Youssouf Bakayoko est un homme politique et diplomate ivoirien né à Bouaké en 1943. Membre du PDCI (Parti démocratique de la Côte d’Ivoire), il a été ministre des Affaires Etrangères sous Laurent Gbagbo de 2005 à 2010. Président de la CEI (Commission électorale indépendante) jusqu’en octobre 2019, il a joué un rôle important lors de la présidentielle de 2010 en annonçant la victoire d’Alassane Ouattara.
Les discussions autour de l’importante réforme de la Commission électorale indépendante (CEI), en vue de la présidentielle de 2020 en Côte d’Ivoire, sont au point mort. En cause : une interprétation différente entre le pouvoir et l’opposition de l’arrêt de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP), qui avait exigé une refonte de la loi électorale jugée déséquilibrée.
La réforme de la Commission électorale indépendante ivoirienne (CEI) est sur les rails, avec le début des premières discussions à Abidjan. Ce dossier cristallise une partie des tensions entre le pouvoir et l’opposition, avec en ligne de mire la présidentielle de 2020.
Quand se fera la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI) en Côte d’Ivoire ? Et quel en sera l’ampleur ? Au lendemain des élections locales du 13 octobre, le sujet est au centre du débat en Côte d’Ivoire.
Sociologue et analyste politique, Fahiraman Rodrigue Koné, membre de l’African Security Sector Network revient pour Jeune Afrique sur les principaux enjeux des élections locales qui se tiennent en Côte d’Ivoire le 13 octobre.
L’opposition ne veut plus entendre parler de lui, mais il demeure à la tête de la Commission électorale indépendante. Et aura la charge des scrutins prévus cette année.
Depuis plusieurs semaines, responsables politiques et membres de la société civile réclament une réforme Commission électorale indépendante (CEI). Marie-Paule Kodjo, porte-parole de la Plate-forme des organisations de la société civile pour l’observation du processus électoral en Côte d’Ivoire (POECI), expose ses griefs.
Nommé il y a un an par le président Ouattara, le chef d’état-major veut faire rentrer les militaires dans le rang. Une mission particulièrement délicate…
La Commission électorale indépendante (CEI) ivoirienne est gourmande et cela agace le chef de l’État. En 2016, elle a été dotée de 22,4 milliards de F CFA – une somme qui doit permettre de financer le référendum constitutionnel et les législatives.
Pour assurer la transparence de la prochaine élection présidentielle et éviter le renouvellement des errements passés, la Commission électorale indépendante (CEI) fait appel aux technologies de pointe.
Décideurs politiques, acteurs économiques, leaders de la société civile, personnalités des médias et de la culture… Jeune Afrique dresse la liste des figures les plus influentes de la Côte d’Ivoire.
La reconduction à la tête de la Commission électorale indépendante de Youssouf Bakayoko n’est pas du goût de tous. Et pour cause : il occupait déjà ce poste lors de la présidentielle de 2010, scrutin le plus mouvementé de l’histoire de la Côte d’Ivoire.
Les principaux partis de l’opposition ivoirienne ont décidé le 9 septembre de suspendre leur participation aux travaux de la Commission électorale indépendante (CEI), dénonçant la réélection de son président, Youssouf Bakayoko. Ce dernier réagit pour « Jeune Afrique ».
La nouvelle Commission électorale indépendante (CEI), chargée d’organiser la présidentielle ivoirienne de 2015, est l’objet de toutes les convoitises. Parmi les prétendants pour la diriger, Youssouf Bakayoko, président sortant de l’ancienne commission et ancien ministre des Affaires étrangère de Laurent Gbagbo.
Le président de la Commission électorale indépendante Youssouf Bakayoko s’est enfin exprimé sur les conditions de proclamation des résultats de la présidentielle par son administration. Et réfute au passage tous les arguments contradictoires du camp Gbagbo.
Les rumeurs vont bon train concernant Charles Koffi Diby, ministre de l’Économie et des Finances, et Youssouf Bakayoko, président de la Commission électorale indépendante.