Chef de file de l’opposition malienne, candidat malheureux pour la seconde fois face à Ibrahim Boubacar Keïta lors de la présidentielle de 2018, Soumaïla Cissé a été pris en otage par des jihadistes pendant six mois. Enlevé le 25 mars 2020 alors qu’il faisait campagne pour les législatives dans son fief de Niafunké, dans la région de Tombouctou, il a été libéré le 8 octobre 2020.
Il est décédé à Paris le 25 décembre 2020, des suites du Covid-19.
Leader de l’Union pour la république et la démocratie (URD) et opposant numéro un au président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), Soumaïla Cissé va officiellement devenir le chef de file de l’opposition malienne. Il se félicite de ce changement institutionnel, tout en fustigeant la gestion de la crise du Nord par le gouvernement actuel. Interview.
Réconciliation, sécurité, justice… Soucieux de ne pas « hurler avec les loups », l’opposant numéro un à Ibrahim Boubacar Keïta, Soumaïla Cissé, n’en a pas moins une vision critique de l’action du président. Interview.
Six mois après la victoire d’Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) à la présidentielle, Soumaïla Cissé, le nouveau chef de file de l’opposition à l’Assemblée nationale malienne, fait le bilan. Interview.
Le candidat malheureux à la dernière présidentielle malienne, Soumaïla Cissé, prépare les législatives prévues pour le 24 novembre. Selon le patron de l’Union pour la République et la démocratie (URD), le nouveau pouvoir et de la communauté internationale manquent de considération à son égard.
La première étape de l’investiture du nouveau président du Mali, Ibrahim Boubacar Keïta, a eu lieu, mercredi, à Bamako. Une autre cérémonie aura lieu le 19 septembre.
Reconnaître sa défaite à la présidentielle comme l’a fait le Malien Soumaïla Cissé, le 12 août, n’est pas un exercice facile dans les démocraties africaines. Si certains candidats malheureux sur le continent ont souvent provoqué des violences post-électorales, d’autres, rares, sont restés beaux joueurs. Tour d’horizon.
Les résultats du second tour de l’élection présidentielle malienne ont été annoncés par le ministre de l’Administration territoriale, Moussa Sinko Coulibaly, ce jeudi 15 août. Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) l’emporte avec 77,61 % des voix.
Les résultats officiels n’ont pas été proclamés mais Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) va devenir, sans nul doute, le nouveau président du Mali. Son adversaire Soumaïla Cissé a reconnu sa défaite, lundi 12 août, en se rendant dans la soirée au domicile d’IBK.
Les résultats officiels, même provisoires, du second tour de l’élection présidentielle malienne n’ont pas encore été annoncés, mais les deux candidats sont en tous cas d’accord sur le nom du vainqueur. Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) a annoncé sa victoire sur son compte Twitter à 21 heures (heure du Mali), ce que confirmait son rival Soumaïla Cissé trois quarts d’heure plus tard… toujours sur le site de micro-blogging.
Le deuxième tour de l’élection présidentielle malienne s’est déroulé comme prévu dimanche 11 août. L’occasion de passer au crible les axes clés des programmes économiques respectifs des deux candidats, Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) et Soumaïla Cissé.
Ibrahim Boubacar Keïta et Soumaïla Cissé s´affronteront pour le second tour de la présidentielle le 11 août. La Cour constitutionnelle a confirmé, le 7 août, la tenue du second tour et proclamé IBK vainqueur du premier avec 39,7 % des voix, suivi de Cissé avec 19,7 %. D´un côté, un sudiste, cultivé et ombrageux. De l´autre, un nordiste, bosseur et affable. Tout différencie ces deux hommes, pourtant issus du même parti, l’Adema-PASJ.
L’ancien Premier ministre malien et candidat à la présidentielle, Modibo Sidibé, qui avait conclu une alliance avec Soumaïla Cissé prévoyant un ralliement au candidat arrivé en tête au premier tour, a appelé, lundi 4 août, à voter en sa faveur.
Avec près de 20 % des voix, le candidat de l’Union pour la république et la démocratie (URD), Soumaïla Cissé, est arrivé en second position du premier tour de la présidentielle malienne. Même si son adversaire, Ibrahim Boubacar Keïta, dit « IBK », a récolté près du double des voix, celui qui fait figure d’outsider reste confiant. Entretien.
Un second tour à l’issue incertaine opposera, dans l’élection présidentielle au Mali, Ibrahim Boubacar Keïta, un cacique de la vie politique, et Soumaïla Cissé, un économiste, qui a dénoncé des fraudes.
Le deuxième tour de l’élection présidentielle malienne opposera, le dimanche 11 août, Ibrahim Boubacar Keïta à Soumaïla Cissé. Qui sera élu président de la République ? Jeune Afrique dresse les points forts et points faibles des deux candidats.
Les autorités maliennes ont annoncé vendredi 2 août qu’Ibrahim Boubakar Keïta (IBK) était arrivé en tête du premier tour de l’élection présidentielle avec 39,24% des voix, suivi de Soumaïla Cissé, second avec 19,44%. Un second tour opposant les deux hommes aura donc lieu, le 11 août prochain.
L’Union pour la République et la démocratie (URD) de Soumaïla Cissé a fait état, mercredi 31 juillet, d’un « bourrage des urnes » lors du premier tour de l’élection présidentielle malienne, et se réserve le droit de « déposer des recours à la Cour constitutionnelle ». D’après les résultats provisoires annoncés mardi, Ibrahim Boubacar Keïta bénéficie d' »une large avance » sur les 26 autres candidats après le dépouillement d’un tiers des bulletins de vote. Il est suivi par Soumaïla Cissé et Dramane Dembélé.
Avec un tiers de bulletins dépouillés, les résultats provisoires communiqués mardi 30 juillet par le ministre de l’Administration territoriale donnent à Ibrahim Boubacar Keïta, dit « IBK », une « large avance sur ses concurrents ». Une annonce prématurée pour le camp de Soumaïla Cissé qui évoque un taux de dépouillement de « 12% ».
Après Ibrahim Boubacar Keïta, Soumaïla Cissé, autre favori de l’élection présidentielle malienne, s’est rendu à Kidal, mercredi 24 juillet. Dans le bastion de la communauté touarègue, l’ancien ministre des Finances a asséné que le Mali était « un et indivisible ».
Malgré les critiques, la présidentielle malienne reste fixée au 28 juillet. Et cette fois, le candidat de l’Union pour la République et la démocratie (URD), qui avait échoué au second tour en 2002, entend bien l’emporter. Questions à Soumaïla Cissé, un homme en campagne.
À un mois du scrutin présidentiel au Mali, les candidats déclarés se déploient petit à petit sur les réseaux sociaux. Si Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) est le plus suivi sur Twitter, c’est son adversaire Soumaïla Cissé qui l’emporte largement sur Facebook. Mais la bataille électorale 2.0 ne fait que commencer…
Presque au moment où ATT s’envolait pour Dakar, les 22 personnalités civiles et militaires arrêtées en début de semaine ont été libérées par l’ex-junte malienne. Parmi elles, Soumaïla Cissé et le général Waly Sissoko souffrent de problèmes de santé.
Alors que les discussions entre la rébellion touarègue et les autorités maliennes de transition sont engagées, plusieurs responsables politiques et militaires – parmi lesquels Modibo Sidibé et Soumaïla Cissé – ont été arrêtés dans la nuit de lundi à mardi et dans la matinée suivante par des hommes armés, qui n’ont pas expliqué les raisons de leur action.
Les deux leaders politiques maliens Ibrahim Boubacar Keïta (RPM) et Soumaïla Cissé (URD) ont rencontré séparément Amadou Haya Sanogo, le leader de la junte qui a renversé le président Amadou Toumani Touré. Voici ce qu’ils assurent avoir dit au capitaine putschiste.
Au Mali, ils seront nombreux à se disputer la succession du chef de l’État, le 29 avril 2012. Parmi les favoris, Soumaïla Cissé, l’ex-patron de l’UEMOA, convaincu que cette nouvelle tentative sera la bonne.
Soumaïla Cissé est le fondateur de l’Union pour la République et la démocratie (URD) et fait partie des candidats favoris pour succéder au président du Mali, Amadou Toumani Touré.