Présidente du Mouvement des générations capables (MGC), Simone Gbagbo peaufine la stratégie de son nouveau parti, lancé en août 2022, pour les élections locales d’octobre et novembre prochains. L’ancienne première dame, séparée de l’ex-président Laurent Gbagbo (le couple est en instance de divorce), est l’une des fondatrices du Front populaire ivoirien (FPI). Depuis qu’elle a été amnistiée de sa condamnation à vingt ans de prison pour atteinte à la sûreté de l’État, en 2018, Simone Gbagbo se montre particulièrement discrète. Elle a lissé sa réputation de « dame de fer » et a beaucoup échangé avec des personnalités politiques de tout bord. Elle s’est notamment entretenue, de manière très officielle, avec Pascal Affi N’Guessan, seul maître à bord du FPI depuis le départ des pro-Gbagbo, et Henri Konan Bédié, le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI).
Le procès de Simone Gbagbo, l’ex-Première dame ivoirienne, reprend ce lundi à Abidjan après plusieurs semaines d’interruption. Florent Geel, responsable Afrique de la FIDH, livre à Jeune Afrique sa vision sur l’événement.
Michel Legré, beau-frère de l’ex-première dame de Côte d’Ivoire Simone Gbagbo, arrêté en 2004 pour enlèvement, séquestration et assassinat puis libéré dans l’affaire de la disparition du journaliste franco-canadien Guy-André Kieffer, est décédé à Abidjan, a appris dimanche l’AFP.
Le procès de Simone Gbagbo, jugée par les assises d’Abidjan depuis le 31 mai pour « crime contre les prisonniers de guerre et crime contre l’humanité » a été reporté au 10 octobre pour causes de vacances judiciaires.
Plusieurs témoins se sont succédé à la barre lundi et mardi devant la Cour d’assises d’Abidjan, accusant l’ex-première dame d’avoir ordonné le bombardement du marché de Siaka Koné d’Abobo le 17 mars 2011. La défense rejette en bloc ces accusations.
La riposte était attendue. Mercredi 20 juillet, un ancien milicien pro-Gbagbo a accusé l’ancienne première dame ivoirienne d’avoir ordonné l’assassinat et la dissimulation du corps du journaliste franco-canadien Guy-André Kieffer, porté disparu en 2004 à Abidjan.
Le journaliste franco-canadien Guy-André Kieffer, porté disparu en 2004 à Abidjan, a été exécuté, son corps incinéré sur ordre de l’ex-première dame ivoirienne Simone Gbagbo, a déclaré un ancien chef de milice mercredi 20 juillet devant la justice .
Après plus de deux semaines de suspension d’audiences en raison du malaise de Simone Gabgbo, le procès de l’ancienne première dame ivoirienne a repris devant les assises d’Abidjan mardi 19 juillet.
Hospitalisée vendredi 1er juillet suite à un malaise, Simone Gbagbo, 67 ans, a quitté la polyclinique Sainte Anne-Marie de Cocody (Pisam) une semaine plus tard, dans la soirée de vendredi 8 juillet.
Victime d’un malaise vendredi 1er juillet, Simone Gbagbo, dont le procès a été suspendu jusqu’au lundi 11 juillet pour raison médicale, était toujours hospitalisée à la polyclinique Sainte Anne-Marie de Cocody (Pisam) jeudi 7 juillet.
Jugée pour crimes contre l’humanité devant les assises d’Abidjan, l’ex-première dame a été victime d’un malaise la semaine dernière. Son procès a donc été suspendu lundi pour une semaine.
Citée dans l’affaire Guy-André Kieffer, Simone Gbagbo, actuellement jugée pour crimes contre l’humanité, a demandé mardi lors d’une audience que progresse l’enquête sur la disparition du journaliste franco-canadien, en 2004 à Abidjan.
Lors de la reprise lundi à Abidjan de son procès pour crimes contre l’humanité, Simone Gbagbo a catégoriquement nié avoir été en contact avec des escadrons de la mort. « Je n’ai envoyé personne aller faire la guerre », a clamé l’ex-première dame ivoirienne.
La défense de Simone Gbagbo a obtenu lundi le report au 20 juin du procès de l’ancienne première dame ivoirienne, jugée depuis le 31 mai à Abidjan pour crime contre des prisonniers de guerre et crime contre l’humanité.
L’ex-Première dame de Côte d’Ivoire Simone Gbagbo, jugée pour « crimes contre l’humanité » depuis le 31 mai à Abidjan et interrogée lundi par l’accusation sur ses activités « supposées ou réelles », a réfuté avoir disposé d’un cabinet militaire privé.
Au troisième jour de son procès pour « crimes contre l’humanité », l’ex-Première dame de Côte d’Ivoire Simone Gbagbo a assuré que son mari l’aurait giflée si elle lui avait demandé de d’abandonner le pouvoir.
Au deuxième jour de son procès pour crimes contre l’humanité, l’ex-Première dame de Côte d’Ivoire Simone Gbagbo a dénoncé mercredi un procès politique et affirmé avoir été victime d’une « tentative de viol » lors de son arrestation en 2011.
Au premier jour de son procès à Abidjan pour crimes contre l’humanité, l’ex-Première dame de Côte d’Ivoire Simone Gbagbo a rejeté toutes les charges pesant contre elle.
L’ancienne Première dame comparaît depuis ce mardi devant la cour d’Appel d’Abidjan. Elle doit, entre autre, répondre d’accusations de crimes contre l’humanité. Que lui reproche la justice ivoirienne ? Éléments de réponse.
Le procès pour « crime contre l’humanité » de Simone Gbagbo, ex-Première dame de Côte d’Ivoire, s’ouvre mardi à Abidjan. Les organisations de défense des droits de l’Homme ont annoncé qu’elles n’y participeraient pas et dénoncent leur marginalisation dans la procédure.
Cette tribune a également été signée par Drissa Traore, Yacouba Doumbia, Mohamed Pongathie, Zakaria Toure, Catherine Gambettte, Clémence Bectarte, avocats du Groupe d’action judiciaire de la FIDH, du MIDH et de la LIDHO et de 250 parties civiles dans les procédures de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire.
La justice ivoirienne a rejeté jeudi le pourvoi en cassation émis par la défense de Simone Gbagbo, condamnée le 10 mars 2015 à 20 ans de prison pour « attentat contre l’autorité de l’État, participation à un mouvement insurrectionnel et trouble à l’ordre public ».
Cheveux grisonnant et rasés courts, Simone Gbagbo a comparu lundi au tribunal d’Abidjan lors de l’ouverture de la session d’assises de son procès pour crimes contre l’humanité, chef d’accusation pour lequel elle sera jugée à partir du 31 mai prochain.
Le procès de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé à la Cour pénale internationale reprend pour deux semaines ce lundi, avec l’audition d’un sixième témoin de l’accusation. C’est également aujourd’hui que s’ouvre la session d’assises qui doit juger Simone Gbagbo à Abidjan.
Un an après sa condamnation à Abidjan en mars 2015, Simone Gbagbo sera de retour lundi 9 mai devant la Cour d’assises d’Abidjan. Cette fois-ci, l’ancienne première dame ivoirienne, 66 ans, sera jugée pour crimes contre l’humanité.
L’audience solennelle du procès de Simone Gbagbo aura lieu le 9 mai à la Cour d’Assises d’Abidjan, a confirmé jeudi 28 avril à Jeune Afrique l’un de ses avocats, Me Ange Rodrigue Dadjé, précisant que le jury du procès avait été tiré au sort la veille.
La Cour suprême de Côte d’Ivoire a rejeté à nouveau ce jeudi le pourvoi en cassation introduit par Simone Gbagbo. Plus rien ne s’oppose à son retour devant la Cour d’Assises d’Abidjan, où elle sera jugée cette fois pour « crimes contre l’humanité ».
Un an après sa condamnation à vingt ans de réclusion, Simone Gbagbo sera de retour devant la Cour d’Assises d’Abidjan. La Cour suprême a en effet rejeté jeudi soir le pourvoi en cassation introduit par la défense de l’ancienne première dame.