Thomas Sankara

Thomas Sankara est homme politique burkinabé, chef du Mouvement des non-alignés. Il est né le 21 décembre 1949, à Yoko en Haute-Volta, qui deviendra sous son gouvernement le Burkina Faso. Après une formation militaire, il entre pour la première fois au gouvernement en septembre 1981, en tant que secrétaire d’État à l’Information, poste qu’il n’a occupé que jusqu’au 21 avril 1982, jour de sa démission. Il dirige par la suite la révolution burkinabé du 4 août 1983, jusqu’à son assassinat le 15 octobre 1987, lors d’un coup d’État qui amène Blaise Compaoré au pouvoir.

Thomas Sankara, lors de l’Assemblée générale de l’ONU, en le 4 octobre 1984. © Archives

Le 4 octobre 1984, Thomas Sankara prononçait son discours historique à l’ONU

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Sankara Un Rêve-Brisé (couverture)© L’Harmattan BD © La couverture de la bande dessinée « Sankara Un rêve brisé ».

Thomas Sankara, une vie hors des cases

Le capitaine Thomas Sankara devient président du Conseil national de la révolution, en Haute-Volta, le 4 août 1983. © Information Haute Volta / Archives JA

4 août 1983 : le jour où Thomas Sankara a fait sa révolution

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Ousmane Sonko, le leader de l’opposition sénégalaise, soutenu par ses partisans, à Dakar, le 14 mars 2023. © ZOHRA BENSEMRA/REUTERS

Le Sénégal, entre populisme et État de droit

Mouammar Kadhafi assistant à une parade militaire lors de la célébration du 18e anniversaire de la révolution, à Tripoli, le 1er septembre 1987. © LEHR/SIPA

« Kadhafi et moi », par Jean-Louis Gouraud

Les cercueils de Thomas Sankara et de ses compagnons ont été recouverts du drapeau burkinabè avant d’être inhumés. Ouagadougou, le 23 février 2023. © OLYMPIA DE MAISMONT / AFP

Au Burkina Faso, Thomas Sankara inhumé sur le lieu de son assassinat

 © Damien Glez

Thomas Sankara, héros national sans sépulture fixe

Aisha, une Nigériane qui a confié à l’agence Reuters avoir été kidnappée par des jihadistes, puis contrainte par des militaires à avorter. Ici le 9 octobre 2022. © Christophe Van Der Perre/REUTERS

Militaires au pouvoir au Sahel, du treillis au gâchis