Président du Kenya depuis 2013, il est né en 1961 à Nairobi, la capitale. Il poursuit des études de sciences politiques et d’économie au Amherst College, aux États-Unis. Avant de diriger le ministère des Collectivités territoriales, il est élu membre du Parlement en 2001. Vice-premier ministre depuis 2008, il gère ensuite le portefeuille des finances jusqu’en 2012.
Le président kényan Uhuru Kenyatta a remanié son gouvernement mardi soir en démettant de leurs fonctions cinq ministres impliqués dans des scandales de corruption.
Lundi, lors de la première journée du débat général de la 70e Assemblée générale des Nations unies, quelque onze chefs d’État africains se sont exprimés. Jeune Afrique récapitule les déclarations majeures, qui vont des critiques contre le Conseil de sécurité au rejet des droits des homosexuels.
La menace terroriste de plus en plus présente a forcé les services secrets africains à se moderniser, et à revoir en profondeur leur politique de renseignement. À qui le pouvoir a-t-il confié cette délicate tâche ? Philip Wachira Kameru est à la tête du NIS, l’agence de renseignements kényane.
Chantre de la démocratisation en Afrique subsaharienne, Barack Obama se rend ce dimanche en Éthiopie. Un allié clé de Washington, où le parti au pouvoir règne sans partage.
L’assistant adjoint principal du secrétaire d’État américain, John Kerry, explique les choix des pays visités par Barack Obama pendant sa tournée africaine, du 24 au 27 juillet.
Le président kényan, Uhuru Kenyatta, n’a pas l’intention de discuter des droits des homosexuels avec son homologue américain Barack Obama, attendu le 24 juillet au Kenya.
Le président Kenyatta participait le 1er juin, aux célébrations du 52e anniversaire de l’autonomie du Kenya, mais son cabinet était surtout préoccupé par les dernières attaques perpétrées dans le pays.
Le chef de l’État n’a jamais été aussi confiant : la CPI a renoncé à le poursuivre, et Barack Obama s’apprête à venir lui rendre visite. Courtisé de toutes parts, Kenyatta a l’embarras du choix.
Les militants kenyans anti mariage gay attendent de pied ferme le président américain qui prépare sa première visite officielle dans le pays de son père. L’homophobie n’est-t-elle pas partagée par tout le continent ?
Le Kenya a récemment brandi la menace de combattants européens, susceptibles de rentrer « dans leur pays d’origine afin d’y poursuivre leurs brutales activités ». Y a-t-il beaucoup d’Européens qui rejoignent les rangs des shebab et des autres groupes terroristes africains, à l’image de ceux de l’État islamique ?
Le Kenya a lancé un avertissement aux dirigeants européens : les étrangers venus combattre aux côtés des islamistes somaliens Shebab poseront à terme un problème à l’Europe, s’ils échappent aux forces de sécurité kényanes.
Le président kényan a ordonné jeudi à la Banque centrale de réglementer l’activité du secteur des entreprises de transferts de fonds vers la Somalie, un préalable à la reprise de leurs opérations suspendues depuis l’attaque de l’université de Garissa en avril par les shebab somaliens.
Après l’attaque meurtrière contre l’université de Garissa, il est urgent pour le président kényan de réduire le danger terroriste – au lieu de le minimiser en espérant faire revenir les touristes…
Les juges de la CPI ont donné mercredi une semaine à la procureur Fatou Bensouda pour qu’elle démontre avoir rassemblé des preuves supplémentaires contre le président kényan Uhuru Kenyatta, accusé de crimes contre l’humanité, ou à défaut qu’elle retire ses accusations.
Le gouvernement kényan n’a pas tardé à réagir après l’attaque des Shebab ayant fait 36 morts près de Mandera dans la nuit de lundi à mardi. Le ministre de l’Intérieur a été limogé et le chef de la police a démissionné.
Accusé de crimes contre l’humanité, le président kényan a comparu devant la Cour pénale internationale. En s’y rendant de son plein gré, il a montré sa bonne volonté. Et en a profité pour jouer les victimes.
En acceptant de se présenter mercredi à La Haye, le président kényan, Uhuru Kenyatta, devient le premier chef d’État en exercice à comparaître devant la Cour pénale internationale (CPI). Il s’agit d’une audience « technique » mais « cruciale » qui exige sa présence, selon les juges.
Le président kényan, Uhuru Kenyatta, a indiqué lundi qu’il déferera à la convocation de la Cour pénale internationale (CPI). Durant son séjour à La Haye, ses pouvoirs seront délégués à son vice-président, William Ruto.
Le président kényan a démenti mardi que les islamistes somaliens shebab aient commis les derniers attentats meurtriers près de la côte touristique du pays, accusant plutôt des « réseaux politiques locaux ».
Uhuru Kenyatta, le président kényan, et Hailemariam Desalegn, le Premier ministre éthiopien, sont arrivés jeudi matin au Soudan du Sud pour s’entretenir avec le président Salva Kiir et tenter de faire cesser le conflit qui fait rage depuis dix jours dans ce pays.
Un nouveau blocage dans l’affaire Uhuru Kenyatta devant la Cour pénale internationale (CPI). Fatou Bensouda, la procureure de la CPI, a déclaré lundi que le Kenya refusait de lui fournir certaines informations « liées à des aspects cruciaux » du procès à venir contre le président kényan.
Les États membres de la Cour pénale internationale (CPI) se sont mis d’accord, mercredi, pour revoir certaines procédures de la juridiction. Une démarche qui vise à désamorcer les tensions avec le continent africain concernant le prochain procès d’Uhuru Kenyatta, le président kényan.
Volte-face à la Cour pénale internationale (CPI). Alors qu’elle avait annoncé, le 18 octobre, que le président kényan Uhuru Kenyatta ne serait pas tenu d’assister à l’ensemble de son procès, la CPI est revenu sur sa décision mardi : le chef de l’État devra finalement être présent lors des audiences.
Après avoir perdu la bataille au Conseil de sécurité, les États africains continuent de soutenir le président kényan Uhuru Kenyatta. Ils comptent lui obtenir des aménagements à son procès lors de l’Assemblée des États-parties de la Cour pénale internationale (CPI), qui se tient à La Haye du 20 au 28 novembre.
Prévu le 12 novembre, le procès pour crimes contre l’humanité du président kényan Uhuru Kenyatta devant la Cour pénale internationale (CPI) a été reporté, jeudi, au 5 février 2014.