Enfance studieuse, carrière prestigieuse et influence allant au-delà des frontières de leur pays… Les discrets petits-neveux de l’ancien chef de l’État, Félix Houphouët-Boigny, se racontent comme jamais ils ne l’avaient fait.
L’entreprise de séquençage du génome humain HLI (Human Longevity Inc.) prévoit de s’introduire en bourse via une fusion avec Freedom Acquisition I Corp, lancée par le financier franco-ivoirien. La société combinée serait ainsi valorisée à près de 1 milliard de dollars.
Près de dix-huit mois après avoir lancé, à New York, un véhicule d’investissement spécialisé (SPAC), le financier franco-ivoirien entre dans un contre-la-montre pour voir le projet se concrétiser. Jeune Afrique fait le point.
Après avoir reçu le feu vert du chef de l’État, le banquier franco-ivoirien s’est rendu à l’ambassade de Côte d’Ivoire à Paris afin de lancer les procédures pour l’obtention de son passeport. Explications.
L’ACTU VUE PAR. Chaque samedi, Jeune Afrique invite une personnalité à décrypter des sujets d’actualité. Grand invité de l’économie RFI/Jeune Afrique, l’investisseur ivoiro-français livre son analyse aussi économique que politique.
Le 18 mai, Emmanuel Macron organise à Paris un sommet sur le financement des économies africaines, mises à mal par la crise sanitaire. Quel dirigeants y assisteront, et quelles seront les questions abordées ?
Des investisseurs solides et une offre largement plébiscitée : au-delà des 345 millions de dollars récoltés, JA dévoile les premiers pas du véhicule lancé par le financier franco-ivoirien.
La nouvelle société d’investissement du financier franco-ivoirien a levé 300 millions de dollars lors de sa première introduction à la Bourse de New York.
Alléger, voire annuler la dette, comme le prône le président sénégalais, ou flécher les capitaux vers les entreprises du continent, solution privilégiée par l’ancien patron franco-ivoirien de Credit Suisse ? Le débat sur la relance est ouvert.
Dénommé Freedom Acquisition I Corp., le véhicule d’investissements qui entame son introduction à New York, n’exclut pas des opérations dans « certains pays d’Afrique »…
Ce « véhicule d’acquisition » devrait récolter des ressources auprès des investisseurs pour des opérations dans le secteur financier sur les marchés développés et dans les pays émergents.
L’ancien patron franco-ivoirien de Credit Suisse intègre le Conseil pour un capitalisme inclusif, initié par le pape François, qui réunit une vingtaine de dirigeants mondiaux d’entreprises.
L’ex-patron de Credit Suisse vient d’être nommé président du conseil d’administration du Rwanda Finance Limited, l’agence gouvernementale chargée du développement et de la promotion du Kigali International Financial Centre (KIFC).
Tidjane Thiam a-t-il dû quitter la tête du groupe bancaire parce qu’il n’était « pas assez suisse » ? Une enquête du « New York Times » révèle les préjugés racistes auxquelles l’ex-patron du Credit Suisse a fait face.
Cité par la presse française comme possible entrant dans le gouvernement français remanié, Tidjane Thiam n’est pas ministre, mais il a bien été approché par le chef de l’État, Emmanuel Macron.
Alors que les conséquences de la pandémie de coronavirus frappent durement l’économie mondiale, les pays africains craignent désormais la récession. Faut-il effacer leur ardoise ? Certains le souhaitent, d’autres redoutent que cela ne nuise à leur image et à leur accès aux marchés.
Grâce à leurs carnets d’adresses inégalés et leurs expériences, Ngozi Okonjo-Iweala, Donald Kaberuka, Tidjane Thiam et Trevor Manuel ont pour mission de mobiliser le soutien économique international sur le continent dans la réponse africaine à la crise sanitaire.
Il est dans l’intérêt de tous que l’Afrique batte le Covid-19, estiment Tidjane Thiam, ex-directeur général de Credit Suisse, et Jamie Drummond, co-fondateur de ONE.org, qui appellent à un moratoire sur la dette et un renforcement de l’aide.
L’ex-directeur général du deuxième groupe bancaire du pays perd près de 1,7 million de francs suisses (1,6 million d’euros) par rapport l’année précédente, au titre de sa rémunération variable à court terme, en raison des « affaires de surveillance » de Credit Suisse.
Autrefois pressenti comme Premier ministre, Tidjane Thiam, n’a plus foulé le sol de son pays natal depuis 1999. Après son départ de Credit Suisse, a-t-il un avenir en Côte d’Ivoire ?
Après son départ pour le concurrent UBS, l’ex-star de la gestion de fortune chez Credit Suisse, Iqbal Khan, a été placé sous « surveillance », une opération rocambolesque qui a tout déclenché.
Repéré et promu dès 2015 par Tidjane Thiam, bombardé à la tête de la nouvelle division internationale chargée des opérations de gestion de fortune, le Suisse d’origine pakistanaise Iqbal Khan est devenu, au fil des derniers mois, grâce à ses résultats, le dauphin potentiel du directeur général de Credit Suisse (CS). Ainsi que son voisin direct depuis quelques semaines…
Architecte du spectaculaire redressement de l’établissement helvétique, l’as de la finance a pourtant été poussé à la démission à la suite, entre autres, d’une rocambolesque affaire d’espionnage. Un nouveau chapitre s’ouvre pour le Franco-Ivoirien.
À la veille de céder son siège à la tête de Credit Suisse, le directeur général franco-ivoirien a présenté des résultats records. L’aboutissement d’un programme de redressement de la banque zurichoise entamé il y a cinq ans.