La Bourse britannique s’est imposée comme une place de choix pour les entreprises du continent. Une position que le Royaume-Uni entend conserver, en dépit du Brexit.
En cas d’un Brexit dur, et sans période de transition, sans accord commercial UE - Royaume-Uni et sans plan de circonstance, les pays africains perdraient soudainement leur accès préférentiel au marché britannique, explique Emmanuel De Groof de l’European Centre for Development Policy Management.
Lors de sa deuxième étape africaine au Nigeria, la Première ministre britannique a signé plusieurs accords bilatéraux concernant la lutte contre l’immigration illégale, la sécurité et notamment contre le groupe jihadiste Boko Haram. Theresa May a également signé un accord commercial, pour compenser les pertes économiques attendues du Brexit.
En Afrique du Sud, première étape de sa tournée africaine, la Première ministre britannique Theresa May a annoncé sa volonté que les entreprises britanniques puissent « faire des affaires de façon libre et équitable » avec « des économies africaines fortes ».
Une simple publication Facebook de l’ambassade britannique en Algérie a agacé des internautes algériens. Prétendant mettre fin à une « incompréhension », elle a en fait révélé une forme de condescendance.
Le Brexit divise aussi du côté africain. Les avis divergent sur les conséquences et les raisons du divorce anglo-européen. L’écrivaine et universitaire Véronique Tadjo fait le point.
Les réactions internationales n’ont pas tardé à tomber suite à l’annonce, mardi, par le président du Parlement zimbabwéen de la démission de Robert Mugabe, marquant la fin de 37 ans de pouvoir.
Examinons, si vous le voulez bien, le cas singulier de ce pays africain que nous ne désignerons que par ses initiales pour ne désobliger personne. Or donc le R.U., puisque c’est de lui qu’il s’agit, avait à sa tête un dirigeant, T.M., dont le moins qu’on puisse dire est qu’il ne manquait pas de culot. Le mot « opportuniste » fut, paraît-il, spécialement inventé pour lui.
Depuis que ses concitoyens ont approuvé par référendum la sortie de son pays de l’Union européenne, il y a un an, rien ne va plus pour Theresa May. À Londres comme à Bruxelles, tout ce qu’elle entreprend se retourne contre elle.
Quatre personnes, dont l’assaillant abattu par les forces de l’ordre, ont été tuées au cours d’une attaque mercredi devant le parlement britannique, à Londres, qualifiée de terroriste par la police. Une quarantaine de personnes ont également été blessées.