Président du Kenya depuis 2013, il est né en 1961 à Nairobi, la capitale. Il poursuit des études de sciences politiques et d’économie au Amherst College, aux États-Unis. Avant de diriger le ministère des Collectivités territoriales, il est élu membre du Parlement en 2001. Vice-premier ministre depuis 2008, il gère ensuite le portefeuille des finances jusqu’en 2012.
Qui du vétéran Raila Odinga ou du vice-président sortant William Ruto sera le prochain président ? Pendant que le décompte se poursuit, les Kényans attendent fébrilement les résultats des élections qui se sont tenues la veille dans le calme.
À l’heure où les Kényans se rendent aux urnes pour élire leur nouveau président, Jeune Afrique fait le point sur la situation économique dont héritera le futur chef de l’État.
À la veille du premier tour de l’élection présidentielle kényane, le duel qui se dessine entre l’ex-opposant Raila Odinga et le vice-président William Ruto paraît plus incertain que jamais.
Le 9 août, l’ancien Premier ministre briguera la magistrature suprême pour la cinquième fois. Il a le soutien du président sortant mais devra battre le vice-président, William Ruto, dans ce qui s’annonce comme une bataille d’égos.
Les grandes fêtes d’anniversaire du fils aîné de Yoweri Museveni ont révélé ses connexions. Parmi les organisateurs et les invités figuraient les proches et les fidèles du commandant des forces terrestres, qui rêve déjà d’être candidat en 2026.
Bisbilles au cabinet présidentiel, divergences stratégiques avec Kenyatta, Museveni et Kagame… Le chef de l’État congolais, qui doit organiser une deuxième rencontre avec les mouvements rebelles, fait face à de nombreux obstacles.
Soutenu par Uhuru Kenyatta, l’ancien Premier ministre s’est entouré de poids lourds pour briguer la magistrature suprême lors du scrutin d’août. Et réussir à battre le puissant vice-président William Ruto.
Depuis que le chef de l’État l’a trahi, le vice-président, William Ruto, ne retient plus ses coups contre son adversaire dans la course à la magistrature suprême, Raila Odinga. Retour sur un duel sans merci.
En marge de la signature du traité d’adhésion de la RDC à l’EAC, Félix Tshisekedi, Paul Kagame, Yoweri Museveni et Uhuru Kenyatta se sont discrètement retrouvés.
C’est l’aboutissement d’un processus lancé il y a trois ans par le président congolais : la RDC rejoindra officiellement la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) le 29 mars. Mais pour que l’intégration soit un succès, le plus dur reste à faire.
La prochaine conférence internationale du Fonds Mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme aura lieu aux États-Unis, au deuxième semestre 2022. La crise du Covid-19 a relancé les espoirs d’éradiquer ces maladies infectieuses sur le continent africain.
À six mois de la présidentielle, Uhuru Kenyatta et son parti ont rejoint samedi la coalition de l’opposant Raila Odinga, désormais proche du pouvoir. Le vice-président William Ruto, mis à l’écart, multiplie les meetings.
Alors qu’il s’était d’abord engagé à soutenir son colistier à la présidentielle de 2022, le chef de l’État a finalement choisi de se ranger du côté de son ancien opposant, Raila Odinga. Au risque de réveiller le spectre des violences post-électorales de 2007-2008.
Le président américain Joe Biden, qui organise jeudi et vendredi un sommet virtuel sur le climat, a invité 40 dirigeants, dont cinq africains. Quels ont été les critères de sélection ?
Le 18 mai, Emmanuel Macron organise à Paris un sommet sur le financement des économies africaines, mises à mal par la crise sanitaire. Quel dirigeants y assisteront, et quelles seront les questions abordées ?
En visite officielle de cinq jours en France, le président kényan n’a pas manqué d’encourager les investissements français dans son pays tout en défendant la candidature de sa compatriote Amina Mohamed à la tête de l’OMC.
Le vote de l’Assemblée générale de l’ONU mettra fin, le 17 juin, à la bataille sans merci que se livrent les deux pays pour le fauteuil africain au sein du Conseil de sécurité.
Depuis qu’il a fait don de millions de masques et de matériel médical en mars, le milliardaire Jack Ma, 17e fortune mondiale, selon le magazine américain Forbes (40,9 milliards de dollars), est devenu le visage de l’aide chinoise en Afrique. Mais le patron d’Alibaba n’a pas attendu la pandémie de coronavirus pour s’intéresser au continent.
Le 3 avril, dix présidents africains se sont entretenus en visioconférence, à laquelle s’est joint leur homologue français Emmanuel Macron. Un plan de riposte à la pandémie de Covid-19, dont Jeune Afrique a obtenu en exclusivité les détails, a été évoqué.
Le processus de privatisation enclenché en 2011 s’était enlisé, mais le Kenya souhaite bien transférer ses cinq entreprises sucrières au secteur privé. Une taxe sur le sucre est également en projet.
La première économie d’Afrique de l’Est connaît une croissance rapide, dispose d’une infrastructure financière solide et d’un secteur privé développé. Si tous les voyants semblent être au vert, de nombreuses fragilités subsistent, au premier rang desquelles l’opposition entre le président Kenyatta et le vice-président Ruto.
L’année 2019 a marqué le point médian de la « Vision 2030 ». Lancé en 2008 par le président Mwai Kibaki, ce plan était censé faire du Kenya un pays à revenu intermédiaire élevé.
Depuis deux ans, le torchon brûle entre Djibouti et Nairobi au sujet de ce fauteuil réservé à l’Afrique qui sera réattribué pour les années 2021-2022 à l’occasion d’un vote, en juin 2020, à l’Assemblée générale de l’ONU.
Le parquet kényan a ordonné vendredi l’arrestation pour malversations financières du gouverneur de Nairobi, Mike Sonko, qui devient ainsi la dernière victime de haut rang de la lutte contre la corruption menée par les autorités.
Un peu plus d’un an après l’assassinat du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, qui avait perturbé la précédente édition de la Future Investment Initiative (FII), les participants au troisième « Davos du désert » sont plus nombreux qu’en 2018. Quatre chefs d’État africains sont notamment attendus à Riyad au cours des prochains jours.
Poursuivis pour corruption dans le cadre d’un projet de construction de deux barrages d’une valeur de plusieurs centaines de millions de dollars, le ministre kényan des Finances, Henry Rotich, et son numéro deux ont été libérés en attendant leur procès.
Le ministre kényan des Finances Henry Rotich et plusieurs responsables de son ministère ont été arrêtés lundi pour corruption et fraude en lien avec un projet de construction de deux barrages d’une valeur de plusieurs centaines de millions de dollars.
Le président kényan Uhuru Kenyatta a inauguré vendredi le plus grand parc éolien d’Afrique, 365 éoliennes situées dans une zone semi-désertique du nord du Kenya et qui produisent plus de 15% des besoins en électricité du pays.
Une escroquerie qui a causé un contretemps diplomatique entre le Kenya et les Émirats arabes unis (EAU) vient de déclencher une série d’enquêtes sur le secteur de l’or à Nairobi.