Financement du parti, remobilisation des cadres et des militants, programme pour la présidentielle de 2025, organisation des obsèques de Bédié… Pour le nouveau patron du premier parti d’opposition, les défis sont nombreux.
L’ex-banquier franco-ivoirien a franchi le pas et s’est officiellement lancé en politique. Le 22 décembre, il a été élu président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), fondé par son grand-oncle Félix Houphouët-Boigny. Jusqu’où ira-t-il ?
L’ex-banquier succède à Henri Konan Bédié à la tête du Parti démocratique de Côte d’Ivoire. Il a été élu lors d’un congrès extraordinaire, le 22 décembre, à Yamoussoukro.
En Côte d’Ivoire, la succession d’Henri Konan Bédié suscite de nombreux désaccords au sein du premier parti d’opposition. Kouamé Kouassi Patrice a tenté une médiation, mais celle-ci ne s’est pas déroulée comme prévu. Coulisses.
Deux militants du Parti démocratique de Côte d’Ivoire demandaient la suspension du congrès devant désigner son nouveau président, prévu ce 16 décembre à Abidjan.
Ce samedi, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire tient à Abidjan son huitième congrès extraordinaire qui devrait propulser vers la présidentielle le successeur de l’ancien chef d’État.
Plusieurs candidats se sont retirés de la course à la présidence du parti démocratique de Côte d’Ivoire, avec en toile de fond la présidentielle de 2025.
Après les locales du 2 septembre, l’ancien parti unique est en net recul à travers la Côte d’Ivoire par rapport aux scrutins de 2018. Mais ses maires abidjanais, eux, ont réussi à conserver leurs sièges malgré l’hégémonie du RHDP.
L’action de la société spécialisée dans le solaire a perdu près de 90 % de sa valeur à la Bourse de New York. Une douche froide pour ses promoteurs, qui demeurent néanmoins confiants et tablent sur les bénéfices de long terme.
L’ex-banquier franco-ivoirien au parcours prestigieux, qui vit à l’étranger depuis une vingtaine d’années, brigue la présidence du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) avec, dans son viseur, la présidentielle de 2025.
Noël Akossi Bendjo, Maurice Kakou Guikahué, Tidjane Thiam, Jean-Marc Yacé… Plusieurs candidats brigueront la présidence du Parti démocratique de Côte d’Ivoire lors du congrès électif qui se tiendra le 16 décembre à Abidjan.
Tidjane Thiam a proposé au nouveau pouvoir de l’aider à se financer à l’international. Mais son projet se heurte à celui du banquier gabonais, adepte d’un financement issu d’acteurs nationaux, voire sous-régionaux. Explications.
Arrivé à Libreville le 1er octobre, le financier franco-ivoirien a été reçu par le président de la transition, avant de s’entretenir avec une demi-douzaine de membres du gouvernement.
Après la mort de l’ancien président ivoirien, qui a dirigé le PDCI d’une main de fer pendant près de trente ans, l’heure est à l’union. La bataille pour la succession sera pourtant inévitable.
Selon Tidjane Thiam, Rémy Rioux et Makhtar Diop, le développement économique de l’Afrique devrait être grandement stimulé par des investissements massifs dans l’industrie du sport, écosystème porteur de nombreuses opportunités, sur un continent qui ne veut plus se contenter de la charité internationale.
Visé par une action collective aux États-Unis, l’ancien dirigeant de Credit Suisse attend la cotation de Complete Solaria, la société née de sa Spac lancée en 2021, dans les tous prochains jours.
Cette conférence sur l’aide au développement visant à sceller un nouveau pacte financier mondial en faveur des pays vulnérables doit se tenir dans la capitale française, du 22 au 23 juin. Depuis plusieurs semaines, différentes personnalités travaillent à sa préparation.
L’homme d’affaires est, déjà, candidat déclaré à la présidentielle de 2025. Ce qui en agace plus d’un au PDCI, dont un congrès extraordinaire s’ouvre ce jeudi à Abidjan.
Croissance, industrialisation, inflation, monopole de Bolloré, Henri Konan Bédié, retour des soldats ivoiriens du Mali, Cedeao… Le patron de Sifca, ancien ministre du Commerce devenu opposant à Alassane Ouattara, cultive son image de présidentiable pour l’élection de 2025.
Pour la deuxième fois en six mois, le banquier s’est rendu dans son pays natal. Il s’est inscrit sur les listes électorales et y a rencontré des mouvements de soutien, entretenant le suspense en vue de la prochaine présidentielle.
Interrogé par nos confrères du Financial Times, l’ancien banquier franco-ivoirien a défendu son bilan (2015-2020) au sein de la banque helvète, dont le cours de l’action a atteint son plus bas depuis trente ans.
En août dernier, le retour au pays du banquier franco-ivoirien après plus de deux décennies avait été très suivi. Certains le poussent maintenant à se lancer dans la course à la présidentielle de 2025.
Putsch au Burkina Faso, sanctions de la Cedeao, relation Afrique-France, annulation de dettes… Fondateur de l’agence de notation Bloomfield Investment Corporation, l’entrepreneur ivoirien est le Grand invité de l’économie RFI/Jeune Afrique. Il livre sa vision d’un continent plus indépendant, autosuffisant et démocratique.
À travers l’annonce d’une double transaction, le Franco-Ivoirien est sur le point de boucler son incursion dans le milieu délicat du financement « exotique ». Explications.
Initialement prévu le 30 juillet dernier, le retour du banquier franco-ivoirien en Côte d’Ivoire s’est finalement effectué le 8 août. Après avoir été reçu par Alassane Ouattara dès son arrivée, il devait s’entretenir ce mardi avec Henri Konan Bédié à Daoukro.
Après plus de vingt ans loin de son pays, le banquier franco-ivoirien avait annoncé qu’il rentrerait ce samedi 30 juillet à Yamoussoukro, avant de changer d’avis à la dernière minute. Jeune Afrique vous révèle les coulisses de cette décision.
Le banquier franco-ivoirien était attendu ce samedi 30 juillet à Yamoussoukro, après plus de vingt ans d’exil volontaire. Mais à la dernière minute, il a reporté sa venue.
Dette, PME, agriculture… Retour sur cinq idées développées par le financier franco-ivoirien lors d’une conférence le 6 juillet, pour aider l’Afrique à repartir sur les chemins de la croissance.