Quand certains établissements et entreprises publics marocains enchaînent les années bénéficiaires, d’autres font grise mine, voire traînent l’image de « canards boiteux ».
Besoin en financement sur le continent, partenariats entre fonds souverains africains, vocation et élargissement du rayon d’action d’Ithmar Capital… Le patron du véhicule d’investissement marocain répond aux questions de Jeune Afrique.
Douze ans après sa création, Ithmar Capital continue de cumuler les déficits et les annonces sans lendemain. Après le lancement de l’ambitieux Fonds Mohammed VI pour l’investissement, son existence même est remise en question.