Au pouvoir de la Guinée Équatoriale depuis 1979, il est né à Mongomo, dans l’est du pays. En 1963, il débute une carrière militaire jusqu’à devenir vice-ministre des Forces armées populaires seize ans plus tard. Après son accession au pouvoir, il fonde le Parti démocratique de Guinée équatoriale en 1987. Il a obtenu une maîtrise de droit puis un Diplôme de docteur Honoris Causa à l’Université de Guinée équatoriale.
Du liquide et des montres de luxe, pour une valeur totale d’environ 16 millions de dollars, ont été saisis à l’aéroport brésilien de Viracopos, dans les bagages d’une délégation accompagnant le vice-président de Guinée équatoriale.
Le PDG de la Satram, Mustapha Aziz est au cœur d’un imbroglio judiciaire mêlant héritage, abus de faiblesse et conflits familiaux. Mais qui est vraiment ce septuagénaire dont l’ombre continue de planer sur nombre de palais présidentiels du continent ? Portrait exclusif.
Engagé dans un bras de fer diplomatique avec Donald Trump, Recep Tayyip Erdogan joue la carte de l’ouverture. Son parti, l’AKP, a invité plus de 400 personnalités étrangères à son congrès, le 18 août à Ankara. Alpha Condé, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo et Mohamed Farmajo y sont notamment attendus.
Patrice Talon a reporté sa réforme à après les législatives de 2019, Obiang Nguema s’est retiré à Mongomo pour célébrer l’anniversaire du coup d’État qu’il perpétra en 1979 contre son oncle… Chaque semaine, Jeune Afrique vous dévoile les coulisses du pouvoir. Plongée dans les secrets des chefs d’État et de leur premier cercle.
Et si cette fois, c’était la bonne ? Le président équato-guinéen Obiang Nguema dit vouloir libérer les prisonniers politiques et dialoguer avec l’opposition. Échaudés, ses détracteurs doutent de sa sincérité.
François Lounceny Fall reçu par le président équato-guinéen, la veuve de Thomas Sankara rencontre Roch Marc Christian Kaboré et le juge François Yaméogo… Chaque semaine, Jeune Afrique vous dévoile les coulisses du pouvoir. Plongée dans les secrets des chefs d’État et de leur premier cercle.
État de santé d’Obiang, absence de Mohammed VI au sommet de l’UA, Idriss Déby Itno tranche un différend entre ses ministres… Chaque semaine, Jeune Afrique vous dévoile les coulisses du pouvoir. Plongée dans les secrets des chefs d’État et de leur premier cercle.
D’après les résultats d’une enquête menée par les ONG Trial International et Human Rights Watch, publiés le 16 mai, l’ex-homme fort de Banjul serait responsable de l’exécution d’une cinquantaine de migrants échoués en Gambie en 2005. Un rapport d’enquête conjoint de la Cedeao et de l’ONU datant de 2008 avait pourtant innocenté le régime de Yahya Jammeh.
Le fils du président équato-guinéen, qui est également vice-président du pays, poursuit un opposant devant la justice française pour un texte publié sur un blog décrivant les conditions de détention d’un homme d’affaires italiens dépossédés de ses biens en Guinée équatoriale.
Deux hommes suspectés d’être impliqués dans le putsch manqué à Malabo ont été placés en garde à vue à Bangui en fin de semaine dernière, selon le ministre de la Justice centrafricain Flavien Mbata.
Le président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema a déploré le « manque » de « solidarité en Afrique » en réponse à une question sur la tentative de « coup d’Etat » que Malabo a affirmé avoir déjoué en janvier, selon les médias d’État samedi.
Baba Hydara, fils du journaliste gambien Deyda Hydara, assassiné en 2004 à Banjul, prend ici la plume pour réclamer à l’Union africaine, à la Cedeao et à la société civile africaine de mettre tout en oeuvre pour que Yahya Jammeh ne profite pas d’une « impunité à vie ».
La France a remis en cause ce lundi l’implication de la Cour internationale de justice (CIJ), saisie par la Guinée équatoriale dans l’affaire des « biens mal acquis », alors que s’y ouvre cette semaine de nouvelles audiences publiques.
Le procureur de la République de Guinée équatoriale a requis la peine de mort contre 147 militants du parti Citoyens pour l’Innovation (CI), selon leur avocat. Ils sont accusés de « sédition » et d’« attentats contre l’autorité ».
Un mois après avoir déjoué un coup d’État, fin décembre 2017, le président équato-guinéen a remanié son gouvernement et resserré les rangs avec l’arrivée de quelques personnalités réputées très proches de lui.
Le président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema Mbasogo a indiqué que son pays n’extraderait pas l’ex-président gambien. Sur ce point, il dit être en accord avec l’Union africaine (UA).
La Guinée équatoriale « protégera » l’ancien président gambien Yahya Jammeh, qui a trouvé exil il y a un an dans ce pays après avoir dû quitter le pouvoir en Gambie, a déclaré le président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema, assurant « être en accord » sur ce point avec l’Union africaine (UA).
Les initiatives diplomatiques se multiplient, après la tentative de putsch que les autorités équato-guinéenne affirment avoir déjouée, fin décembre. Yaoundé joue le rôle d’intermédiaire entre Malabo et Bangui.
Qui sont les commanditaires présumés du coup d’État déjoué fin décembre ? Portrait des principales personnalités désignées par les autorités équato-guinéennes.
Le ministre équato-guinéen des Affaires étrangères, Agapito Mba Mokuy, a affirmé que le putsch déjoué le mois dernier, en décembre 2017 par Malabo, a été organisé en France. Il insiste cependant sur le fait que, selon lui, le gouvernement français n’a « rien à voir avec ça ».
Alors que les autorités équato-guinéennes ont annoncé fin décembre avoir déjoué une tentative de coup d’État, l’envoyé spécial de l’ONU affirme que les Nations-Unies appuieront les autorités dans ses « efforts de stabilisation ». L’opposition se dit déçue de ne pas avoir rencontré l’émissaire des Nations Unies.
Des affrontements ont eu lieu opposant les forces de sécurité équato-guinéennes à des « mercenaires » près des frontières de la Guinée équatoriale avec le Cameroun et le Gabon. des combats qui sont intervenus peu après que Malabo a affirmé avoir déjoué un « coup d’État » fin décembre.
Un putsch a été déjoué en Guinée équatoriale dans la nuit du 27 au 28 décembre, indique une source proche du régime. Une partie du commando aurait été arrêtée au Cameroun. D’autres membres sont toujours en fuite.
La Cour constitutionnelle a validé mardi les résultats des élections législatives, sénatoriales et municipales du 12 novembre, remportées à 92% par le parti présidentiel et sa coalition. L’opposition évoque une « honte électorale ».
Le parti démocratique de Guinée équatoriale (PDGE), au pouvoir depuis près de quarante ans, a remporté une nouvelle fois, sans surprise et avec des scores à la soviétique, les élections législatives, sénatoriales et municipales du 12 novembre, selon les résultats officiels rendus publics vendredi soir.
Gabriel Nse Obiang, un leader de l’opposition, a appelé le président Teodoro Obiang Nguema au « dialogue », à la veille d’élections législatives, sénatoriales et municipales en Guinée équatoriale.
Alors que le verdict du procès des « biens mal acquis », qui vise Teodoro Nguema Obiang Mangue – dit Teodorín -, le vice-président de la Guinée équatoriale, devrait être rendu le 27 octobre à Paris, la diplomatie équato-guinéenne s’active en coulisses.