Xi Jinping, né en 1953 à Pékin, est le président de la République populaire de Chine depuis mars 2013, ainsi que secrétaire général du Parti communiste chinois (PCC) depuis novembre 2012.
Nous critiquons nos dirigeants suprêmes lorsqu’ils accaparent le pouvoir et refusent de le quitter. Continuerons-nous à le faire avec la même liberté dès lors que leur exemple est suivi par le nouveau timonier chinois ? Pourquoi ce qui semble bon pour la grande Chine serait-il mauvais pour nos petits pays ?
Le modèle occidental de la démocratie constitutionnelle est en recul. De Xi Jinping à Vladimir Poutine, en passant par Recep Tayyip Erdogan, les néo-despotes mettent en place un système inédit, une adaptation en quelque sorte mondialisée des dictatures défuntes. Un modèle susceptible de faire tâche d’huile, notamment en Afrique.
Si La Revue, avec cette nouvelle livraison, sillonne une fois de plus une bonne partie de la planète, de l’Iran au Caucase en passant par Oman, le Yémen et la Tunisie, ce sont les États-Unis et leur bouillant président qui en occupent la une.
« À chacun son niveau », dit-on communément. Pour vous le prouver, je citerai deux personnalités haut placées et vous révélerai, si vous ne les avez déjà entendues, des paroles qu’elles ont prononcées récemment et qui les décrivent.
Je commenterai ensuite le séjour en Chine du jeune président de la République française, Emmanuel Macron.
Son voyage comportait un volet africain dont nous aurons à reparler.
L’année 2017 tire à sa fin et, si j’en crois les messages qui me parviennent, nous nous posons presque tous la même question : quelles sont les évolutions qui nous ont le plus étonnés au cours de l’année qui s’achève ?
Le rideau est tombé sur le 19e Congrès du Parti communiste chinois (PCC). Dans l’histoire récente, jamais une telle manifestation n’aura été autant suivie et analysée, dans le pays même comme à l’étranger, preuve de l’importance croissante de la Chine dans les affaires du monde.
Au pouvoir depuis 1949, le Parti communiste chinois a tenu, du 18 au 25 octobre, à Pékin, son XIXe congrès. Ses dirigeants ont pris une orientation et des décisions dont ils pensent qu’elles feront entrer la Chine dans une nouvelle ère.
Petit conseil à ses pairs d’un chef d’État africain qui, après l’avoir expérimenté, s’en est trouvé fort aise (et dûment récompensé) : avant d’être reçu à Pékin par celui que The Economist qualifie d’« homme le plus puissant du monde » – le président Xi Jinping –, prenez soin de parcourir le recueil de ses discours et de vous renseigner sur sa biographie.
Le 19e congrès du Parti communiste s’ouvre ce 18 octobre. Au programme : modernisation économique, raidissement idéologique et confirmation du pouvoir, désormais sans partage, du président Xi Jinping.
Jadis cantonnée aux sociétés publiques et à leurs expatriés, la présence de la Chine au Congo s’est renforcée et, surtout, diversifiée. Ses PME et sa diaspora font désormais partie intégrante du paysage.
Le royaume redouble d’efforts pour attirer les hôtes de l’empire du Milieu, qui sont dispensés de visa depuis juin. Les premiers résultats se font sentir, avec une hausse de 300 % en un an. Mais il reste tant à faire…
En esquissant un dialogue direct avec Taïwan avant même son entrée en fonction, le futur président américain s’est attiré les foudres de Pékin. Dangereuse provocation ou risque parfaitement calculé ?
En voyage officiel dans la capitale chinoise, le chef de l’État a multiplié les contacts avec les autorités et les entreprises locales et signé des contrats à tour de bras.
Six ans après sa dernière visite, le président du Gabon est en République populaire de Chine du 6 au 9 décembre pour renforcer les relations avec la première puissance économique mondiale.
La « nouvelle guerre froide », dont j’ai écrit ici qu’elle me paraissait inévitable, est amorcée. Elle s’engage en ce moment même, non pas entre les États-Unis et la Russie, mais entre les deux premières puissances mondiales : les États-Unis d’Amérique et la République populaire de Chine.
Xi Jinping veut faire de son pays une superpuissance du ballon rond. Son objectif : organiser, puis remporter une Coupe du monde. Il en est encore très loin, mais ne ménage pas ses efforts pour y parvenir.
Le président chinois Xi Jinping démarre mardi au Zimbabwe une visite de cinq jours en Afrique. Il participera notamment au sixième forum sur la coopération sino-africaine (FOCAC) organisé vendredi et samedi à Johannesburg.
Pour concurrencer le FMI et la Banque mondiale, deux institutions multilatérales de développement ont été lancées coup sur coup. Leur principal promoteur ? Pékin, qui compte bien financer à travers elles ses ambitions commerciales à l’échelle mondiale.
Le président de la République populaire, Xi Jinping, est un curieux mélange des genres qui déteste les extrêmes. Pour réaliser son « rêve chinois » – restaurer la grandeur du pays -, il dispose de deux armes : la réforme et la rigueur.
Contre la corruption, l’hégémonie des grandes marques étrangères et les déviances en tout genre qui gangrènent le pays, le président a engagé une lutte à mort dont l’issue est encore loin d’être assurée.
Le président Xi Jinping a lancé un grand programme de réformes économiques d’inspiration libérale. Est-il le nouveau Deng Xiaoping ? Cela reste à démontrer tant les choses ont changé depuis vingt-cinq ans.
La Russie, les sommets des Brics, l’Afrique : les étapes de la première tournée à l’étranger du nouveau président chinois Xi Jinping donnent une idée assez précise de ses priorités.
En tournée africaine depuis le 24 mars, le nouveau chef de l’exécutif chinois a déclaré chercher une relation d’égal à égal avec les pays africains. Il a aussi fait plusieurs annonces concernant la coopération économique entre les deux zones.
Moins de dix jours après sa nomination officielle au poste de président de la République populaire de Chine, Xi Jinping consacre au continent africain la majeure partie de sa première tournée à l’étranger, avec des visites en Tanzanie, en Afrique du Sud et au Congo-Brazzaville. Un signe fort envoyé à l’Afrique et au reste du monde.
Le nouveau président chinois, Xi Jinping, qui s’apprête à faire une tournée africaine, paraît résolu à tirer un trait sur l’une des pages les plus sombres de l’histoire de la République populaire : les camps de rééducation par le travail.
Le nouveau président chinois, Xi Jinping, effectuera une visite d’Etat en Afrique du Sud le 26 mars, à la veille du sommet des pays émergents des BRICS à Durban auquel il participera.