Il a succédé à son mentor Mustapha Ben Jaâfar. Sa mission : redonner un nouveau souffle à ce parti qui peine à se relever après sa déconfiture lors des élections législatives de 2014.
Depuis ce jeudi 14 septembre 2017, leurs prétendants ne sont plus obligés de se convertir à l’islam pour les épouser comme l’exigeait la loi. Une avancée historique.
Le Premier ministre tunisien a décliné sa liste d’urgences pour sortir le pays de la crise économique. Au passage, Youssef Chahed a aussi essuyé les critiques d’élus sur le retour d’anciens ministres de Ben Ali dans sa nouvelle équipe.
Le Premier ministre tunisien Youssef Chahed vient de rendre public la liste de son nouveau gouvernement, dévoilé suite à un entretien avec le président Béji Caïd Essebsi, ce mercredi. Un remaniement qui était attendu depuis plusieurs jours en Tunisie.
Fadhel Abdelkefi, le ministre du Développement, de l’Investissement et de la Coopération Internationale, également ministre des Finances par intérim, avait présenté sa démission à Youssef Chahed le 18 août.
Sa cote de popularité est remontée avec l’opération anticorruption qu’il a lancée en mai. Youssef Chahed semble cependant de plus en plus isolé politiquement. Situation financière, réformes, climat social… Alors qu’un remaniement est attendu d’ici à la fin août, bilan de la première année du chef du gouvernement.
En cause : l’affaiblissement du cadre institutionnel et le retard pris dans la réalisation des réformes. Le pays est maintenu sous observation négative.
Fadhel Abdelkefi, le ministre du Développement, de l’Investissement et de la Coopération Internationale, également ministre des Finances par intérim, a présenté sa démission au Chef du gouvernement, Youssef Chahed.
Depuis le mois de mai, le Premier ministre tunisien Youssef Chahed a lancé une vaste opérations « mains propres », dont les résultats sont controversés. Quelques figures emblématiques ont tout de même été arrêtées. Liste non exhaustive des plus significatifs.
Le 23 mai, le Premier ministre lançait une vaste opération « mains propres », marquée par une vague d’arrestations spectaculaires. Deux mois plus tard, si les têtes de réseaux du marché parallèle sont tombées, les gros bonnets de la corruption semblent avoir été épargnés. Pour le moment…
Convoqué en séance plénière par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), le chef du gouvernement, Youssef Chahed, a passé un grand oral aujourd’hui. Sujet : la lutte anti corruption.
Bien que Youssef Chahed soit issu de leur parti, sa fulgurante percée politique contrecarre les ambitions de Hafedh Caïd Essebsi et de Sofiane Toubel, respectivement directeur exécutif et chef du groupe parlementaire de Nidaa Tounes.
Reçu à Washington du 9 au 12 juillet pour sa première visite officielle aux États-Unis en tant que chef du gouvernement, Youssef Chahed a multiplié les rencontres et les discours avec une double-mission : rassurer et appeler au maintien de la coopération économique et sécuritaire entre les deux pays.
L’opération anticorruption dont il a pris la tête lui assurant une certaine popularité, Youssef Chahed est désormais certain de se maintenir à son poste.
Ministre chargé de la Réforme administrative en 2012, Mohamed Abbou, 51 ans, avait rapidement jeté l’éponge faute de prérogatives pour combattre la corruption.
En grande difficulté il y a quelques semaines, le chef du gouvernement Youssef Chahed a renversé la situation en sa faveur en lançant une vaste opération mains propres. Et gagné ses galons d’homme d’État.
Le gouvernement tunisien s’est engagé à mettre en oeuvre un vaste programme pour résoudre les problèmes de pollution engendrés de longue date par un complexe chimique à Gabès, dans le sud du pays.
Pourquoi Mohammed VI n’a-t-il pas reçu Youssef Chahed, le Premier ministre tunisien, à l’occasion de la visite de ce dernier à Rabat, où il a coprésidé avec son homologue Saadeddine El Othmani la 19e session de la Haute Commission mixte maroco-tunisienne, les 18 et 19 juin ?
La lutte anti-corruption en Tunisie, état des lieux et perspectives » ; c’est le thème d’une conférence organisée jeudi à Paris, et à laquelle participait Chawki Tabib, président de l’Instance nationale de lutte contre la corruption (INLCC). Pendant ce temps, en Tunisie, l’opération « mains propres » menée par le gouvernement de Youssef Chahed continue de battre son plein.
En s’adjoignant les services de Ridha Chalghoum, 55 ans, ancien ministre des Finances (2010-2011), Youssef Chahed, le chef du gouvernement, a musclé son staff.
Un policier tunisien grièvement brûlé lors de violences dans la région de Sidi Bouzid (centre) a succombé samedi à ses blessures, a annoncé le ministère de l’Intérieur dans un communiqué.
Samir el-Wafi, célèbre présentateur télé tunisien, a été placé en garde à vue lundi pour soupçon de « corruption et d’escroquerie », a indiqué le Parquet à l’AFP.
Le chef du gouvernement tunisien Youssef Chahed et son homologue marocain Saadeddine El Othmani ont signé une dizaine d’accords et se sont engagés à doubler leurs échanges commerciaux. La Libye, l’Union du Maghreb arabe et la crise dans le Golfe figuraient également au menu.
Affairiste fanfaron et sulfureux, Chafik Jarraya en était arrivé à personnifier la corruption et semblait intouchable. Dans le viseur du Premier ministre depuis plusieurs mois, il a finalement été arrêté.
Des dizaines de douaniers tunisiens se trouvent sous le coup d’enquêtes pour corruption, a annoncé mercredi le ministère des Finances. Ces mesures ont été prises dans le cadre de la lutte menée par le gouvernement contre ce fléau, selon un haut responsable.
L’état d’urgence, en vigueur en Tunisie depuis un an et demi à la suite d’une série d’attentats jihadistes sanglants, a été prolongé de quatre mois, a annoncé mercredi la présidence.
La nouvelle crise entre l’Arabie saoudite et le Qatar a donné lieu à une série de réactions dans certains pays africains. Le vôtre a-t-il réagi, et si oui, comment ? Jeune Afrique fait le point, avec une carte interactive.
Un responsable sécuritaire tunisien a été arrêté dans la nuit de lundi à mardi pour ses liens présumés avec l’homme d’affaires Chafik Jarraya, récemment interpellé dans le cadre d’un coup de filet anticorruption.