Recherché par la justice de son pays, ce militant de la gauche malienne a choisi l’exil afin d’échapper à ce qu’il qualifie d’« assassinat politique prémédité ». Pour Jeune Afrique, il évoque le régime de transition d’Assimi Goïta, ses ambitions politiques et ses aspirations révolutionnaires nullement entravées.
Denis Sassou Nguesso, Macky Sall, Cyril Ramaphosa… La date du voyage des chefs d’État africains à Moscou et à Kiev est désormais fixée. Et l’initiative bénéficie désormais de la neutralité bienveillante du président français Emmanuel Macron.
Les ministres des Affaires étrangères du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique du Sud sont réunis au Cap pour préparer le prochain sommet des chefs d’État et relancer les ambitions du groupe.
Un an après sa nomination, la secrétaire d’État française chargée du Développement multiplie les voyages sur le continent. Et se retrouve parfois en première ligne sur des dossiers sensibles.
L’ambassadeur centrafricain à Moscou a déclaré que son pays était prêt à accueillir une base militaire qui pourrait abriter jusqu’à 10 000 soldats russes. Et que le président Touadéra ferait bien le déplacement à Saint-Pétersbourg pour le sommet Russie-Afrique.
Le quinzième sommet des cinq pays dits en développement se tiendra en août prochain à Durban, en Afrique du Sud. Parmi les chefs d’État attendus, le Russe Vladimir Poutine, sous le coup d’un mandat d’arrêt depuis le 17 mars 2023.
Douze ans après son exclusion, le « maître de Damas » a été réintégré dans la Ligue arabe. Une pilule amère pour les Occidentaux et une victoire pour ses alliés russe et iranien.
Cyril Ramaphosa, Macky Sall, Denis Sassou Nguesso… Depuis décembre, l’homme d’affaires français Jean-Yves Ollivier tente de mettre sur pied une médiation de chefs d’État africains entre la Russie et l’Ukraine. JA dévoile les dessous de cet intense lobbying.
Quelques jours après que les présidents Ramaphosa et Poutine ont affiché leur volonté d’accentuer leur coopération, le commandant des forces terrestres de l’armée sud-africaine s’est rendu à Moscou, malgré les mises en garde de Washington.
C’est un duel serré qui a lieu ce 14 mai en Turquie entre, d’un côté, un président au pouvoir depuis vingt ans et, de l’autre, son principal opposant, un outsider au profil de rassembleur.
Alors que l’Initiative céréalière de la mer Noire arrive à échéance à la mi-mai, Moscou menace de s’opposer à son renouvellement si ses exportations d’engrais sont toujours entravées.
Alors que le sommet Russie-Afrique doit se tenir en juillet à Saint-Pétersbourg, Moscou poursuit son offensive médiatique sur le continent. Une « association des journalistes russes et africains » va ainsi être discrètement créée. Explications.
Si Recep Tayyip Erdogan n’était pas réélu président, le 14 mai, en quoi la politique étrangère d’Ankara pourrait-elle changer ? Réponse de Ünal Çeviköz, conseiller diplomatique de Kemal Kiliçdaroglu, le candidat de l’opposition.
Depuis la reprise des combats entre les troupes de Mohamed Hamdan Dagolo, dit Hemetti, et l’armée d’Abdel Fattah al-Burhane, l’implication de la Russie et de Wagner est particulièrement observée à Khartoum. Jeune Afrique décrypte les intérêts du Kremlin et de ses supplétifs.
Le ministère américain de la Justice vient d’enclencher une procédure judiciaire contre des membres de l’African People’s Socialist Party (APSP) et du Uhuru Movement.
Espérant contrebalancer le récit de la Russie sur l’invasion de l’Ukraine, une petite délégation de la société civile ukrainienne passe la semaine en Afrique du Sud.
Départ de Barkhane, présence des mercenaires de Wagner, organisation des élections… Nouhoum Sarr, membre du Conseil national de transition (CNT) malien, est un fervent soutien de la junte dirigée par Assimi Goïta. Interview.
En Centrafrique mais surtout au Soudan, où il joue la carte Burhane quand les Russes soutiennent Hemetti, William Burns, le patron de la CIA, accentue ses efforts pour limiter l’influence du groupe Wagner et de son financier.
Le porte-parole du président sud-africain vient de reconnaître que l’organisation du prochain sommet des Brics est perturbée par le mandat d’arrêt émis, par la CPI, contre Vladimir Poutine.
Futurs hôtes de la COP28 prévue à la fin de 2023, les Émirats arabes unis sont devenus la plaque tournante du détournement des sanctions internationales. Russes et Syriens en profitent allègrement.
D’après des documents internes consultés par Jeune Afrique, en collaboration avec le magazine Sources de Arte/CAPA et le quotidien allemand Die Welt, ainsi qu’avec les organisations All Eyes On Wagner et Dossier Center, l’oligarque russe a financé, appuyé et même guidé certaines actions du leader d’Urgences panafricanistes sur le continent entre 2018 et 2019.
Visé par un mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale, le président russe assistera-t-il au sommet des Brics fin août ? Et comment réagira l’Afrique du Sud qui, selon le statut de Rome, aurait pour obligation de l’arrêter ?
À deux mois de l’éventuelle reconduction de l’accord sur les exportations ukrainiennes de céréales, la Russie et l’Ukraine font assaut de messages ciblés en direction de l’Afrique…
Les 19 et 20 mars, une quarantaine de délégations africaines se sont rendues à Moscou en amont du sommet Russie-Afrique prévu en juillet à Saint-Pétersbourg, pour discuter coopération et lutte contre l’influence des « anciennes puissances coloniales ».
Le représentant spécial au Moyen-Orient de Vladimir Poutine a échangé avec le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi. Moscou et Le Caire désirent encore « renforcer leurs relations ».
Sur une chaîne télévisée française, le président béninois a jugé le recours au groupe paramilitaire russe « pas condamnable sur le principe », mais problématique dans certains cas…
Les comités olympiques d’Afrique se sont prononcés en faveur de la participation des athlètes russes aux prochains Jeux olympiques de Paris, sous condition…