Président du Kenya depuis 2013, il est né en 1961 à Nairobi, la capitale. Il poursuit des études de sciences politiques et d’économie au Amherst College, aux États-Unis. Avant de diriger le ministère des Collectivités territoriales, il est élu membre du Parlement en 2001. Vice-premier ministre depuis 2008, il gère ensuite le portefeuille des finances jusqu’en 2012.
La Cour pénale internationale (CPI) a autorisé, vendredi, le président kényan Uhuru Kenyatta à ne pas assister à l’ensemble des audiences de son procès. Le chef de l’État doit y être jugé pour crimes contre l’humanité à partir du 12 novembre.
L’Union africaine (UA) a demandé, samedi, l’ajournement des procédures engagées pour crimes contre l’humanité contre les deux têtes de l’exécutif kényan par la Cour pénale internationale (CPI), qualifiée d' »impérialiste » et raciste par le président du Kenya Uhuru Kenyatta.
L’Union africaine (UA) a décidé que le président kényan Uhuru Kenyatta ne devrait pas se rendre devant la Cour pénale internationale (CPI), où son procès doit s’ouvrir le 12 novembre, tant qu’une requête d’ajournement formulée par l’UA n’a pas reçu de réponse, a annoncé samedi le chef de la diplomatie éthiopienne.
Jusque-là aux abois, le président kényan Uhuru Kenyatta s’est forgé une nouvelle stature de commandeur durant la tragédie du Westgate à Nairobi, renforçant sa popularité et même, selon les observateurs, sa position dans son procès pour crimes contre l’humanité.
La demande d’ajournement du procès du président kényan, Uhuru Kenyatta, a été rejetée, mardi, par les juges de la Cour pénale internationale (CPI). Ils estiment que la défense a eu le temps nécessaire pour se préparer.
Le procès pour crimes contre l’humanité du président kényan Uhuru Kenyatta, qui devait s’ouvrir le 9 juillet, a été reporté au 12 novembre, a indiqué ce 20 juin la Cour pénale internationale (CPI).
Le « club » des chefs d’État africains serre-t-il les rangs ? Le Conseil exécutif de l’Union africaine a adopté, jeudi 23 mai, une résolution demandant l’abandon des charges contre les responsables kényans poursuivis par la CPI.
Uhuru Kenyatta, candidat vainqueur de l’élection présidentielle kényane a prêté serment mardi 9 avril. Il réussit son pari de devenir président près de 50 ans après son père et malgré une inculpation pour crimes contre l’humanité de la Cour pénale internationale.
Élu le 4 mars à la tête du pays, Uhuru Kenyatta est un politicien retors et un héritier bien né. Poursuivi par la justice internationale pour crimes contre l’humanité, il a su se poser en victime de l’ingérence des Occidentaux.
Uhuru Kenyatta a été proclamé, le 9 mars, président du Kenya dès le premier tour du scrutin. Loin de lui être défavorable, son inculpation pour crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale (CPI) a augmenté la visibilité de sa campagne et mobilisé ses électeurs.
Uhuru Kenyatta, inculpé de crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale (CPI), a été proclamé, le 9 mars, président du Kenya dès le premier tour. Une victoire aussitôt contestée en justice par son rival Raila Odinga.
Selon les premiers résultats officiels annoncés jeudi matin par la commission électorale, Uhuru Kenyatta arrive largement en tête du scrutin présidentiel. Le camp de son adversaire, Raila Odinga, dénonce des résultats trafiqués et demande l’arrêt du dépouillement en cours. La commission, par la voix de son président, reste sereine.
Au Kenya, l’attente pour connaître le nom du nouveau président devient longue. Les résultats se font toujours attendre et certains perdent patience. La coalition d’Uhuru Kenyatta, en tête des résultats provisoires, dénonce le mode de calcul qui pourrait l’amener à disputer un deuxième tour.
Le Premier ministre kényan Raila Odinga, candidat malheureux à la présidentielle kényane fin 2007, retentera sa chance en mars face au vice-Premier ministre Uhuru Kenyatta, inculpé par la justice internationale pour son rôle présumé dans les violences nées du dernier scrutin.
Le ministre des Finances du Kenya a utilisé Twitter et Facebook pour solliciter l’opinion des citoyens sur l’élaboration du budget national 2011/2012, présenté le 8 juin devant le Parlement. Une initiative qui pourrait faire des émules sur un continent de plus en plus connecté.
La Cour pénale internationale a ordonné au vice-Premier ministre Uhuru Kenyatta ainsi qu’à cinq autres hauts responsables kényans de se présenter à La Haye début avril. Ils sont soupçonnés d’avoir joué un rôle dans les violences postélectorales de fin 2007-début 2008.
Déjà accusé d’acharnement sur les Africains, le procureur de la Cour pénale internationale, Luis Moreno-Ocampo, risque de subir une nouvelle vague de critiques. Dans l’enquête sur les violences postélectorales de 2007-2008, il suspecte six responsables kényans de crimes contre l’humanité, dont Uhuru Kenyatta le fils du père de l’indépendance.