Irrité de ne pas avoir été associé à l’organisation du Forum mondial de l’eau, lancé dans « sa » ville par Macky Sall le 21 mars, l’opposant et maire de Dakar a choisi d’organiser son propre sommet. En même temps et sur le même thème.
Le chef de l’État sénégalais, président en exercice de l’Union africaine, a ouvert le 9e Forum mondial de l’eau en présence de plusieurs chefs d’État, dont le Congolais Denis Sassou Nguesso et le Bissau-Guinéen Umaro Sissoco Embaló.
En RD Congo et au Sénégal du 20 au 22 février, Recep Tayyip Erdogan, le président turc, était accompagné d’un aréopage de patrons. Les dessous d’une diplomatie qui mêle amitié, business et sport.
Victime d’une tentative de coup d’État le 1er février, le président bissau-guinéen raconte les longues heures où, retranché dans son bureau, kalachnikov à la main, il a vu son pouvoir vaciller jusqu’à ce que l’armée parvienne à repousser les mutins.
Le chef de l’État a assuré, mardi soir, que la situation était désormais sous contrôle, mais le déroulé précis des événements demeure incertain, tout comme l’identité des hommes qui ont tenté de renverser Umaro Sissoco Embaló.
Joint par Jeune Afrique, le président Umaro Sissoco Embaló a affirmé se trouver en sécurité. La situation restait confuse alors que, depuis le début de l’après-midi de ce mardi, une tentative de coup d’État était en cours.
Confrontée à deux transitions qui pourraient bien s’éterniser, l’organisation régionale oscille entre sanctions et négociations pour tenter de se faire entendre.
Le IIIe sommet Turquie-Afrique s’est conclu ce 18 décembre. Que faut-il retenir de l’événement, et quels chefs d’État le président Erdogan a-t-il reçus en tête à tête ?
Les 17 et 18 décembre, à Istanbul, le président Recep Tayyip Erdogan recevra une vingtaine de ses pairs du continent, pour la troisième édition de cet événement.
Le PAIGC, principale formation d’opposition au chef de l’État, doit bientôt renouveler ses dirigeants. Et ils sont plusieurs à viser le fauteuil de président.
À la mi-août, la justice américaine a promis 5 millions de dollars à quiconque permettra l’arrestation de cet ancien chef d’état-major bissau-guinéen. Mais qui est vraiment ce putschiste récidiviste considéré par Washington comme un baron de la drogue ?
Le 1er juin, le président bissau-guinéen a reçu le président du Conseil national de la transition (CNT), déjà en première ligne dans les négociations entre la junte malienne et la Cedeao en août 2020. Voici ce qu’ils se sont dit.
Ses relations avec ses pairs africains, la fermeture des frontières avec le Sénégal, l’état de l’opposition, Macron, Bolloré et le port de Conakry… Une interview exclusive du chef de l’État guinéen, réélu en octobre 2020.
Élu pour un an en septembre 2020, Nana Akufo-Addo vient déjà d’être reconduit à la présidence de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest. Les dirigeants étaient très pressés d’officialiser leur décision.
Présente depuis 1999, la mission politique de l’ONU en Guinée-Bissau fermera ses portes fin décembre. L’heure du bilan pour la représentante spéciale d’António Guterres, la Burkinabè Rosine Sori-Coulibaly.
Le président Bissau-Guinéen, qui rentre d’un séjour auprès de son homologue congolais Denis Sassou Nguesso, s’est à plusieurs reprises exprimé contre les troisièmes mandats en Afrique de l’Ouest. Ce qui ne l’empêche pas d’être très prudent sur l’élection présidentielle ivoirienne et un peu moins sur la guinéenne.
Nicolas Sarkozy est son ami, les troisièmes mandats sont à proscrire, le Covid-Organics fonctionne… Entretien avec le Bissau-Guinéen Umaro Sissoco Embaló, un président hors norme et adepte du parler cru.
Les soldats ouest-africains de la mission de la Cedeao en Guinée-Bissau (Ecomib), déployés depuis 2012 ont commencé à quitter le pays. Leur mission se termine officiellement ce jeudi 10 septembre.
Lors de la visioconférence de la Cedeao consacrée au coup d’État au Mali, le président bissau-guinéen, Umaro Sissoco Embaló, n’a pas hésité à malmener certains de ses pairs ouest-africains. Le récit exclusif de « Jeune Afrique ».
Le Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) a perdu sa majorité parlementaire au profit de l’alliance du président élu Umaro Sissoco Embaló, qui remporte ainsi une nouvelle bataille.
Depuis son arrivée au pouvoir, Macky Sall œuvre au réchauffement de ses relations avec la plupart de ses homologues, de l’Afrique de l’Ouest à la Chine. Une approche qui lui a permis tout à la fois de multiplier les projets de partenariat et d’asseoir son leadership.
Le président bissau-guinéen a annoncé la création d’une commission chargée de proposer un projet de révision de la Constitution, qui est au cœur de la crise politique qui secoue le pays depuis 2015.
Près de quatre mois après les résultats contestés de la présidentielle bissau-guinéenne du 29 décembre 2019, dont Umaro Sissoco Embaló avait été proclamé vainqueur par la commission nationale électorale (CNE), la Cedeao a annoncé mercredi qu’elle reconnaissait sa victoire, tout en demandant la nomination d’un nouveau Premier ministre.
Le candidat proclamé vainqueur de l’élection présidentielle en Guinée-Bissau, Umaro Sissoco Embaló, doit être investi ce jeudi à Bissau. Une cérémonie en petit comité, validée en urgence mercredi par une frange du Parlement.
Deux mois après avoir été déclaré vainqueur de la présidentielle bissau-guinéenne, Umaro Sissoco Embaló n’est toujours pas le chef de l’État. Saisie par son adversaire, la Cour suprême n’a pas encore officiellement validé sa victoire. En attendant, Embaló tente d’asseoir sa légitimité en multipliant les rencontres avec les présidents africains.