Au pouvoir de la Guinée Équatoriale depuis 1979, il est né à Mongomo, dans l’est du pays. En 1963, il débute une carrière militaire jusqu’à devenir vice-ministre des Forces armées populaires seize ans plus tard. Après son accession au pouvoir, il fonde le Parti démocratique de Guinée équatoriale en 1987. Il a obtenu une maîtrise de droit puis un Diplôme de docteur Honoris Causa à l’Université de Guinée équatoriale.
Alors que le verdict du procès des « biens mal acquis », qui vise Teodoro Nguema Obiang Mangue – dit Teodorín -, le vice-président de la Guinée équatoriale, devrait être rendu le 27 octobre à Paris, la diplomatie équato-guinéenne s’active en coulisses.
Les 19 et 20 octobre, des ONG gambiennes et internationales de défense des droits humains se réuniront à Banjul pour se pencher sur les crimes commis sous le régime de Yahya Jammeh entre 1994 et 2017.
Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des check-up réguliers. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les chefs d’État africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Et s’ils sont vraiment malades, ils ne l’avouent qu’en dernier recours. Jeune Afrique a passé en revue l’état de santé de dix-huit dirigeants du continent.
Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des visites médicales régulières. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les présidents africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Jeune Afrique vous propose un check up continental de ceux qui nous gouvernent.
Avec la retraite programmée de José Eduardo dos Santos, arrivé au pouvoir comme lui en 1979, le président équato-guinéen reste seul au sommet du podium des chefs d’État africains ayant passé le plus d’années au pouvoir.
Philanthrope, homme d’affaires, lobbyiste… George Soros, milliardaire américain, admiré par certains, vilipendé par d’autres, est omniprésent sur le continent. Qui est vraiment l’homme qui a tissé l’un des réseaux les plus puissants de la planète ?
Le procès des biens-mal-acquis se poursuivait jeudi à la 32e chambre correctionnelle du tribunal de Paris. Alors que le procureur a requis trois ans de prison et 30 millions d’euros d’amende contre Teodoro Nguema Obiang Mangue, la défense jouait ses dernières cartes avant le jugement, que le tribunal prononcera le 27 octobre. Récit.
Il était le témoin le plus attendu au procès des « biens mal acquis », à Paris. Des diamants sierra-léonais au pétrole angolais, des geôles zimbabwéennes à la prison de Black Beach, l’ex-mercenaire dévoile en exclusivité pour Jeune Afrique son parcours interlope.
Le procès des «biens mal acquis» devrait livrer son verdict le 6 juillet prochain, sauf retournement de situation ou mise en délibéré. L’aboutissement de dix ans de procédures que Jeune Afrique se propose de vous résumer en une infographie.
Les poursuites annoncées à la suite d’un incident d’audience par William Bourdon, avocat de Transparency International, partie civile au procès du vice-président de Guinée équatoriale dans l’affaire des « biens mal acquis », procèdent d’une « gesticulation médiatique », a dénoncé dimanche le conseil de Teodorin Obiang.
Le procès des « biens mal-acquis », dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit « Teodorín », est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait jeudi. Au programme : l’examen d’une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), qui a donné lieu à des passes d’armes entre juristes chevronnés.
Le procès des « biens mal-acquis », dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit « Teodorín », est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait mercredi. Et il a été question, entre autres, de « sentiments ».
Le procès dit des biens mal acquis, dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit « Teodorín », est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait lundi, avec l’audition, tant attendue, des témoins. Récit.
À quelques jours de l’ouverture du procès des Biens mal acquis à Paris, Human Rights Watch (HRW) a publié jeudi un rapport à charge sur les budgets alloués par Malabo à la santé et à l’éducation. Pour l’ONG, affairisme et gaspillages guident les choix gouvernementaux. Ce dont se défendent les autorités équato-guinéennes.
Confrontée à l’effondrement des cours du pétrole, la Guinée équatoriale doit se réinventer pour sortir d’une économie presque entièrement dépendante de l’or noir, qui représente 90 % de ses revenus.
Le ministre saoudien de l’énergie Khaled al-Faleh a indiqué jeudi que la Guinée équatoriale, qui vient de rejoindre officiellement l’Organisation des pays exportateurs de pétrole ce jeudi 25 mai, après en avoir fait la demande en janvier, allait participer aux baisses de production décidées en novembre 2016 pour redresser les cours internationaux. Celles-ci, qui étaient initialement prévues jusqu’au 30 juin 2017, sont prolongées jusqu’en mars 2018.
On n’avait plus entendu parler de lui depuis son départ de la présidence béninoise, où lui a succédé il y a un peu plus d’un an l’homme d’affaires Patrice Talon. Thomas Boni Yayi a-t-il entamé sa reconversion ?
Jeudi 11 mai, Gabriel Nse Obiang Obono, un leader de l’opposition en Guinée équatoriale, a été condamné à six mois de prison pour « injures graves » envers le parti du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Ce dernier est au pouvoir depuis 37 ans.
Le Maroc et ses alliés arabes ont boycotté les travaux de ce sommet qui se tient ce mercredi, pour protester contre la présence d’une délégation sahraouie. Le Koweït et l’Égypte, en revanche, ne les ont pas suivis.
Exaspéré par les affaires qui se succèdent (immobilisation d’un avion à Lyon et auditions à La Haye en octobre, ouverture d’une information judiciaire et saisie de véhicules à Genève en novembre…), Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, le président équato-guinéen, hésite à se rendre au sommet de l’OIF (à Madagascar, les 26 et 27 novembre) et au sommet Afrique-France (à Bamako, en janvier).
Dans un communiqué conjointement signé avec les Nations Unies, le Gabon et la Guinée équatoriale ont annoncé ce mardi avoir trouvé un « compromis visant à soumettre à la Cour internationale de justice le différend frontalier entre les deux pays ».
Déjà visé par une enquête aux États-Unis et en France, le fils du président de la République de Guinée équatoriale fait désormais également l’objet d’une procédure en Suisse pour blanchiment d’argent.
La Guinée équatoriale réclame auprès de la Cour Internationale de Justice (CIJ) la suspension des poursuites engagées contre Téodorin Obiang par la justice française, dans le cadre de l’affaire des « biens mal acquis ». Si elle venait à avoir gain de cause après les audiences publiques ouvertes ce lundi, le vice-président pourrait échapper aux sanctions judiciaires qui le menacent.
Après avoir dû accepter de régler un vieux contentieux opposant Malabo à l’opérateur français Orange, le chef de l’État équato-guinéen a finalement renoncé à assister à la remise du « Prix International UNESCO-Guinée équatoriale pour la recherche en sciences de la vie », abondamment critiquée et prévue aujourd’hui, lundi 10 octobre, à 18h30 au siège de l’Unesco à Paris.
Au pouvoir depuis près de quarante ans, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo a remporté la présidentielle d’avril sans difficulté. Et promet d’en rester là après ce mandat.
Le président équato-guinéen a promu son fils premier vice-président de la République chargé de la défense et de la sécurité, selon un décret officiel lu le 22 juin sur la chaîne de télévision d’État.
Invité à assister aux cérémonies d’investiture de Téodoro Obiang Nguema, Jean-Marie Le Pen a également été reçu en audience dimanche par président équato-guinéen.
Depuis le 24 avril, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, tombeur en 1979 de Francisco Macias Nguema, est reparti pour un mandat de sept ans, qui s’ajouteront à ses trente-sept années déjà passées à la tête de la Guinée équatoriale.
Le président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, au pouvoir depuis 1979, a été réélu avec 93,7% des suffrages à l’élection présidentielle du 24 avril, selon des résultats provisoires publiés jeudi 28 avril par la Commission électorale de Guinée équatoriale.
Les Équato-Guinéens votaient dans le calme dimanche pour une présidentielle qui devrait voir la réélection sans coup férir du chef de l’Etat Teodoro Obiang Nguema, au pouvoir depuis 1979, face à six candidats se réclamant d’une opposition muselée par le régime.