Le conglomérat malgache dirigé par Hassanein Hiridje a signé un accord en vue d’acquérir une participation supplémentaire de 40 % du deuxième opérateur du pays pour en détenir finalement 80 %.
Figure de la start-up nation israélienne et porte-parole du sionisme, Elie Wurtman a lancé un programme d’échanges entre les jeunes de son pays et la jeunesse arabe. Objectif : miser sur leur créativité pour développer des solutions innovantes face aux défis que doit relever le Moyen-Orient. Sa cible du moment : le Maroc.
Au moment où le deuxième opérateur du pays fête ses trois ans d’existence, l’implication des équipes du milliardaire français apparaît plus que jamais indispensable à la mise en place de sa feuille de route.
Le pays voit le nombre de développeurs augmenter plus vite que partout ailleurs sur le continent. Mais une partie d’entre eux choisit l’exil, faute d’opportunités.
Le régulateur a infligé une lourde astreinte à Free, qui bloque depuis plus d’un an le lancement de l’opérateur virtuel pourtant autorisé à exploiter son réseau.
Acquis à la fin de 2019, l’opérateur togolais fait figure de test grandeur nature en Afrique de l’Ouest pour le conglomérat malgache, déjà présent au Sénégal via Free.
L’opérateur téléphonique français donne son nom au deuxième opérateur de téléphonie mobile du pays, racheté en avril 2018 par le consortium Saga Africa Holdings Limited.
En se lançant dans le « private equity », le conglomérat malgache Axian, de la famille Hiridjee, entend élargir son empreinte géographique et réduire son exposition aux risques.