils suspendaient leur participation en raison de l’impossibilité selon eux de faire témoigner certaines personnalités comme Guillaume Soro ou Jeannot Kouadio Ahoussou.
La défense de Simone Gbagbo, l’ex-Première dame de Côte d’Ivoire accusée de crimes contre l’humanité, a suspendu lundi sa participation au procès de leur cliente. Les avocats protestent contre la décision de la Cour, qui a refusé de faire témoigner certaines personnalités ivoiriennes.
Sur les neuf pays qui font l’objet d’une enquête par la Cour Pénale Internationale, huit sont africains. Une statistique qui nourrit les accusations de « chasse raciale » portées par l’Union africaine, dans un contexte tendu. Le Burundi et l’Afrique du Sud viennent en effet de se retirer de la CPI.